DU SEMI VOCAL OU PETIT PET
Le petit pet, ou le semi-vocal, est celui qui sort avec moins de fracas que le grand, soit à cause de l’embouchure, ou de l’issue trop étroite du canal par où il s’exprime (comme sont ceux des demoiselles), soit à cause de la petite quantité de vents qui se trouvent renfermés dans les intestins. Ce pet se divise en clair, aspiré et moyen
DU PET CLAIR
Ce pet est un semi-vocal, ou petit pet, composé d’une matière très sèche et très déliée, qui, se portant avec douceur le long du canal de sortie, qui est fort étroit, soufflerait à peine une paille. On l’appelle vulgairement pet de demoiselle, il n’alarme point les nez sensuels et n’est point indécent comme la vesse et le pet de maçon
DU PET ASPIRÉ
Le pet aspiré est un petit pet semi-vocal, composé d’une matière humide et obscure. Pour en donner l’idée et le goût, je ne saurais mieux le comparer qu’à un pet d’oie ; et peu importe que le calibre qui le produit soit large ou étroit ; il est si chétif qu’on sent bien qu’il n’est qu’un avorton. C’est le pet ordinaire des boulangères
DU PET MOYEN
Ce dernier tient en quelque sorte un juste milieu entre le pet clair et le pet aspiré, parce que la matière homogène dont il est composé, étant de qualité et de quantité médiocre, et se trouvant bien digérée, elle sort d’elle-même sans le moindre effort par l’orifice, qui, pour lors, n’est ni trop serré ni trop ouvert. C’est le pet de ceux qui s’ennuient de leur pucelage et des femmes de bourgmestres
Le petit pet, ou le semi-vocal, est celui qui sort avec moins de fracas que le grand, soit à cause de l’embouchure, ou de l’issue trop étroite du canal par où il s’exprime (comme sont ceux des demoiselles), soit à cause de la petite quantité de vents qui se trouvent renfermés dans les intestins. Ce pet se divise en clair, aspiré et moyen
DU PET CLAIR
Ce pet est un semi-vocal, ou petit pet, composé d’une matière très sèche et très déliée, qui, se portant avec douceur le long du canal de sortie, qui est fort étroit, soufflerait à peine une paille. On l’appelle vulgairement pet de demoiselle, il n’alarme point les nez sensuels et n’est point indécent comme la vesse et le pet de maçon
DU PET ASPIRÉ
Le pet aspiré est un petit pet semi-vocal, composé d’une matière humide et obscure. Pour en donner l’idée et le goût, je ne saurais mieux le comparer qu’à un pet d’oie ; et peu importe que le calibre qui le produit soit large ou étroit ; il est si chétif qu’on sent bien qu’il n’est qu’un avorton. C’est le pet ordinaire des boulangères
DU PET MOYEN
Ce dernier tient en quelque sorte un juste milieu entre le pet clair et le pet aspiré, parce que la matière homogène dont il est composé, étant de qualité et de quantité médiocre, et se trouvant bien digérée, elle sort d’elle-même sans le moindre effort par l’orifice, qui, pour lors, n’est ni trop serré ni trop ouvert. C’est le pet de ceux qui s’ennuient de leur pucelage et des femmes de bourgmestres
Notre vie est un voyage, dans l’hiver et dans la nuit, nous cherchons notre passage, dans le ciel où rien ne luit.
CAUSES DES PETS PRÉCÉDENTS
Il y a trois causes principales de la variété des sons dans ces trois genres de pets comme dans tous les autres ; savoir la matière du vent, la nature du canal et la force du sujet
1. Plus la matière du vent est sèche, plus le son du pet est clair ; plus elle est humide, plus il est obscur ; plus elle est égale et de même nature, plus il est simple ; et plus elle est hétérogène, plus le pet est multisonore
2. Par rapport à la nature du canal, plus il sera étroit, plus le son sera aigu ; plus il sera large, plus le son aura de gravité. La preuve résulte de la délicatesse ou de la grosseur des intestins, dont l’inanition ou la plénitude fait beaucoup au son ; car on sait que ce qui est vide est plus sonore que ce qui est plein
3. Enfin, la troisième cause de la différence du son consiste dans la vigueur et dans les forces du sujet, car plus la nature pousse fortement et vigoureusement, plus le bruit du pet est grand, et plus ce dernier est étoffé
Il est donc clair que c’est de la différence des causes que naît celle des sons. On le prouve facilement par l’exemple des flûtes, des trompettes et des flageolets. Une flûte à parois épaisses et larges donne un son obscur ; une flûte mince et étroite, en rend un clair et enfin, une flûte dont les parois tiennent le milieu entre l’épais et le mince rend un son mitoyen
La constitution de l’agent est encore une cause qui prouve cette assertion. Que quelqu’un par exemple, qui a le vent bon, embouche une trompette, il en tirera infailliblement des sons très forts et le contraire arrivera s’il a l’haleine faible et courte. Disons donc que les instruments à vent sont bien inventés et bien utiles pour l’appréciation des pets ; que par eux on tire des conjectures très certaines, s’il y en a, de la différence des sons des pets. Ô admirables flûtes, tendres flageolets, graves cors de chasse ! etc. Vous êtes bien faits pour être cités dans l’art de péter quand on vous embouche mal ; et vous savez rendre une raison juste d’un son perçant ou grave, quand une bouche habile vous fait résonner. Soufflez donc habilement, musiciens
Il y a trois causes principales de la variété des sons dans ces trois genres de pets comme dans tous les autres ; savoir la matière du vent, la nature du canal et la force du sujet
1. Plus la matière du vent est sèche, plus le son du pet est clair ; plus elle est humide, plus il est obscur ; plus elle est égale et de même nature, plus il est simple ; et plus elle est hétérogène, plus le pet est multisonore
2. Par rapport à la nature du canal, plus il sera étroit, plus le son sera aigu ; plus il sera large, plus le son aura de gravité. La preuve résulte de la délicatesse ou de la grosseur des intestins, dont l’inanition ou la plénitude fait beaucoup au son ; car on sait que ce qui est vide est plus sonore que ce qui est plein
3. Enfin, la troisième cause de la différence du son consiste dans la vigueur et dans les forces du sujet, car plus la nature pousse fortement et vigoureusement, plus le bruit du pet est grand, et plus ce dernier est étoffé
Il est donc clair que c’est de la différence des causes que naît celle des sons. On le prouve facilement par l’exemple des flûtes, des trompettes et des flageolets. Une flûte à parois épaisses et larges donne un son obscur ; une flûte mince et étroite, en rend un clair et enfin, une flûte dont les parois tiennent le milieu entre l’épais et le mince rend un son mitoyen
La constitution de l’agent est encore une cause qui prouve cette assertion. Que quelqu’un par exemple, qui a le vent bon, embouche une trompette, il en tirera infailliblement des sons très forts et le contraire arrivera s’il a l’haleine faible et courte. Disons donc que les instruments à vent sont bien inventés et bien utiles pour l’appréciation des pets ; que par eux on tire des conjectures très certaines, s’il y en a, de la différence des sons des pets. Ô admirables flûtes, tendres flageolets, graves cors de chasse ! etc. Vous êtes bien faits pour être cités dans l’art de péter quand on vous embouche mal ; et vous savez rendre une raison juste d’un son perçant ou grave, quand une bouche habile vous fait résonner. Soufflez donc habilement, musiciens
Notre vie est un voyage, dans l’hiver et dans la nuit, nous cherchons notre passage, dans le ciel où rien ne luit.
Oui, je le dis dans le post juste après le tien
Tu m'as devancé
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As-tu es recommandations nutritionnelles pour optimiser les chances d'avoir des pets clairs ?
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Ça fera l'objet d'un prochain topic
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T'as trouvé une maison d'édition pour ton traité de pétidologie ?
Tu devrais contacter les Presses Universitaires de France ça pourrait les intéresser
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Notre vie est un voyage, dans l’hiver et dans la nuit, nous cherchons notre passage, dans le ciel où rien ne luit.
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Si t'as des contacts, je veux bien
Est modus in rebus, sunt certi denique fines,
Quos ultrà citràque nequit confiftere rectum.
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Vous lisez, c'est ça ?
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Dès qu'on fait un topoc de plus de 3 lignes, ça bide
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Me laissez pas bider
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Eh
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Oh
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Je suis solo sur mon topoc
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Glargoubli borglouglou
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Prout prout caca prout
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Chiasse
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