Con large comme un estuaire Où meurt mon amoureux reflux Tu as la saveur poissonnière l’odeur de la bite et du cul La fraîche odeur trouduculière
Femme ô vagin inépuisable Dont le souvenir fait bander Tes nichons distribuent la manne Tes cuisses quelle volupté même tes menstrues sanglantes Sont une liqueur violente