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Dans cette punchline, le K double Napalm revient sur la large communication de l'OMS à propos de la prescription des antibiotiques jugée trop massive en Occident, et favorisant le développement des souches bactériennes multi-résistantes. Il rappelle, à la manière d'un professeur de médecine que si les anti-biotique, ne sont pas automatique, notamment en cas d'infection virale, son pistolet 9mm quant à lui, est bien automatique. Il permettra ainsi au Talsadoum de tirer des volées de balles sur ses ennemis et de semer la mort à la manière de la grande faucheuse.
il y a 2 ans
« J’ai mes droits, j’ai mes masters, j’fume des OG, j’fume des masters » Freeze Raël
Dans la première partie de la phase, Freeze Corleone explique sa relation vis-à-vis de l'industrie du rap.
Le mot “master” est ici employé dans deux sens différents, créant ainsi une syllepse : Chen Zen est indépendant, il aime répéter qu'il n'est influencé par personne dans chaque étape de production de ses morceaux. Son indépendance musicale lui permet de détenir ses “droits” en intégralité, tout comme ses “masters” (les pistes originales des morceaux et droits associés). Le contrat de production signé avec Universal ne le contraint absolument pas, il reste producteur et seul propriétaire et bénéficiaire de sa musique, sans quoi son univers lyrical aurait sans doute été censuré.
Nous pouvons y voir une référence à son couplet sur “Crystal Lake” en collaboration avec Luv Resval :
J'ai mes masters, j'ai mes droits, brise des chevilles comme CP3
Le Professeur fume également des “masters”. Ce second emploi du même mot renvoie au “master ” en tant prod/beat. Le master est en effet la version quasi-finale d'un morceau où un rappeur a posé ses couplets.
Freeze découpe, c'est-à-dire surpasse les autres rappeurs, et fume les masters concoctés par Flem au fameux “studio KGB” grâce à sa technique, selon lui inégalée dans le milieu :
J'fais mes bails en lous', j'transige comme si j'suis au KGB
J'coupe l'audio dope au fentanyl avec Flem au Studio KGB
— Freeze Corleone - “Hors ligne”
Il apparente sa consommation des masters à sa consommation d'“OG”. Dans le milieu hip-hop des années 80-90, le terme “OG” désignait chez les rappeurs une personne qui avait fait son chemin parmi toutes les guerres de gangs et les différents trafics, le terme ayant été popularisé en 1991 par Ice-T avec son album Original Gangster.
L'OG renvoie également à la OG Kush, une variété de cannabis aux arômes complexes, mélange de diesel, de skunk et d’épices.
On retrouve cette phase plus tard dans le projet sur “Logo Audi” en featuring avec Despo Rutti :
J'fume des OG, j'fume des masters, fuck des diplômes, j'ai mes masters
En une phase, Freeze Corleone mélange son indépendance, sa consommation de drogue et son égocentrisme, des thèmes récurrents dans sa discographie.
Dans la première partie de la phase, Freeze Corleone explique sa relation vis-à-vis de l'industrie du rap.
Le mot “master” est ici employé dans deux sens différents, créant ainsi une syllepse : Chen Zen est indépendant, il aime répéter qu'il n'est influencé par personne dans chaque étape de production de ses morceaux. Son indépendance musicale lui permet de détenir ses “droits” en intégralité, tout comme ses “masters” (les pistes originales des morceaux et droits associés). Le contrat de production signé avec Universal ne le contraint absolument pas, il reste producteur et seul propriétaire et bénéficiaire de sa musique, sans quoi son univers lyrical aurait sans doute été censuré.
Nous pouvons y voir une référence à son couplet sur “Crystal Lake” en collaboration avec Luv Resval :
J'ai mes masters, j'ai mes droits, brise des chevilles comme CP3
Le Professeur fume également des “masters”. Ce second emploi du même mot renvoie au “master ” en tant prod/beat. Le master est en effet la version quasi-finale d'un morceau où un rappeur a posé ses couplets.
Freeze découpe, c'est-à-dire surpasse les autres rappeurs, et fume les masters concoctés par Flem au fameux “studio KGB” grâce à sa technique, selon lui inégalée dans le milieu :
J'fais mes bails en lous', j'transige comme si j'suis au KGB
J'coupe l'audio dope au fentanyl avec Flem au Studio KGB
— Freeze Corleone - “Hors ligne”
Il apparente sa consommation des masters à sa consommation d'“OG”. Dans le milieu hip-hop des années 80-90, le terme “OG” désignait chez les rappeurs une personne qui avait fait son chemin parmi toutes les guerres de gangs et les différents trafics, le terme ayant été popularisé en 1991 par Ice-T avec son album Original Gangster.
L'OG renvoie également à la OG Kush, une variété de cannabis aux arômes complexes, mélange de diesel, de skunk et d’épices.
On retrouve cette phase plus tard dans le projet sur “Logo Audi” en featuring avec Despo Rutti :
J'fume des OG, j'fume des masters, fuck des diplômes, j'ai mes masters
En une phase, Freeze Corleone mélange son indépendance, sa consommation de drogue et son égocentrisme, des thèmes récurrents dans sa discographie.
il y a 2 ans