Les filles venez ici, je suis le guerrier qui te fera mouiller.

Change pour moi. Si tu le mérites, je t'amènerai en enfer, si tu es belle, je chanterai ta louange et protégerais au péril de ma vie ma déesse bien-aimé.

Pour ceci, il doit juste avoir une alchimie entre nous. Tu penses aimer ? Faribole, je te ferai découvrir un monde vaste remplie d'orgasme aussi intense que la flamme qui par le vent prend en puissance et fait ressortir toute la cyprine de tes abysses.

Avec moi tes lamentations se transformeront en gémissement symphonique, évoquant le plus bel envole de colombes au monde. Je ferai en sorte que tu succombes à mes sortilèges les plus sombres. Un homme ? Tu ne sais pas encore ce qu'est un vrai homme. Je suis le guerrier aux muscles doré, l'aura aussi grande que la pyramide de Gysé, je te transformerais en gysère. Absurdité penses-tu ? Seule une femme vaillante aura le privilège de me rencontrer. Laisse-moi donc te tester voir si tu mérites l'être exceptionnel que je suis.

Je suis puissance, je suis feu. Ténèbre singulière, nul ne sera me résister. Car de l'enfer, je suis ressortie démon corné, à l'allure démoniaquement séduisante. Mon phallus est magie, mes doigts sont violonistes.

Ma corde d'arc est sublimation. Dans un monde de soumission, je suis rebelle, farouche, au grand cœur. Dépression n'est que la manifestions d'autrui pour moi. Rayonnant d'amour, je transforme tel le grand scientifique de la vie toute lueur de félonie en une cacophonie mélodieuse, insidieuse dans ton esprit, pénétrant ton Yoni cosmique. Je suis le démon, deviens ma belle et forte force.

Dans un bric-à-brac de mot sans sens, d'acte vain, de neutralité et de faiblesse, je déboule telle une légion de lion, la rage, la colère n'est que profonde manifestation de mon troisième quand mon quatrième des ails se déploient en une voûte de purs sentiments. Avec moi, tu sais maintenant qui tu es, car ma nature n'est que ta révélation. Sublime déesse, vient à moi, ouvre tes cuisses, je plongerai en son sein et ensemble, nous irons là où l'extase n'est point avarice, mais élévation de l'esprit.

Bordel, mais je suis un poète de génie, je m'aime tellement. Louange à moi