TAXE STREAMING: SPOTIFY "DÉSINVESTIRA LA FRANCE", SELON SON PATRON
https://www.bfmtv.com/tec[...]tron_AV-202312140402.html
"Une erreur stratégique monumentale, qui va à l'encontre des enjeux de souveraineté économique, culturelle et technologique européenne." Le directeur général de Spotify France, Antoine Monin, n'a pas mâché ses mots ce jeudi matin sur le plateau de FranceInfo.
La taxe sur le chiffre d'affaires des plateformes d'écoute de musique en ligne, approuvée ce mercredi par le gouvernement, a rendu furieux le patron de l'entreprise suédoise.
"Revirement" de situation
Ce "nouvel impôt de production" a été brandi le 21 juin dernier, lors de la fête de la musique, par le président de la République, Emmanuel Macron.
Les bénéfices du prélèvement seront reversés au Centre national de la musique (CNM) pour soutenir la filière musicale française.
Le directeur général de Spotify France, fermement opposé à cette taxe, regrette que le gouvernement ait "cédé à la pression du lobby du spectacle vivant et de certains parlementaires".
"Comment voulez-vous que nous opérions en France?"
"À la différence des GAFA, nous ne faisons que de la musique. Eux ont les moyens d'absorber cette taxe, pas nous. Spotify n'est pas encore rentable. Pour la première fois, l'entreprise a réalisé des bénéfices au troisième trimestre mais nous restons dans un équilibre financier fragile", confie Antoine Monin sur le plateau de FranceInfo.
"Nous versons 70% de nos revenus aux ayants droit de la musique, vous ajoutez à cela une TVA à 20%, une taxe sur les services numériques à 3%, une taxe sur les services vidéo à 5% et maintenant une taxe streaming à 1,75%. Comment voulez-vous que nous puissions opérer sur un marché comme la France?"
Interrogé sur la capacité de Spotify à absorber cette taxe, Antoine Monin se veut confiant mais l'entreprise suédoise "désinvestira la France" pour investir sur d'autres marchés plus rentables et plus en avance, comme le Royaume-Uni ou l'Allemagne. "La France ne sera plus une priorité pour Spotify" résume-t-il.
"Cette taxe est inéquitable puisqu'elle concerne uniquement les ventes en streaming et pas les ventes physiques, ni les radios musicales" explique-t-il. La volonté de financer le CNM est compréhensible selon le directeur général de Spotify France mais "l'ensemble de la filière doit contribuer" à ce financement.
"Une erreur stratégique monumentale, qui va à l'encontre des enjeux de souveraineté économique, culturelle et technologique européenne." Le directeur général de Spotify France, Antoine Monin, n'a pas mâché ses mots ce jeudi matin sur le plateau de FranceInfo.
La taxe sur le chiffre d'affaires des plateformes d'écoute de musique en ligne, approuvée ce mercredi par le gouvernement, a rendu furieux le patron de l'entreprise suédoise.
"Revirement" de situation
Ce "nouvel impôt de production" a été brandi le 21 juin dernier, lors de la fête de la musique, par le président de la République, Emmanuel Macron.
Le directeur général de Spotify France, fermement opposé à cette taxe, regrette que le gouvernement ait "cédé à la pression du lobby du spectacle vivant et de certains parlementaires".
"Comment voulez-vous que nous opérions en France?"
"À la différence des GAFA, nous ne faisons que de la musique. Eux ont les moyens d'absorber cette taxe, pas nous. Spotify n'est pas encore rentable. Pour la première fois, l'entreprise a réalisé des bénéfices au troisième trimestre mais nous restons dans un équilibre financier fragile", confie Antoine Monin sur le plateau de FranceInfo.
"Nous versons 70% de nos revenus aux ayants droit de la musique, vous ajoutez à cela une TVA à 20%, une taxe sur les services numériques à 3%, une taxe sur les services vidéo à 5% et maintenant une taxe streaming à 1,75%. Comment voulez-vous que nous puissions opérer sur un marché comme la France?"
Interrogé sur la capacité de Spotify à absorber cette taxe, Antoine Monin se veut confiant mais l'entreprise suédoise "désinvestira la France" pour investir sur d'autres marchés plus rentables et plus en avance, comme le Royaume-Uni ou l'Allemagne. "La France ne sera plus une priorité pour Spotify" résume-t-il.
"Cette taxe est inéquitable puisqu'elle concerne uniquement les ventes en streaming et pas les ventes physiques, ni les radios musicales" explique-t-il. La volonté de financer le CNM est compréhensible selon le directeur général de Spotify France mais "l'ensemble de la filière doit contribuer" à ce financement.
Il a mal absorbe sa FrancePill le pdg
Qu'il soit déjà heureux d'avoir le privilège de pouvoir gagner quelques miettes en communisto France
Qu'il soit déjà heureux d'avoir le privilège de pouvoir gagner quelques miettes en communisto France
Spotify
par les socialo franc mac
« L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables. »
Spotify
par les socialo franc mac
« L’argent public n’existe pas, il n’y a que l’argent des contribuables. »
Comme ils ont vue qu'ils n'avaient pas de bénéfices, ils ont décidé de faire une taxe sur le chiffre d'affaire
La France ce pays de malheur remplit de taxes pour engraisser un Ă©tat qui fout tous l'argent par les fenĂŞtres
'' Ce "nouvel impôt de production" a été brandi le 21 juin dernier, lors de la fête de la musique''
Nougatine Ă la tonne
Tous ça pour financer du parasites gauchistes ... Je parie que c'est le le pendant du CNC mais pour la musique ?!
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
Investir en France
A part de le halal ya rien qui va
A part de le halal ya rien qui va
C'est l'été ! Ton excuse pour rester affalé et ne pas BAISER ?!
Le Mozart de la Finance, famoso libéral qui provoque la fuite des capitaux avec ses taxes
A-t-on vraiment besoin de Spotify de toute façon ?
J'imagine que c'est pas la peine de vérifier les origines des parents du "Centre national de la musique" sur sa fiche wikipédia.
A-t-on vraiment besoin de Spotify de toute façon ?
Non. Mais on n'a pas besoin du centre national de la musique non plus
Qu'elle coule, la nouvelle Babylone !
Cela est arrivé