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Le bel étalon-chocolat Jean-Édouard Stephane se réveille un matin dans son lit soyeux en baldaquin
Tout nu, il se dandine tendrement tel un ver dans ses couvertures cousues par Christian Dior en personne

Il se lève soudainement, la trique a l'air du midi, car aujourd'hui il est excité, dame Renault va s'enjoindre à lui sous peu, peut être est-elle déjà là ? sa dulcinée l'attend-elle en bas de son immeuble moulu en sculptures raffinées du centre de Paris ?

Cul nu il glisse vers sa grande fenêtre et tire les rideaux rouges , le soleil Parisien éclaire son crâne chauve de quarantenaire accompli , ses dents du bonheur se dévoilent

Il tourbillonne sur ses doigts de pieds et s'en va à la cuisine remplir sa coupe d'or , de cacao Français prestigieux, il lape son liquide noir pur avachis dans son siège royal quand le téléphone vibre

Madame R, est-ce vous ?

Il saute de son trône et regarde le Télécran , courbé comme une grenouille
Monsieur Jean-Stéphane, votre chaleureuse et belle fidèle vous attend ,
Heureuse journée très cher.

Poings levés il enfile un slip Yves Saint Laurent, s'emballe de son costume à carreaux luxueux de chez Coco channel
Ses chaussures de ville brillantes reflètent son sourire de mannequin fier
Il ouvre la porte en bois de hêtre de son logement puis dévale les escaliers en marbre sous les bruits clac-claquants de ses semelles

Qui que voici ?

Qui que voilà garée là devant notre noble pacha ?

Qui est-là coiffée d'un noeud papillon géant ?

Madame R !


Elle brille , elle est là, prête pour lui !
Il s'approche , retire son béret en s'abaissant et lui empoigne la poignée de porte
Soigneusement, elle s'ouvre , ses sièges neufs sentent le pain au chocolat, caressant les coutures, tel un oiseau il se pose façon colombe sur la banquette tout en se caressant la moustache
Allongé il soupire : ahhh mon moment préféré de la semaine

En effet Jean-Stéphane loue cette Renault pour un jour dans la semaine car elle est trop chère pour lui
Mais un jour , madame R sera sienne
La belle vrombi et ils s'en aillent ,le prince est moulassé dans le siège conducteur ,crânant fier vitres baissées aux abords des champs Elysées
Tous deux se dirigent vers la Seine ,seuls entre amoureux entre les crackhead, les chances et les gauchiasses, les vaguelettes du fleuve s'écrasant au loin sur les poteaux du pont Saint Michel
Ils y passeront la journée

Mais il est déjà 17h, il doit rendre ,larmouille a l'oeil sa chérie

C'est ainsi que revenu a saint Germain des prés, il la voit repartir avec un autre

Stephanetti tourne le dos affichant son moule-cul pantalon.
Baguette sous le bras, il s'enfonce dans la rue, attristé mais pressé de la revoir.



il y a un an
BonDelire
1 an
Le beau surimi aigre doux Edouardo-San Takahashi se réveille un matin dans son futon soyeux en fibre de bambous
Tout nu, il se dandine tendrement tel un ver dans ses couvertures cousues par Lao Tseu en personne

Il se lève soudainement, la trique a l'air du midi, car aujourd'hui il est excité, dame Mazda va s'enjoindre à lui sous peu, peut être est-elle déjà là ? sa dulcinée l'attend-elle en bas de son immeuble moulu en sculptures raffinées du centre de Tokyo ?

Cul nu il glisse vers sa grande fenêtre et tire les rideaux rouges , le soleil nippon éclaire son crâne chauve de quarantenaire nourri aux galettes de riz , ses dents du bonheur se dévoilent

Il tourbillonne sur ses doigts de pieds et s'en va à la cuisine remplir son bol d'or, de thé vert prestigieux, il lape son liquide trouble pur avachis dans son tatami royal quand le téléphone vibre

Madame M , est-ce vous ?

Il saute de son trône et regarde le Télécran , courbé comme un panda :
Monsieur Takahashi , votre chaleureuse et belle fidèle vous attend ,
yoi ichinichiwo très cher.

Poings levés il enfile un kimono Rei Kawakubo., s'empare de son katana prestigieux de chez Fukushimi namero
Ses sandales brillantes reflètent son sourire de mannequin fier

Il fait glisser la porte en bois de jade de son logement puis dévale les escaliers en marbre sous les bruits clac-claquants de ses semelles

Qui que voici ?

Qui que voilà garée là devant notre noble pacha ?


Qui tzumari que voili coiffée d'un noeud papillon géant ?



Madame M !

Elle brille , elle est là, prête pour lui !
Il s'approche , pose un genou et lui empoigne la poignée de porte
Soigneusement, elle s'ouvre , ses sièges neufs sentent le cerisier, caressant les coutures, tel un petit scarabée il se pose sur la banquette
Allongé il soupire : RooOOhh iké maz, mon moment préféré de la semaine "u_u"

En effet Eduardo-san loue cette Mazda pour un jour dans la semaine car elle est trop chère pour lui
Mais un jour , madame M sera sienne
La belle vrombi et ils s'en aillent ,le samouraï est moulassé dans le siège conducteur ,crânant fier vitres baissées aux abords de la place Tikizoshi munori
Tous deux se dirigent vers le mont Fuji ,seuls entre amoureux parmi les montagnes, les temples traditionnels éruptant au loin sur l'horizon
Ils y passeront la journée

Mais il est déjà 17h, il doit rendre ,larmouille a l'oeil sa chérie


C'est ainsi que revenu a Tokyo, il la voit repartir avec un autre

Stephano-san tourne le dos affichant son moule-cul pentalon, et s'enfonce dans la rue, attristé mais pressé de la revoir.


il y a un an
Le beau surimi aigre doux Edouardo-San Takahashi se réveille un matin dans son futon soyeux en fibre de bambous
Tout nu, il se dandine tendrement tel un ver dans ses couvertures cousues par Lao Tseu en personne

Il se lève soudainement, la trique a l'air du midi, car aujourd'hui il est excité, dame Mazda va s'enjoindre à lui sous peu, peut être est-elle déjà là ? sa dulcinée l'attend-elle en bas de son immeuble moulu en sculptures raffinées du centre de Tokyo ?

Cul nu il glisse vers sa grande fenêtre et tire les rideaux rouges , le soleil nippon éclaire son crâne chauve de quarantenaire nourri aux galettes de riz , ses dents du bonheur se dévoilent

Il tourbillonne sur ses doigts de pieds et s'en va à la cuisine remplir son bol d'or, de thé vert prestigieux, il lape son liquide trouble pur avachis dans son tatami royal quand le téléphone vibre

Madame M , est-ce vous ?

Il saute de son trône et regarde le Télécran , courbé comme un panda :
Monsieur Takahashi , votre chaleureuse et belle fidèle vous attend ,
yoi ichinichiwo très cher.

Poings levés il enfile un kimono Rei Kawakubo., s'empare de son katana prestigieux de chez Fukushimi namero
Ses sandales brillantes reflètent son sourire de mannequin fier

Il fait glisser la porte en bois de jade de son logement puis dévale les escaliers en marbre sous les bruits clac-claquants de ses semelles

Qui que voici ?

Qui que voilà garée là devant notre noble pacha ?


Qui tzumari que voili coiffée d'un noeud papillon géant ?



Madame M !

Elle brille , elle est là, prête pour lui !
Il s'approche , pose un genou et lui empoigne la poignée de porte
Soigneusement, elle s'ouvre , ses sièges neufs sentent le cerisier, caressant les coutures, tel un petit scarabée il se pose sur la banquette
Allongé il soupire : RooOOhh iké maz, mon moment préféré de la semaine "u_u"

En effet Eduardo-san loue cette Mazda pour un jour dans la semaine car elle est trop chère pour lui
Mais un jour , madame M sera sienne
La belle vrombi et ils s'en aillent ,le samouraï est moulassé dans le siège conducteur ,crânant fier vitres baissées aux abords de la place Tikizoshi munori
Tous deux se dirigent vers le mont Fuji ,seuls entre amoureux parmi les montagnes, les temples traditionnels éruptant au loin sur l'horizon
Ils y passeront la journée

Mais il est déjà 17h, il doit rendre ,larmouille a l'oeil sa chérie


C'est ainsi que revenu a Tokyo, il la voit repartir avec un autre

Stephano-san tourne le dos affichant son moule-cul pentalon, et s'enfonce dans la rue, attristé mais pressé de la revoir.


A quand la version AMÉRICAINE ? :Viandebouche: ?
Avec madame C la Chevrolet
Avec madame C la Chevrolet
il y a un an
A quand la version AMÉRICAINE ? :Viandebouche: ?
Avec madame C la Chevrolet
Avec madame C la Chevrolet
Y'a moyen
il y a un an