Je marchais dans les rues de Paris et j'ai remarqué principalement deux types d'hommes.
D'un côté, ceux qui sont dans le "mouv", qui traînent avec leurs meufs. Ils sont maigres, marchent le dos voûté comme des animaux domestiques, peu sûrs d'eux, en général leur meuf marche en avant, regarde droit devant, arrogante, comme pour donner le pas. Eux sont à la traîne de leur meuf, parfois la meuf les entraîne par la main comme on entraînerait un chien en laisse. Ils ressemblent à la meuf de leur meuf en fait. Parfois, ils ont même des habits assortis avec ceux de leur meuf. Ils ont beau avoir un pénis, ce sont comme des femmes entretenant une relation homosexuelle avec une autre femme. Ce sont ceux que j'appelle: "les hommes sojas" ou encore "les fayots du matriarcat".
D'un autre côté, souvent plus vieux, on voit des hommes célibataires qui traînent seuls, ex-célestins, avec l'attirail du vieux garçon. Ils se situent à divers degrés sur l'échelle de l'alcoolisme et du vagabondage. Des hommes esseulés, au regard vide, au visage grave dégageant une certaine dignité tragique. Leurs yeux regardent en face chaque jour la solitude et la mort au bout du chemin. Ce sont les SDF, les exclus du matriarcat, les "hommes brisés", ironiquement les seuls hommes qui restent.
D'un côté, ceux qui sont dans le "mouv", qui traînent avec leurs meufs. Ils sont maigres, marchent le dos voûté comme des animaux domestiques, peu sûrs d'eux, en général leur meuf marche en avant, regarde droit devant, arrogante, comme pour donner le pas. Eux sont à la traîne de leur meuf, parfois la meuf les entraîne par la main comme on entraînerait un chien en laisse. Ils ressemblent à la meuf de leur meuf en fait. Parfois, ils ont même des habits assortis avec ceux de leur meuf. Ils ont beau avoir un pénis, ce sont comme des femmes entretenant une relation homosexuelle avec une autre femme. Ce sont ceux que j'appelle: "les hommes sojas" ou encore "les fayots du matriarcat".
D'un autre côté, souvent plus vieux, on voit des hommes célibataires qui traînent seuls, ex-célestins, avec l'attirail du vieux garçon. Ils se situent à divers degrés sur l'échelle de l'alcoolisme et du vagabondage. Des hommes esseulés, au regard vide, au visage grave dégageant une certaine dignité tragique. Leurs yeux regardent en face chaque jour la solitude et la mort au bout du chemin. Ce sont les SDF, les exclus du matriarcat, les "hommes brisés", ironiquement les seuls hommes qui restent.
C'est que de l'amour putain ! 
C'est que de l'amour putain !
3 ème coté : migrants 
En même temps les Parisiennes sont des garages à migrants, ça attire pas les mâles dominants
N'entre pas docilement dans cette douce nuit
C'est comment dans vos villes ?
C'est que de l'amour putain !
Dans le Sud ya beaucoup de gens solides (50% de votes FN
), mais le taux de gauchisme reste alarmant, sans compter la drogue que pleins de jeunes prennent comme des bonbons
À Paris ça doit être la pire concentration d'hommes sojas. Peut être qu'ailleurs en France c'est moins flagrant.
C'est que de l'amour putain !
C'est vers quel coin ?
Ca a l'air sympa.
Ca a l'air sympa.
C'est que de l'amour putain !
C'est maître course la bas aussi, terre de rugby en plus
Par contre vu que tous le monde sait que c'est l'endroit où il fait le mieux vivre en France, vous allez commencer à avoir la merde qui va arriver, les élites ne veulent pas de petits paradis
Par contre vu que tous le monde sait que c'est l'endroit où il fait le mieux vivre en France, vous allez commencer à avoir la merde qui va arriver, les élites ne veulent pas de petits paradis
N'entre pas docilement dans cette douce nuit
C'est maître course la bas aussi, terre de rugby en plus
Par contre vu que tous le monde sait que c'est l'endroit où il fait le mieux vivre en France, vous allez commencer à avoir la merde qui va arriver, les élites ne veulent pas de petits paradis
Par contre vu que tous le monde sait que c'est l'endroit où il fait le mieux vivre en France, vous allez commencer à avoir la merde qui va arriver, les élites ne veulent pas de petits paradis
Beaucoup de meufs sont tatouées,
certaines une tatouage au milieu des nibards (elles veulent attirer l'oeil vers leurs nibards apparement)
certaines des petits tatouages sur les jambes ou les épaules mais ça fait sale un peu
un autre truc très courant, le bras complètement envahi par des tatouages colorés.
Avant, quand un gars épousait une meuf, elle portait son nom.
Aujourd'hui, les meufs ne se marient plus. Mais comme ce refus du mariage est une trahison du juste cours des choses, à défaut de porter le nom d'un mari, elle se gravent de manière totalement folle et absurde des noms sur la peau comme une sorte de passage à l'acte.
Plutôt que de porter (symboliquement) le nom de leur mari, elles portent (réellement) des noms absurdes sur la peau.
certaines une tatouage au milieu des nibards (elles veulent attirer l'oeil vers leurs nibards apparement)
certaines des petits tatouages sur les jambes ou les épaules mais ça fait sale un peu
un autre truc très courant, le bras complètement envahi par des tatouages colorés.
Avant, quand un gars épousait une meuf, elle portait son nom.
Aujourd'hui, les meufs ne se marient plus. Mais comme ce refus du mariage est une trahison du juste cours des choses, à défaut de porter le nom d'un mari, elle se gravent de manière totalement folle et absurde des noms sur la peau comme une sorte de passage à l'acte.
Plutôt que de porter (symboliquement) le nom de leur mari, elles portent (réellement) des noms absurdes sur la peau.
C'est que de l'amour putain !
Les hommes sojas, eux, ne sont que les porte-pénis de leurs femmes (comme les gars qui portaient les parapluies des nobles).
C'est que de l'amour putain !
3 ème coté : migrants
Supersonique et toient?
