[DÉBAT] C'est la nuit : LA VIE APRÈS LA MORT !

Vous y croyez ?

yrr

Oui

nein

Que votre âme se détache de votre corps pour un autre plan ?
Les EMI, les TCH toussa toussa

Ou rien, Blackout le néant absolue ?

Mon hypothèse On se reincarne après la mort.
On est déjà passer du vide (prénaissance) à l'existance et après la mort on retourne au vide. y'a quoi qui nous empêche de répéter ce cycle éternellement?
Par contre c'est casse couille de perdre les souvenirs.

Bah c'est pas la vie

Personne ne sait

C'est du complotisme

Vous connaissez SOLEIL VERT ?

pour moi c'est ça :PAZENT:

On regardes nos proches avancer dans la vie j'imagine

Non

Je sais pas...

Je veux bien croire au cerveau qui nous fait rêver avant de s'éteindre définitivement. Ce processus peut durer deux heures après la mort clinique. Une vie après ? ça ouvrirait des portes au delà du rationnel. Bien que nous soyons que des êtres intellectuellement primaire

Noui

Pas le moins du monde, c'est une nuit infinie sans rêves qui nous attend après

On reprend ?

Mort = Comme si on dormais éternellement, sans conscience, sans rêves

Bien sûr.

Notre âme, c'est une congruence de principes, de concepts dont l'imbrication est plus ou moins puissante. Notre incarnation porte ces principes sur terre. Certains de ces principes nous définissent, sont propres à nous et d'autres ne nous sont pas propres mais leur combinaison est unique.

Ces principes sont en nombres infinis et sont pour la plupart inqualifiables par le verbe.

Quand une de ces forces n'est pas propre à nous mais nous anime, détermine notre action au sens le plus large, c'est qu'il s'agit d'une entité qui nous habite.

Quand on meurt, ces principes ne s'appliquent plus à travers nous. Ils se désaccouplent.

Quand ce qui nous anime, qui est propre à nous, retrouve un corps pour les porter, il s'agit d'une réincarnation.

A ce titre, tout le monde n'a pas d'âme. Les âmes sont plus ou moins fortes, et tout ce qui est sur terre n'en possède pas de propre.

C'est à dire que tout est habité par une âme, certes, mais tout n'a pas sa propre âme.