Aller va s'y, baisse ton froc, laisse-moi humer ta culotte puante Célestin, que je puisse un instant imaginer une nouvelle conception des odeurs et de leurs effets envoûtants. Moi, le grand maître des slips et calbars, j'arbore la laideur et laisse mon instinct me guider vers les grandeurs cosmiques ; de fantasmagoriques rêveries, aux caractéristiques aussi bien spartiates que perverses.
J'ai vu la tour noire, débordante de douleurs et aux résidents errants. Leurs cœurs étaient souillés de ferveur préjudiciable envers le vivant. Ils se promènent sous les affres du désespoir et sucent l'Homme jusqu'à le rendre fabuleusement faible.
Pour ce faire, ils sortent des bouches d'égouts pour avaler les jambes des Célestins peu prudents en ces temps de trouble intempestif et sinueusement éprouvant pour l'âme.
J'ai sombré, sombré dans des méandres abyssaux des enfers, mon cœur crépite et mon sexe s'en va dans l'air, projeté à haute vitesse. Le phallus iridescent fend les temps et se jette hideusement dans les fesses des célestins peu scrupuleux.
< Oh mes fesses sont trouées > cita la corneille sur la branche ballante d'un ginkgo. <Dis-moi, jeune Célestin, aurais-tu du baume pour guérir mon petit anus ; il saigne et pleure d'une solitude rompue trop soudainement. Aujourd'hui, mon rectum est déchiqueté et mutilé par un titanesque pénis.>
Ho une fille corneille, la bestialité sexuelle de Célestin reçoit un formidable cadeau de la nature, sa testostérone est à son comble, il se met à traquer les putes, en quête de toujours plus de violence et de sang, Célestin obnubiler par la mort, devient le nouveau prédateur, et la corneille sur son épaule ricane doucement ; en proie à une folie sismologique épileptique.
J'ai vu la tour noire, débordante de douleurs et aux résidents errants. Leurs cœurs étaient souillés de ferveur préjudiciable envers le vivant. Ils se promènent sous les affres du désespoir et sucent l'Homme jusqu'à le rendre fabuleusement faible.
Pour ce faire, ils sortent des bouches d'égouts pour avaler les jambes des Célestins peu prudents en ces temps de trouble intempestif et sinueusement éprouvant pour l'âme.
J'ai sombré, sombré dans des méandres abyssaux des enfers, mon cœur crépite et mon sexe s'en va dans l'air, projeté à haute vitesse. Le phallus iridescent fend les temps et se jette hideusement dans les fesses des célestins peu scrupuleux.
< Oh mes fesses sont trouées > cita la corneille sur la branche ballante d'un ginkgo. <Dis-moi, jeune Célestin, aurais-tu du baume pour guérir mon petit anus ; il saigne et pleure d'une solitude rompue trop soudainement. Aujourd'hui, mon rectum est déchiqueté et mutilé par un titanesque pénis.>
Ho une fille corneille, la bestialité sexuelle de Célestin reçoit un formidable cadeau de la nature, sa testostérone est à son comble, il se met à traquer les putes, en quête de toujours plus de violence et de sang, Célestin obnubiler par la mort, devient le nouveau prédateur, et la corneille sur son épaule ricane doucement ; en proie à une folie sismologique épileptique.
