LOLA PROSTIPUTE à 16 ANS

Originaire des Yvelines, la jeune femme, aujourd’hui âgée de 18 ans, raconte à nos confrères son enfance en tant que bonne élève, ses premières "mauvaises fréquentations" en 5e, puis sa première fugue, à 13 ans. En 2021, Lola est au collège et lorgne sur les bijoux et les sacs d’une de ses copines de classe. Celle-ci lui parle alors de son job d’escort-girl et la met en relation avec les quatre garçons, tout juste majeurs, qui deviendront ses bourreaux. Devant le tribunal de l’Essonne, la jeune femme raconte l’enfer qu’elle a vécu à partir de cette rencontre, et les mois qui ont suivi : "ils nous ont pris pour leurs esclaves sexuelles", résume-t-elle. Entre deux et quatre clients par jour, via des annonces sur Internet, plus de 500 clients en quelques mois. C’est finalement une fille tout juste arrivée qui parvient à prévenir la police, malgré un chien méchant et la confiscation des téléphones portables pour dissuader les filles de s'échapper. Pour autant, ce n’est pas la fin du cauchemar pour les jeunes femmes qui ont été exploitées et qui restent marquées par ce traumatisme. "Je ne mets plus un pied en Essonne", assure Lola.


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Aujourd’hui, Lola va mieux, elle a commencé un contrat en alternance, fait du foot, s’est rapprochée de sa maman et a trouvé un copain, connaissance de longue date. Sa confiance et sa détermination sont revenues, grâce à la bienveillance des gens, son cocon familial en tête. L'espoir pour le futur est permis.

Ils donnent trop d'intérêt aux putes.

Elles ont voulu de l'argent facile elles assument.

This putain

y'en a toujours un

" Soral a raison " dit-on ...

Sélection naturelle pour cette jeune catin

putain la fin

Naturlich

« Deux garçons sont présents, la vingtaine, et lui proposent de se prostituer : "Ils m’ont promis des voyages, une voiture… Je ne voulais pas retourner chez moi, alors j’ai accepté", témoigne-t-ell »

Kaouss, celui qui se chargeait des courses va même jusqu’à dire qu’"elles font les victimes alors qu’elles n’avaient rien à faire de leur vie." Pour autant, les quatre accusés nient toute implication dans un réseau d’esclavage sexuel. Selon eux, il s’agissait de "faire la fête" avec quelques filles, dont ils ignoraient l’âge et les activités.

Léché les testicules pendant une heure et demi

mais ou il va chercher des trucs comme ça

Ils est taré ce type mais on ce Comprends avec tous les fils de pute de la région parisienne

C est pas grave