Je suis franco-danois et mes parents m’envoyaient fréquemment en colonie là-bas. J’avais quinze ans. Je suis d’un naturel très social donc j’arrivais vite à m’intégrer parmi les garçons malgré la barrière de la langue. Je baragouinais quelques mots en danois, au besoin on parlait en anglais ou avec les mains.
Il y avait un ami avec lequel je m’entendais particulièrement bien, on couchait dans la même chambre et quand on dormait dehors, on partageait la tente. Il avait deux ans de plus et c’était un peu comme un grand-frère. Il m’apprenait à pêcher, à planter les piquets, creuser un sol meuble, allumer un feu, bref tout ce qu’un citadin comme moi ignorait. Puis un soir après une veillée on a rejoint nos tentes et il a sorti son téléphone. Il m’a dit d’approcher et m’a montré un film porno qu’il avait téléchargé. C’était une scène plutôt banale, une meuf brune à gros seins qui suçait un type. J’avais réussi à caler ma queue dans l’élastique de mon caleçon pour pas que mon érection soit trop voyante. Lui était moins pudique, on distinguait son sexe grossir derrière la toile de ses sous-vêtements sans que ça le gêne. Le film s’est vite terminé. Il a enlevé son tshirt pour se mettre torse nu.
C’était un beau garçon. Mince, élancé, avec des traits fins. Ses yeux étaient bleus et une petite mèche blonde tombait sur son front. Il avait des abdos dessinés, une poitrine délicate et deux petits tétons roses. On voyait un léger duvet blond à la lumière mais c’étaient ses seuls poils. Il s’est allongé sur le dos à côté de moi puis a pris ma main pour la poser sur son torse. Sa peau était chaude et douce, c’était une sensation vraiment agréable. Je l’ai vite retirée. Moi je rougissais de honte et de peur. Il a commencé à baisser son caleçon, mon coeur s’est emballé de stress. Il m’a invité à faire pareil mais je suis resté immobile et silencieux. Il m’a juste regardé en souriant. Après quelques minutes, en voyant qu’il continuait à me fixer et qu’il restait nu, j’ai baissé le mien. J’étais pas fier, en fait j’étais carrément mal à l’aise. Mais j’étais un peu excité.
On avait fait une longue marche sous le soleil cette journée-là, c’était en été on avait chaud. Nos corps sales relâchaient de mauvaises odeurs. Se mélangeaient les parfums de la sueur, de nos pieds, de nos sexes, des sous-vêtements et des chaussettes qui traînaient dans la tente. Il a commencé à se masturber devant moi. Ça avait quelque chose d’intrigant de voir un garçon se branler parce que c’est un truc intime que j’aurais jamais pensé partager avec un autre. Sa queue était plus grosse que la mienne qui avait déjà une belle taille pour mon âge mais elle était légèrement courbée, ça lui donnait une allure étrange. À un moment il a ralenti le mouvement de sa main et m’a regardé avec un gros sourire. Il m’a proposé de reproduire la scène du film qu’il m’avait montré. J’ai d’abord timidement dit non de la tête mais je pouvais pas détourner mon regard de sa bite. J’étais comme tétanisé. Il me l’a redemandé en se collant à moi et je suis resté silencieux. Je me souviens que je me battais contre moi-même, j’avais envie de le faire, de lui donner ce plaisir, mais ça me paraissait sale et dans le fond carrément dégueulasse. J’ai vraiment beaucoup hésité mais j’ai finalement accepté. J’étais vierge et je voulais essayer le sexe, voir ce que ça donnait et tant pis si c’était avec un mec.
J’ai pris son sexe en bouche. Il était chaud, presque bouillant. Je l’ai vu mordre ses lèvres en regardant le toit de la tente. Il grossissait dans ma bouche, ça me chatouillait, mais j’ai eu du mal à l’accepter dans la gorge parce que j’avais le réflexe de recracher. J’ai baladé ma langue sur son gland. Il tressaillait, n’arrivait plus à taire ses cris et grognait de plaisir. Je sortais parfois son sexe mouillé de ma bouche pour faire retomber l’excitation, lui respirait fort tout en caressant mes cheveux. Sa queue était bien dure, son érection devait presque être douloureuse. Ses yeux me suppliaient à la fois d’arrêter et de continuer. J’ai cruellement repris son sexe en bouche et l’ai davantage supplicié de plaisir avec mes coups de langue. Puis d’un coup il a levé la main et s’est retiré pour éjaculer par terre. J’étais presque jaloux de l’énorme quantité de sperme qu’il avait lâché. Il y en avait sur mon caleçon et mes chaussettes, on a essayé de nettoyer vite fait avec des mouchoirs mais sans grands résultats. Au final on a décidé de dormir parce qu’on était crevé. Je me souviens qu’après que je me sois allongé il est venu coller son ventre à mon dos mais je lui ai demandé de partir parce que bordel qu’il faisait chaud dans la tente et que son corps à lui était bouillant.
Il y avait un ami avec lequel je m’entendais particulièrement bien, on couchait dans la même chambre et quand on dormait dehors, on partageait la tente. Il avait deux ans de plus et c’était un peu comme un grand-frère. Il m’apprenait à pêcher, à planter les piquets, creuser un sol meuble, allumer un feu, bref tout ce qu’un citadin comme moi ignorait. Puis un soir après une veillée on a rejoint nos tentes et il a sorti son téléphone. Il m’a dit d’approcher et m’a montré un film porno qu’il avait téléchargé. C’était une scène plutôt banale, une meuf brune à gros seins qui suçait un type. J’avais réussi à caler ma queue dans l’élastique de mon caleçon pour pas que mon érection soit trop voyante. Lui était moins pudique, on distinguait son sexe grossir derrière la toile de ses sous-vêtements sans que ça le gêne. Le film s’est vite terminé. Il a enlevé son tshirt pour se mettre torse nu.
C’était un beau garçon. Mince, élancé, avec des traits fins. Ses yeux étaient bleus et une petite mèche blonde tombait sur son front. Il avait des abdos dessinés, une poitrine délicate et deux petits tétons roses. On voyait un léger duvet blond à la lumière mais c’étaient ses seuls poils. Il s’est allongé sur le dos à côté de moi puis a pris ma main pour la poser sur son torse. Sa peau était chaude et douce, c’était une sensation vraiment agréable. Je l’ai vite retirée. Moi je rougissais de honte et de peur. Il a commencé à baisser son caleçon, mon coeur s’est emballé de stress. Il m’a invité à faire pareil mais je suis resté immobile et silencieux. Il m’a juste regardé en souriant. Après quelques minutes, en voyant qu’il continuait à me fixer et qu’il restait nu, j’ai baissé le mien. J’étais pas fier, en fait j’étais carrément mal à l’aise. Mais j’étais un peu excité.
On avait fait une longue marche sous le soleil cette journée-là, c’était en été on avait chaud. Nos corps sales relâchaient de mauvaises odeurs. Se mélangeaient les parfums de la sueur, de nos pieds, de nos sexes, des sous-vêtements et des chaussettes qui traînaient dans la tente. Il a commencé à se masturber devant moi. Ça avait quelque chose d’intrigant de voir un garçon se branler parce que c’est un truc intime que j’aurais jamais pensé partager avec un autre. Sa queue était plus grosse que la mienne qui avait déjà une belle taille pour mon âge mais elle était légèrement courbée, ça lui donnait une allure étrange. À un moment il a ralenti le mouvement de sa main et m’a regardé avec un gros sourire. Il m’a proposé de reproduire la scène du film qu’il m’avait montré. J’ai d’abord timidement dit non de la tête mais je pouvais pas détourner mon regard de sa bite. J’étais comme tétanisé. Il me l’a redemandé en se collant à moi et je suis resté silencieux. Je me souviens que je me battais contre moi-même, j’avais envie de le faire, de lui donner ce plaisir, mais ça me paraissait sale et dans le fond carrément dégueulasse. J’ai vraiment beaucoup hésité mais j’ai finalement accepté. J’étais vierge et je voulais essayer le sexe, voir ce que ça donnait et tant pis si c’était avec un mec.
J’ai pris son sexe en bouche. Il était chaud, presque bouillant. Je l’ai vu mordre ses lèvres en regardant le toit de la tente. Il grossissait dans ma bouche, ça me chatouillait, mais j’ai eu du mal à l’accepter dans la gorge parce que j’avais le réflexe de recracher. J’ai baladé ma langue sur son gland. Il tressaillait, n’arrivait plus à taire ses cris et grognait de plaisir. Je sortais parfois son sexe mouillé de ma bouche pour faire retomber l’excitation, lui respirait fort tout en caressant mes cheveux. Sa queue était bien dure, son érection devait presque être douloureuse. Ses yeux me suppliaient à la fois d’arrêter et de continuer. J’ai cruellement repris son sexe en bouche et l’ai davantage supplicié de plaisir avec mes coups de langue. Puis d’un coup il a levé la main et s’est retiré pour éjaculer par terre. J’étais presque jaloux de l’énorme quantité de sperme qu’il avait lâché. Il y en avait sur mon caleçon et mes chaussettes, on a essayé de nettoyer vite fait avec des mouchoirs mais sans grands résultats. Au final on a décidé de dormir parce qu’on était crevé. Je me souviens qu’après que je me sois allongé il est venu coller son ventre à mon dos mais je lui ai demandé de partir parce que bordel qu’il faisait chaud dans la tente et que son corps à lui était bouillant.
Titre
Je précise que je suis 100% hétérosexuel bien évidemment.
Titre
putain c'est donc ça le résumé de "joue moi du chopin"
*bruit de clavier lugubre*
Je précise que je suis 100% hétérosexuel bien évidemment.
J'ai bandé, je suis toujours 100% hétéro ?
Tylko jedno w głowie mam
Koksu pięc gram
dring dring
J'ai bandé, je suis toujours 100% hétéro ?
Bien sûr mon Onchois, c'est même une preuve de ton hétérosexualité !
Titre
Je précise que je suis 100% hétérosexuel bien évidemment.
Bien évidemment
"franco-danois" lol non
Khey sympa bien que taré, catho, anti NWO, l'hélite 100% ready. Frère de croisade de @Joshua_38
J’ai presque eu une demi molle
Je résume : l'op est une salle pédale sidaique
Longue vie à onche
Je suis franco-danois et mes parents m’envoyaient fréquemment en colonie là-bas. J’avais quinze ans. Je suis d’un naturel très social donc j’arrivais vite à m’intégrer parmi les garçons malgré la barrière de la langue. Je baragouinais quelques mots en danois, au besoin on parlait en anglais ou avec les mains.
Il y avait un ami avec lequel je m’entendais particulièrement bien, on couchait dans la même chambre et quand on dormait dehors, on partageait la tente. Il avait deux ans de plus et c’était un peu comme un grand-frère. Il m’apprenait à pêcher, à planter les piquets, creuser un sol meuble, allumer un feu, bref tout ce qu’un citadin comme moi ignorait. Puis un soir après une veillée on a rejoint nos tentes et il a sorti son téléphone. Il m’a dit d’approcher et m’a montré un film porno qu’il avait téléchargé. C’était une scène plutôt banale, une meuf brune à gros seins qui suçait un type. J’avais réussi à caler ma queue dans l’élastique de mon caleçon pour pas que mon érection soit trop voyante. Lui était moins pudique, on distinguait son sexe grossir derrière la toile de ses sous-vêtements sans que ça le gêne. Le film s’est vite terminé. Il a enlevé son tshirt pour se mettre torse nu.
C’était un beau garçon. Mince, élancé, avec des traits fins. Ses yeux étaient bleus et une petite mèche blonde tombait sur son front. Il avait des abdos dessinés, une poitrine délicate et deux petits tétons roses. On voyait un léger duvet blond à la lumière mais c’étaient ses seuls poils. Il s’est allongé sur le dos à côté de moi puis a pris ma main pour la poser sur son torse. Sa peau était chaude et douce, c’était une sensation vraiment agréable. Je l’ai vite retirée. Moi je rougissais de honte et de peur. Il a commencé à baisser son caleçon, mon coeur s’est emballé de stress. Il m’a invité à faire pareil mais je suis resté immobile et silencieux. Il m’a juste regardé en souriant. Après quelques minutes, en voyant qu’il continuait à me fixer et qu’il restait nu, j’ai baissé le mien. J’étais pas fier, en fait j’étais carrément mal à l’aise. Mais j’étais un peu excité.
On avait fait une longue marche sous le soleil cette journée-là, c’était en été on avait chaud. Nos corps sales relâchaient de mauvaises odeurs. Se mélangeaient les parfums de la sueur, de nos pieds, de nos sexes, des sous-vêtements et des chaussettes qui traînaient dans la tente. Il a commencé à se masturber devant moi. Ça avait quelque chose d’intrigant de voir un garçon se branler parce que c’est un truc intime que j’aurais jamais pensé partager avec un autre. Sa queue était plus grosse que la mienne qui avait déjà une belle taille pour mon âge mais elle était légèrement courbée, ça lui donnait une allure étrange. À un moment il a ralenti le mouvement de sa main et m’a regardé avec un gros sourire. Il m’a proposé de reproduire la scène du film qu’il m’avait montré. J’ai d’abord timidement dit non de la tête mais je pouvais pas détourner mon regard de sa bite. J’étais comme tétanisé. Il me l’a redemandé en se collant à moi et je suis resté silencieux. Je me souviens que je me battais contre moi-même, j’avais envie de le faire, de lui donner ce plaisir, mais ça me paraissait sale et dans le fond carrément dégueulasse. J’ai vraiment beaucoup hésité mais j’ai finalement accepté. J’étais vierge et je voulais essayer le sexe, voir ce que ça donnait et tant pis si c’était avec un mec.
J’ai pris son sexe en bouche. Il était chaud, presque bouillant. Je l’ai vu mordre ses lèvres en regardant le toit de la tente. Il grossissait dans ma bouche, ça me chatouillait, mais j’ai eu du mal à l’accepter dans la gorge parce que j’avais le réflexe de recracher. J’ai baladé ma langue sur son gland. Il tressaillait, n’arrivait plus à taire ses cris et grognait de plaisir. Je sortais parfois son sexe mouillé de ma bouche pour faire retomber l’excitation, lui respirait fort tout en caressant mes cheveux. Sa queue était bien dure, son érection devait presque être douloureuse. Ses yeux me suppliaient à la fois d’arrêter et de continuer. J’ai cruellement repris son sexe en bouche et l’ai davantage supplicié de plaisir avec mes coups de langue. Puis d’un coup il a levé la main et s’est retiré pour éjaculer par terre. J’étais presque jaloux de l’énorme quantité de sperme qu’il avait lâché. Il y en avait sur mon caleçon et mes chaussettes, on a essayé de nettoyer vite fait avec des mouchoirs mais sans grands résultats. Au final on a décidé de dormir parce qu’on était crevé. Je me souviens qu’après que je me sois allongé il est venu coller son ventre à mon dos mais je lui ai demandé de partir parce que bordel qu’il faisait chaud dans la tente et que son corps à lui était bouillant.
Il y avait un ami avec lequel je m’entendais particulièrement bien, on couchait dans la même chambre et quand on dormait dehors, on partageait la tente. Il avait deux ans de plus et c’était un peu comme un grand-frère. Il m’apprenait à pêcher, à planter les piquets, creuser un sol meuble, allumer un feu, bref tout ce qu’un citadin comme moi ignorait. Puis un soir après une veillée on a rejoint nos tentes et il a sorti son téléphone. Il m’a dit d’approcher et m’a montré un film porno qu’il avait téléchargé. C’était une scène plutôt banale, une meuf brune à gros seins qui suçait un type. J’avais réussi à caler ma queue dans l’élastique de mon caleçon pour pas que mon érection soit trop voyante. Lui était moins pudique, on distinguait son sexe grossir derrière la toile de ses sous-vêtements sans que ça le gêne. Le film s’est vite terminé. Il a enlevé son tshirt pour se mettre torse nu.
C’était un beau garçon. Mince, élancé, avec des traits fins. Ses yeux étaient bleus et une petite mèche blonde tombait sur son front. Il avait des abdos dessinés, une poitrine délicate et deux petits tétons roses. On voyait un léger duvet blond à la lumière mais c’étaient ses seuls poils. Il s’est allongé sur le dos à côté de moi puis a pris ma main pour la poser sur son torse. Sa peau était chaude et douce, c’était une sensation vraiment agréable. Je l’ai vite retirée. Moi je rougissais de honte et de peur. Il a commencé à baisser son caleçon, mon coeur s’est emballé de stress. Il m’a invité à faire pareil mais je suis resté immobile et silencieux. Il m’a juste regardé en souriant. Après quelques minutes, en voyant qu’il continuait à me fixer et qu’il restait nu, j’ai baissé le mien. J’étais pas fier, en fait j’étais carrément mal à l’aise. Mais j’étais un peu excité.
On avait fait une longue marche sous le soleil cette journée-là, c’était en été on avait chaud. Nos corps sales relâchaient de mauvaises odeurs. Se mélangeaient les parfums de la sueur, de nos pieds, de nos sexes, des sous-vêtements et des chaussettes qui traînaient dans la tente. Il a commencé à se masturber devant moi. Ça avait quelque chose d’intrigant de voir un garçon se branler parce que c’est un truc intime que j’aurais jamais pensé partager avec un autre. Sa queue était plus grosse que la mienne qui avait déjà une belle taille pour mon âge mais elle était légèrement courbée, ça lui donnait une allure étrange. À un moment il a ralenti le mouvement de sa main et m’a regardé avec un gros sourire. Il m’a proposé de reproduire la scène du film qu’il m’avait montré. J’ai d’abord timidement dit non de la tête mais je pouvais pas détourner mon regard de sa bite. J’étais comme tétanisé. Il me l’a redemandé en se collant à moi et je suis resté silencieux. Je me souviens que je me battais contre moi-même, j’avais envie de le faire, de lui donner ce plaisir, mais ça me paraissait sale et dans le fond carrément dégueulasse. J’ai vraiment beaucoup hésité mais j’ai finalement accepté. J’étais vierge et je voulais essayer le sexe, voir ce que ça donnait et tant pis si c’était avec un mec.
J’ai pris son sexe en bouche. Il était chaud, presque bouillant. Je l’ai vu mordre ses lèvres en regardant le toit de la tente. Il grossissait dans ma bouche, ça me chatouillait, mais j’ai eu du mal à l’accepter dans la gorge parce que j’avais le réflexe de recracher. J’ai baladé ma langue sur son gland. Il tressaillait, n’arrivait plus à taire ses cris et grognait de plaisir. Je sortais parfois son sexe mouillé de ma bouche pour faire retomber l’excitation, lui respirait fort tout en caressant mes cheveux. Sa queue était bien dure, son érection devait presque être douloureuse. Ses yeux me suppliaient à la fois d’arrêter et de continuer. J’ai cruellement repris son sexe en bouche et l’ai davantage supplicié de plaisir avec mes coups de langue. Puis d’un coup il a levé la main et s’est retiré pour éjaculer par terre. J’étais presque jaloux de l’énorme quantité de sperme qu’il avait lâché. Il y en avait sur mon caleçon et mes chaussettes, on a essayé de nettoyer vite fait avec des mouchoirs mais sans grands résultats. Au final on a décidé de dormir parce qu’on était crevé. Je me souviens qu’après que je me sois allongé il est venu coller son ventre à mon dos mais je lui ai demandé de partir parce que bordel qu’il faisait chaud dans la tente et que son corps à lui était bouillant.
Qui a uppé ça ?
Titre
Bon bah ca part en BL... Dommage
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