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Un éminent virologue japonais tire la sonnette d’alarme sur la fabrication de la souche Omicron
L’un des plus grands virologues japonais tire la sonnette d’alarme après avoir découvert des preuves suggérant que des souches de Covid ont été fabriquées.
Les preuves sont présentées dans leur article intitulé « Unnatural evolutionary processes of SARS-CoV-2 variants and possibility of deliberate natural selection » (Processus d’évolution non naturelle des variants du SARS-CoV-2 et possibilité d’une sélection naturelle délibérée).
L’article a été publié en septembre 2023.
Les résultats de l’étude sont potentiellement bouleversants.
À l’aide du programme Basic Locl Alignment Search Tool (BLAST), les deux chercheurs ont examiné près de 400 variants liés à Omicron.
Ils ont cherché à identifier les régions de similitude entre les séquences de protéines ou de nucléotides afin de comprendre l’ordre des mutations qui ont conduit à leur formation.
Ce qu’ils ont trouvé les a amenés à conclure que la formation d’une partie des isolats BA.1, BA.1.1 et BA.2 d’Omicron n’était pas le produit de l’évolution du génome.
Ils concluent leurs résultats en écrivant :
« Cette étude vise à souligner que le SARS-CoV-2 a subi des mutations impensables sur la base des mécanismes conventionnels de mutation des coronavirus, et nous espérons que la possibilité d’une création artificielle sera incluse dans les discussions sérieuses sur la formation des variants du SARS-CoV-2. »
Sous forme de graphique, les variants présentent un ordre progressif et méthodique.
Ce schéma n’apparaît tout simplement pas dans la nature.
Les mutations naturelles sont aléatoires et, une fois qu’elles ont muté, elles ne reviennent pas en arrière.
Or, les professeurs Miyazawa et Tanaka ont constaté que les mutations d’Omicron étaient désactivées, puis réactivées, étape par étape, au fil de l’évolution.
Un autre article analysant leurs résultats indique que :
« La réversion parfaite de mutations de ce type, à une telle échelle, est totalement invraisemblable dans le cadre d’un processus naturel.
Les variants trouvés par Tanaka et Miyazawa peuvent être décrits comme un « panel » de mutations de réversion.
« Ce type de panel est exactement ce qu’un chercheur créerait pour tester systématiquement la contribution de différents éléments d’un virus à son activité.
Les virus ne subissent que deux types de mutations.
Les mutations synonymes, fonctionnellement silencieuses et neutres du point de vue de l’évolution s’accumulent en arrière-plan, tandis que les mutations non synonymes sont les principaux moteurs qui peuvent modifier la fonction et les capacités d’un virus.
Dans l’évolution naturelle, la proportion de mutations synonymes (silencieuses) est toujours plus élevée que celle des mutations non synonymes, plus rares.
Pourtant, lorsqu’il s’agit de la protéine spike, l’élément essentiel du virus SARS-CoV-2, les chercheurs écrivent :
« En ce qui concerne la variation génétique de la protéine S de ces variants, la plupart des mutations étaient non synonymes.
« Il n’y avait pas de mutations synonymes dans les variants Alpha, Beta, Gamma, Delta ou Mu, mais seulement une dans chacun des variants Lambda et Omicron ».
Dans la vidéo partagée sur les médias sociaux, Miyazawa a lancé un avertissement glaçant au public.
« Les gouvernements ont été complètement pris en charge par des personnes malveillantes », a-t-il déclaré.
