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Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.

Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville.

Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.

Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée ».
il y a 2 ans
En vrai c'est digne d'un scénario de la BD walking dead
:zizou:
il y a 2 ans
Vidéo
:Chak:
il y a 2 ans
En vrai c'est digne d'un scénario de la BD walking dead
:zizou:
Le Mexique c'est devenu un monde post-apo
il y a 2 ans
Vidéo
:Chak:
bestgore tu tapes "los zetas" t'as des trucs

Edit : bestgore n'existe plus mais t'as d'autres trucs
il y a 2 ans
Par contre l'histoire est peu crédible, il est précisé que y'a que 15 passages dans le bus et la façon dont c'est raconté on dirait qu'ils sont 50
:zizou:
il y a 2 ans
Par contre l'histoire est peu crédible, il est précisé que y'a que 15 passages dans le bus et la façon dont c'est raconté on dirait qu'ils sont 50
:zizou:
il y a 2 ans
Par contre l'histoire est peu crédible, il est précisé que y'a que 15 passages dans le bus et la façon dont c'est raconté on dirait qu'ils sont 50
:zizou:
This, après ça fait parler l'imagination et yaurai rien d'étonnant a que y es eu des truc similaire ...
:sueur:
il y a 2 ans
:Chak:
il y a 2 ans
Je crois que ta pas comprit que a des endroits c'est pas la police qui représente la force et la loi Célestin

Même si je suis d'accord que le récit en lui même parais + romancer que retranscription réel de fait ... Mais bon, pas impossible non plus qu'il ai déjà retrouver 3bus cramer avec 40 cadavre dans une ferme hein ...
il y a 2 ans
Ils sont finito los zetas, aujourd'hui c'est " Cartel de Jalisco Nouvelle Génération" et " sinaloa "

El diablo ( un des bourreau sanguinaire de los zetas) qui a fini haché finement pendant des heures
:risitas_ahi:
:hap:
OTP /664
il y a 2 ans
Oui ce sont les pires déchets mais cette histoire est completement bidon.

C'est tellement détaillé qu'il ne peut s'agir que d'un script écrit par un célestin fan de gore
:jerry:
il y a 2 ans
Ils sont finito los zetas, aujourd'hui c'est " Cartel de Jalisco Nouvelle Génération" et " sinaloa "

El diablo ( un des bourreau sanguinaire de los zetas) qui a fini haché finement pendant des heures
:risitas_ahi:
OTP fidèle à sa réputation de connaisseur de gore
:Bench_rire_barbe:
Total erezione
:Rocco:
il y a 2 ans
Ils sont finito los zetas, aujourd'hui c'est " Cartel de Jalisco Nouvelle Génération" et " sinaloa "

El diablo ( un des bourreau sanguinaire de los zetas) qui a fini haché finement pendant des heures
:risitas_ahi:
Quand tu tapes "el diablo" les articles disent qu'il est mort dans un affrontement contre les autorités
:golemvelo:
il y a 2 ans
Anom01
Anom01
2 ans
Quand tu tapes "el diablo" les articles disent qu'il est mort dans un affrontement contre les autorités
:golemvelo:
Fake la vidéo à tourné sur "elmoundodelcartel"
Ils lui on brisé tout les membres à coup de barre de fer et ensuite coupé en petit morceau

C'était pendant la guerre avec le" Cartel des chevaliers templiers"
:hap:
OTP /664
il y a 2 ans
OTP fidèle à sa réputation de connaisseur de gore
:Bench_rire_barbe:
:Oopsi:
:hap:
OTP /664
il y a 2 ans
Après il faut quand même avoir de sacrées tripes pour s'opposer aux cartels.., surtout quand ta vie, celles de tes proches ou d'innocents sont en jeu et ce n'est clairement pas donné à n'importe qui.
il y a 2 ans
Tu dit qu'ils pourrai (dirigeant, état ) stopper ça mais que par corruption et intérêt personnel, ils laissent faire dans certaines limites ?

En quoi les états actu laissent pas faire des truc, similaire si ce n'est pire se dérouler ?

Toi même tu dit qu'ils savent, mais laisse faire .. après pour cette histoire précis, oui on est d'accord, ça pue le Fake, mais que tu change le truc dans la forme, ça le change pas énormément dans le concret, et des rafles de 15 random pour mettre un coup de terreur dans un village et faire circuler des vidéo, ce serai pas le truc le + inhumain qu'il ai fait ( le cartel ) ou laisser passer (autorité en place ) ...


Après pour le coup j'ai connu quelque sud américaine irl, quelque sud américaine ivl, et des connaisance fr qui on fait des voyages...

Résultat j'ai eu plusieurs version du truc
:ok:
il y a 2 ans
Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.

Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville.

Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.

Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée ».
Il s'est pas fait sélectionné ce cartel ?
:selection_naturelle:
il y a 2 ans
Après, si tes vraiment fin connaisseur du sujet, et ty a voyager irl ou quoi ( si tu t'es aussi amuser a tecarter des lieu ultra public touristique .. ) et que tu me certifie tes dire, a la limite je veux bien te croire, mais je doute que la réalité soit pas + pénible a regarder et comprendre ...

Genre, on part du principe que cest Fake, en quoi dans ce récit le gouvernement se dirai, la non ça va trop loin, alors que les gars pratique des massacre quotidiennement, mais qu'il laisse passer ...

Psk la ça touche directement un bus entier de civile innocent ? Comme si t'avais pas énormément de victime innocente qui sont pas là juste pour alimenter la terreur ... Comme ci le gouvernement se disait "découper un gars en rigolant , et vadrouiller en ville en équipement militaires ça passe pour un petit billet ..
Détourner un bus pour faire un carnage exemple, non la ça va trop loin on peux pas laisser faire ça quand même ...

Je défend pas le fait que ce récit est vrai, je défend le fait que c'est une manière assez artistique de romancer une histoire pour pointer du doigt ce problème, et que dans les fait des truc similaire ou pire se sont réellement passer ...
il y a 2 ans