Ce sujet a été résolu
Je n'ai pas de compte secondaire et je n'en ai jamais eu, les usurpateurs sont des FDP qui méritent de Crever
il y a 3 ans
Ca vient d'où les chiffres de l'INSEE sur la dépense public du coup ? Parce qu'un fond de garanti de 150 milliards ça pèse pas lourds face à 15 - 20 millions de retraités.
il y a 3 ans
10 millions de chômeurs
De Rsaiste
De migrants
Mais non faut continuer à faire bosser Sylvain, Thomas et Eric qu'on commencé a 19 ans pour les faire trimer jusqu'à 65.
Lol.
Quand j'entends certains fonctionnaires qui sont parti a la retraite a 55ans ....
Ce me dégoûte.
De Rsaiste
De migrants
Mais non faut continuer à faire bosser Sylvain, Thomas et Eric qu'on commencé a 19 ans pour les faire trimer jusqu'à 65.
Lol.
Quand j'entends certains fonctionnaires qui sont parti a la retraite a 55ans ....
Ce me dégoûte.
Ce post est écrit au second degré Mr le Juge.
il y a 3 ans
Je ne connais pas vraiment cet économiste, mais je crois qu'il était passé chez Thinkerview. Franchement, j'y comprends rien à ces histoires de retraite. Ça me rappelle cependant Asselinau qui disait que dans dix ans, notre système actuel repasserait mécaniquement dans le vert
Chiche. Attendons dix ans.
Chiche. Attendons dix ans.
il y a 3 ans
Blondin
3 ans
10 millions de chômeurs
De Rsaiste
De migrants
Mais non faut continuer à faire bosser Sylvain, Thomas et Eric qu'on commencé a 19 ans pour les faire trimer jusqu'à 65.
Lol.
Quand j'entends certains fonctionnaires qui sont parti a la retraite a 55ans ....
Ce me dégoûte.
De Rsaiste
De migrants
Mais non faut continuer à faire bosser Sylvain, Thomas et Eric qu'on commencé a 19 ans pour les faire trimer jusqu'à 65.
Lol.
Quand j'entends certains fonctionnaires qui sont parti a la retraite a 55ans ....
Ce me dégoûte.
Et il faut aussi faire venir 20 millions d'africains car manque de main d'oeuvre
Je n'ai pas de compte secondaire et je n'en ai jamais eu, les usurpateurs sont des FDP qui méritent de Crever
il y a 3 ans
Et il faut aussi faire venir 20 millions d'africains car manque de main d'oeuvre
Sur 20 millions seul 5 vont bosser et encore
Ce post est écrit au second degré Mr le Juge.
il y a 3 ans
.
Si on veut faire de l'économie en mettant des économistes et des politiciens sérieux...
Voici quelques citations utiles.
David Ricardo dans " Des principes de l'économie politique et de l'impôt, 1817 : " Dans le cas de la création monétaire, l'avantage serait toujours pour ceux qui émettraient la monnaie de crédit; et comme le gouvernement représente la nation, la nation aurait épargné l'impôt, si elle, et non la banque, avait elle même l'émission de cette monnaie.... Le public aurait un intérêt direct à ce que fut l'Etat, et non une compagnie de marchands ou de banquiers, qui fit cette émission. "
Abraham Lincoln : " La puissance d'argent fait sa proie de la Nation en temps de paix et conspire contre elle en temps d'adversité. Elle est plus despotique que la monarchie, plus insolente que l'aristocratie, plus égoiste que la bureaucratie. (...) Les groupes financiers et industriels sont devenus tout puissants, il s'ensuivra une ère de corruption aux postes élevés et la puissance d'argent du pays cherchera à prolonger son règne en utilisant les préjugés du peuple jusqu'à ce que le fortune soit concentrée en un petit nombre de mains et la république détruite. "
Clément Juglar : " Les crises commerciales " : " Qu'est ce que le crédit, sinon le simple pouvoir d'acheter en échange d'une promesse de payer? La fonction d'une banque ou d'un banquier est d'acheter des dettes avec des promesses ) payer... La pratique seule du crédit amène ainsi par l'abus qu'on est porté à en faire, aux crises commerciales.... Le crédit est le principal moteur, il donne l'impulsion; c'est lui qui, par la signature d'un simple effet de commerce, d'une lettre de change, donne une puissance d'achat qui paraît illimitée. "
Irving Fisher, 100 % money : " Le fait de faire revivre maintenant l'ancien système de couverture intégrale des dépôts (...) empêcherait effectivement l'inflation et la déflation suscitées par notre système actuel, c'est à dire stopperait effectivement la création et la destruction irresponsables de monnaie par nos milliers de banques commerciales qui agissent aujourd'hui comme autant d'instituts privés d'émissions (...). L'essence du plan 100% monnaie est de rendre la monnaie indépendante des prêts, c'est à dire de séparer le processus de création et de destruction de monnaie du prêt aux affaires. "
Maurice Allais, Prix Nobel d'économie 1988, La réforme monétaire, 1976 : " Le jugement éthique porté sur le mécanisme du crédit bancaire s'est profondément modifié au cours des siècles. (...) A l'origine, le principe du crédit reposait sur une couverture intégrale des dépôts. (...) Ce n'est que vers le XVIIème siècle, avec l'apparition des billets de banque que les banques abandonnèrent progressivement ce principe. Mais ce fut dans le plus grand secret et à l'insu du public "... " En abandonnant au secteur bancaire le droit de créer de la monnaie, l'Etat s'est privé en moyenne d'un pouvoir d'achat annuel représentant environ 5,2% du revenu national. "
Jean Marcel Jeanneney, Fondateur de l'OFCE, Ecoute la France qui gronde, 1995 : " Je prétends que, dans la conjoncture actuelle, à condition d'entourer l'opération de garde fous, l'émission de monnaie ex nihilo par la Banque de France, sans qu'existe aucune créance en contrepartie, est indispensable pour sortir notre économie et son anémie. (...) Il s'agirait de fourni aux ménages un pouvoir d'achat supplémentaire, qui n'alourdisse en rien les coûts de production. (...) Cette monnaie ne pourrait être remise au Trésor, ce que les accords européens interdisent. (...) C'est donc directement aux habitants de territoire français que la monnaie créée devra aller. (...) Le mot capitulation désignant un impôt uniforme prélevé par tête d'habitant, l'allocation versée serait une capitation inversée. (...) 1000 ou 2000 francs seraient versés à toute personne résidente, quels que soient son âge et ses revenus. La Banque ( centrale ) réserverait le droit de renouveler ou non l'opération si la conjoncture le demande. "
Jacques Méraud, Fondateur du CERC, Le Monde du 5 août 1997 au 2 septembre 1997 : " On pourrait avoir une productivité plus grande des secteurs tertiaires, et générer en aval du pouvoir d'achat, si l'on avait plus de demande en amont. Mais ladite demande suppose déjà du pouvoir d'achat. Il faut donc qu'intervienne une demande exogène pour que reprenne la croissance; et que (...) lorsqu'une injection de monnaie de la Banque centrale paraît opportune ou Conseil de la Politique Monétaire, que les modalités en soient étudiées entre ce dernier et le Gouvernement, étant entendu qu'elle pourrait viser à stimuler la demande privée aussi bien que la demande publique. "
Maurice Allais, Prix Nobel d'économie, 1988, L'impôt sur le capital et la réforme monétaire, 1976 : " Il est aujourd'hui pour le moins paradoxal de constater que lorsque, pendant des siècles, l'Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l'Etat de battre monnaie et le privilège exclusif d'en garder le bénéfice, la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés. "
Thomas Jefferson ( 1743 - 1826 ) : " Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation." " Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés d'une armée debout ".
Mayer Amshel Rothschild ( 1743 - 1812 ) : " Donnez moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui feront ses lois. "
Joseph E. Stiglitz, Quand le capitalisme perd la tête, 2003 : " Nous avons besoin de nouvelles règles publiques, indépendantes. Le néolibéralisme apparait comme un système économiquement malsain. Il génère de la pauvreté. Il est dogmatique et injuste. Il menace la démocratie. C'est un mauvais modèle économique. "
Il faut se soutenir qu'en 1861, aux Etats Unis, l'Etat a repris le contrôle de l'émission et de la circulation d'une monnaie sans intérêts. La production agricole et industrielle redémarra, le chômage disparu. En 1865, après l'assassinat du président Lincoln, les banques privées imposèrent de nouveau une monnaie avec intérêts. En dix ans, le pouvoir d'achat chutant de moitié, il y eut 55 000 faillites, avec tout un cortège de chômage et de misère. Logique, car les banquiers, avec les intérêts, prenaient la moitié de l'argent que les gens gagnaient en travaillant. Pour ce qui est de l'assassinat du président Lincoln, sans que la relation de cause à effet puisse être prouvée à 100%, on doit remarquer que trois présidents des Etats Unis furent assassinés après avoir remis en question la création monétaire privée : James Madison, Abraham Lincoln et John F. Kennedy qui aurait le 4 juin 1963, soit cinq mois avant son assassinat, signé le décret présidentiel numéro 11110 redonnant au gouvernement US le pouvoir d'émettre de la monnaie.
Josiah Stamp, Gouverneur de la Banque d'Angleterre, 1920 : " Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre esclavage, alors laissez les banques créer l'argent. "
Rothschild frères ( en 1865, dans une lettre envoyée par un banquier londonien à ses confrères de Wall Street à New York : " Messiers, un certain John Sherman nous a écrit qu'il n'y a jamais eu autant de chance pour les capitalistes d'accumuler de la monnaie que par un " décret promulgué ", selon le plan formulé de l'Association Britannique des Banquiers. Il donne presque tous les pouvoirs à la banque nationale sur les finances de la nation. (...) si ce plan prenait force de loi, il en découlerait de grands profits pour la fraternité des banquiers dans le monde entier. (...) M. Sherman dit que les quelques personnes qui comprennent ce système ou bien seront intéressés à ses profits ou bien dépendront tellement de ses faveurs qu'il n'y aura pas d'opposition de la part de cette classe, alors que la grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les formidables avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans complainte et peut être sans s'imaginer que le système est contraire à ses intérêts. "
« Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […]
L'argent n'a pas de patrie ; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »
Napoléon Bonaparte, (1769-1821)
« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années.
Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial.
La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »
David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991
« Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressées par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe.
D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts »
Rothschild Brothers of London
Si on veut faire de l'économie en mettant des économistes et des politiciens sérieux...
Voici quelques citations utiles.
David Ricardo dans " Des principes de l'économie politique et de l'impôt, 1817 : " Dans le cas de la création monétaire, l'avantage serait toujours pour ceux qui émettraient la monnaie de crédit; et comme le gouvernement représente la nation, la nation aurait épargné l'impôt, si elle, et non la banque, avait elle même l'émission de cette monnaie.... Le public aurait un intérêt direct à ce que fut l'Etat, et non une compagnie de marchands ou de banquiers, qui fit cette émission. "
Abraham Lincoln : " La puissance d'argent fait sa proie de la Nation en temps de paix et conspire contre elle en temps d'adversité. Elle est plus despotique que la monarchie, plus insolente que l'aristocratie, plus égoiste que la bureaucratie. (...) Les groupes financiers et industriels sont devenus tout puissants, il s'ensuivra une ère de corruption aux postes élevés et la puissance d'argent du pays cherchera à prolonger son règne en utilisant les préjugés du peuple jusqu'à ce que le fortune soit concentrée en un petit nombre de mains et la république détruite. "
Clément Juglar : " Les crises commerciales " : " Qu'est ce que le crédit, sinon le simple pouvoir d'acheter en échange d'une promesse de payer? La fonction d'une banque ou d'un banquier est d'acheter des dettes avec des promesses ) payer... La pratique seule du crédit amène ainsi par l'abus qu'on est porté à en faire, aux crises commerciales.... Le crédit est le principal moteur, il donne l'impulsion; c'est lui qui, par la signature d'un simple effet de commerce, d'une lettre de change, donne une puissance d'achat qui paraît illimitée. "
Irving Fisher, 100 % money : " Le fait de faire revivre maintenant l'ancien système de couverture intégrale des dépôts (...) empêcherait effectivement l'inflation et la déflation suscitées par notre système actuel, c'est à dire stopperait effectivement la création et la destruction irresponsables de monnaie par nos milliers de banques commerciales qui agissent aujourd'hui comme autant d'instituts privés d'émissions (...). L'essence du plan 100% monnaie est de rendre la monnaie indépendante des prêts, c'est à dire de séparer le processus de création et de destruction de monnaie du prêt aux affaires. "
Maurice Allais, Prix Nobel d'économie 1988, La réforme monétaire, 1976 : " Le jugement éthique porté sur le mécanisme du crédit bancaire s'est profondément modifié au cours des siècles. (...) A l'origine, le principe du crédit reposait sur une couverture intégrale des dépôts. (...) Ce n'est que vers le XVIIème siècle, avec l'apparition des billets de banque que les banques abandonnèrent progressivement ce principe. Mais ce fut dans le plus grand secret et à l'insu du public "... " En abandonnant au secteur bancaire le droit de créer de la monnaie, l'Etat s'est privé en moyenne d'un pouvoir d'achat annuel représentant environ 5,2% du revenu national. "
Jean Marcel Jeanneney, Fondateur de l'OFCE, Ecoute la France qui gronde, 1995 : " Je prétends que, dans la conjoncture actuelle, à condition d'entourer l'opération de garde fous, l'émission de monnaie ex nihilo par la Banque de France, sans qu'existe aucune créance en contrepartie, est indispensable pour sortir notre économie et son anémie. (...) Il s'agirait de fourni aux ménages un pouvoir d'achat supplémentaire, qui n'alourdisse en rien les coûts de production. (...) Cette monnaie ne pourrait être remise au Trésor, ce que les accords européens interdisent. (...) C'est donc directement aux habitants de territoire français que la monnaie créée devra aller. (...) Le mot capitulation désignant un impôt uniforme prélevé par tête d'habitant, l'allocation versée serait une capitation inversée. (...) 1000 ou 2000 francs seraient versés à toute personne résidente, quels que soient son âge et ses revenus. La Banque ( centrale ) réserverait le droit de renouveler ou non l'opération si la conjoncture le demande. "
Jacques Méraud, Fondateur du CERC, Le Monde du 5 août 1997 au 2 septembre 1997 : " On pourrait avoir une productivité plus grande des secteurs tertiaires, et générer en aval du pouvoir d'achat, si l'on avait plus de demande en amont. Mais ladite demande suppose déjà du pouvoir d'achat. Il faut donc qu'intervienne une demande exogène pour que reprenne la croissance; et que (...) lorsqu'une injection de monnaie de la Banque centrale paraît opportune ou Conseil de la Politique Monétaire, que les modalités en soient étudiées entre ce dernier et le Gouvernement, étant entendu qu'elle pourrait viser à stimuler la demande privée aussi bien que la demande publique. "
Maurice Allais, Prix Nobel d'économie, 1988, L'impôt sur le capital et la réforme monétaire, 1976 : " Il est aujourd'hui pour le moins paradoxal de constater que lorsque, pendant des siècles, l'Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l'Etat de battre monnaie et le privilège exclusif d'en garder le bénéfice, la République démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés. "
Thomas Jefferson ( 1743 - 1826 ) : " Celui qui contrôle l'argent de la nation contrôle la nation." " Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés d'une armée debout ".
Mayer Amshel Rothschild ( 1743 - 1812 ) : " Donnez moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui feront ses lois. "
Joseph E. Stiglitz, Quand le capitalisme perd la tête, 2003 : " Nous avons besoin de nouvelles règles publiques, indépendantes. Le néolibéralisme apparait comme un système économiquement malsain. Il génère de la pauvreté. Il est dogmatique et injuste. Il menace la démocratie. C'est un mauvais modèle économique. "
Il faut se soutenir qu'en 1861, aux Etats Unis, l'Etat a repris le contrôle de l'émission et de la circulation d'une monnaie sans intérêts. La production agricole et industrielle redémarra, le chômage disparu. En 1865, après l'assassinat du président Lincoln, les banques privées imposèrent de nouveau une monnaie avec intérêts. En dix ans, le pouvoir d'achat chutant de moitié, il y eut 55 000 faillites, avec tout un cortège de chômage et de misère. Logique, car les banquiers, avec les intérêts, prenaient la moitié de l'argent que les gens gagnaient en travaillant. Pour ce qui est de l'assassinat du président Lincoln, sans que la relation de cause à effet puisse être prouvée à 100%, on doit remarquer que trois présidents des Etats Unis furent assassinés après avoir remis en question la création monétaire privée : James Madison, Abraham Lincoln et John F. Kennedy qui aurait le 4 juin 1963, soit cinq mois avant son assassinat, signé le décret présidentiel numéro 11110 redonnant au gouvernement US le pouvoir d'émettre de la monnaie.
Josiah Stamp, Gouverneur de la Banque d'Angleterre, 1920 : " Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre esclavage, alors laissez les banques créer l'argent. "
Rothschild frères ( en 1865, dans une lettre envoyée par un banquier londonien à ses confrères de Wall Street à New York : " Messiers, un certain John Sherman nous a écrit qu'il n'y a jamais eu autant de chance pour les capitalistes d'accumuler de la monnaie que par un " décret promulgué ", selon le plan formulé de l'Association Britannique des Banquiers. Il donne presque tous les pouvoirs à la banque nationale sur les finances de la nation. (...) si ce plan prenait force de loi, il en découlerait de grands profits pour la fraternité des banquiers dans le monde entier. (...) M. Sherman dit que les quelques personnes qui comprennent ce système ou bien seront intéressés à ses profits ou bien dépendront tellement de ses faveurs qu'il n'y aura pas d'opposition de la part de cette classe, alors que la grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les formidables avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans complainte et peut être sans s'imaginer que le système est contraire à ses intérêts. "
« Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […]
L'argent n'a pas de patrie ; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »
Napoléon Bonaparte, (1769-1821)
« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années.
Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial.
La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »
David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991
« Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressées par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe.
D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts »
Rothschild Brothers of London
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 10 mois
« Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi.
Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. »
Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
« Les banquiers Illuminati gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant.
Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser.
Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde. »
Henry Makow
« Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose.
Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive… Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement. »
Woodrow Wilson, ancien président des Etats-Unis
« Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs.
En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts.
Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité »
Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, assassiné
« Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent. »
James A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné
« Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu, mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation. »
John Adams, père fondateur de la Constitution américaine
« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays.
Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé.
La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes.
Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »
Woodrow Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre.
Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter.
Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux.
Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits. »
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)
« Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté. »
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition
« Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent. »
Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, 1920.
« Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient. »
George H. W. Bush, 1992
« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire). »
M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939
« Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas. »
Irving Fisher, économiste et auteur
S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent. »
Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed
« Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie. »
Lenin
« Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs.
L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité. »
Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois. »
Rothschild
« Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board).
Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs.
Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres.
Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde.
Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire.
Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi »
Charles A. Lindbergh
« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire.
Car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
Henry Ford
« Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou… la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée »
American’s Bulletin
« La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l'histoire »
Henry Ford
« Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu.
Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite.
Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation.
Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde »
Louis McFadden
« Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère.
Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent.
Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi. »
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie
« Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses.
Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde.
En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli. »
1924 US Banker’s Association Magazine
« Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé.
Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué. »
Wright Patman, membre démocrate du Congrès 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975
« Seuls les petits secrets doivent être protégés. Les grands sont gardés secrets par l’incrédulité du public. »
Marshall McLuhan, "gourou" des médias
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 10 mois
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. »
Art. 35 Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793
« J’ai bien peur que le citoyen ordinaire n’aimerait pas qu’on lui dise que les banques peuvent créer de la monnaie, et le font… Et ceux qui contrôlent le crédit de la nation dirigent la politique du gouvernement et portent au creux de leurs mains la destinée du peuple. »
Reginald McKenna, ex-président du conseil de la Banque d’Angleterre du Milieu
« Vous participez à un système machiavélique de manière plus efficace en obéissant à ses ordres et décrets. Un tel système ne mérite pas l’allégeance. L’obéissance à ce système équivaut à s’associer à l’enfer. Une personne intelligente résistera de toute son âme à ce système diabolique. »
Mahatma Gandhi
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 10 mois