Ce sujet a été résolu
Salutations aux quelques clés qui liront ce topic
Pour ce présent sujet, j’aimerais aborder le vaste sujet qu’est le multivers. Et pour pouvoir le rendre un peu plus intéressant qu’un gloubi-boulga de religions/pseudos sciences où on n'y comprend rien, j’ai opté pour partir d’une vue solipsiste et ainsi tenter de montrer comment nous pouvons dépasser cet état que je juge plus symptomatique de notre époque qu’une vision honnête des possibilités réelles pouvant donner lieu à un redressement de soi. C'est un thème qui me tient particulièrement à cœur j’espère qu’il vous plaira.
Bref ça va parler quanta, nihilisme, changement d’univers, agir sans agir : attachez votre ceinture
Introduction – les contours du cadre solipsiste
Pour comprendre cette pensée et la raison pourquoi elle peut être aussi diffusée comme une redpill, il faut commencer par la base qui est proprement moderne – et j’y reviendrai par la suite.
C’est au philosophe Descartes que nous devons l’approche selon laquelle seule la conscience peut être établie comme une certitude absolue. En effet, lorsqu’on pense il y a bien un sujet pensant (la conscience), or tout ce qui existe hors de nous reste sujette à débat concernant leur réalité ; vous comprenez bien que nous ne pouvons pas « penser » – c'est-à-dire se mettre à la place – d’un objet, un animal ou un autre être humain. Tout ceci est extérieur à notre conscience, passe donc inéluctablement par nos sens, sens pouvant être altérés….
tout ce qu’on croit connaître, jusqu’à notre propre corps pourrait n’être qu’une illusion. La seule chose dont on peut être sûr c’est que notre conscience pense et, de facto, existe.
Ce qui nous conduit au solipsisme dont la traduction en latin est « je suis seul »
Celle qui est utilisée fréquemment sur la sphère internet (avancée comme une redpill ultime ce qui en est en réalité tout l'inverse mais passons) est la forme la plus radicale selon laquelle vous ne correspondriez qu’à un cerveau baignant dans un certain liquide dépourvu de tout autres organes. Vous recevriez ensuite des signaux électriques par le biais d'électrodes disposées sur votre cerveau qui vous ferait croire à des stimuli réels provenant de l'intégralité de vos sens : ouïe, odorat, goût, toucher et vue. Aucun n'y échappe étant donné que le cerveau n'expérimente rien directement.
Chaud.
Maintenant la base posée, je vais pouvoir entrer dans les différentes considérations qui seront en mesure d’invalider (au moins partiellement) ce système que je juge profondément nihiliste.
Volonté de se nuire
La première limite du solipsisme est son caractère évident d’un subjectivisme absolu qui détermine très bien son origine purement moderne provenant d’un individualisme démesuré dans lequel l’homme, se rendant compte de l’absurdité de la vie qu’il mène, du manque de sens qu'il lui attribue hors de ses aspects matérialistes et hédonistes, cherche quelque chose qui pourrait lui donner une raison à sa misérable présence en ce monde.
J’ai récemment visionné une vidéo d’une Asiat’ qui illustrait parfaitement la situation à laquelle cette nouvelle génération est confrontée. Elle avait déniché dans ses vieux journaux intimes qu’elle entretenait durant son adolescence des écrits marqués par une culpabilité dont on ne sait sa provenance, un désespoir prédominant, des témoignages déchirants parsemé d’envies suicidaires, en somme, des récits tous plus dépressifs les uns que les autres nous laissant devenir une existence terriblement malheureuse.
Dans cette vidéo, elle confesse n’avoir jamais subi de réels traumatismes, mais qu’en réalité, elle avait été influencée par des personnalités rendues populaires sur les réseaux sociaux par des histoires excessivement tristes. Ce témoignage nous pousse à en tirer la conclusion suivante => dans un siècle où l’absurde mène la danse, les individus se construisent une individualité dépressive, s’invente une histoire, des périples cumulés de souffrance. Cette souffrance est présente pour leur donner une matière sur quoi se rabattre lorsqu'ils n’ont plus le courage de continuer la lutte, ils se retranchent dans ce plaisir de vouloir être triste.
Pour se reporter d’un point de vue nietzschéen, le fait que les instincts les plus sombres de l’homme soient désormais considérés comme immoraux, il se peut que l’être souffrant les reporte sur lui-même dans le but d'acquérir un contrôle sur sa douleur. On peut dire qu’il masque une souffrance existentielle par une dont il la maîtrise pleinement.
À défaut de ne pouvoir donner un sens à leur vie, il donne un sens à leur douleur . . .
Là où je veux en venir c’est que le solipsisme apparaît comme une solution facile pour le zéro tout de base, il ne veut plus se battre et s’approprie une conception philosophique qui tend à le faire rester dans sa dépression en adoptant une position de ténébreux ayant tout compris du fonctionnement de la matrice.
L’argument solipsiste restera toujours le même : nous ne pouvons prouver qu’il existe quelque chose d’extérieur à la conscience, et même dans le cas où nous considérions l'éventualité, étant donné qu’on ne peut y accéder qu’à travers notre propre conscience, cette chose n’existe pas.
Mais en considérant le problème sous un autre angle, il n’y a pas plus de chance que vous évoluez dans une matrice piégée depuis le départ, ou au contraire que ce monde soit parfaitement réel.
Pour démontrer quelle option est la plus plausible et apporter un peu de nuance à tout ça, je pense que nous devons nous baser sur les connaissances que l’on a à disposition c'est-à-dire la science et la religion que nous ont légué nos ancêtres. Deux méthodes explicatives du monde qui nous entoure et qui sont en mesure de lever le voile sur certains mystères que recèle notre existence.
En guise de commencement, je vous propose d’introduire par quelque chose que vous ne pouvez que connaître : le rêve.
L’exemple du rêve
La dimension onirique nous fournit quelques clés quant à la manière de pouvoir se sortir de ce dilemme. Afin que le rêveur puisse sortir de ce monde, il doit arriver à se convaincre fermement que tout ce qui se trouve autour de lui est créé par sa psyché, se faisant il prend conscience qu’il réside dans un rêve et que le personnage auquel il s’identifiait est de ce fait factice. Le vrai moi est le rêveur, pas le rêvé.
Cette analogie permet d’ouvrir la perspective du solipsisme, ce n’est pas que cette théorie est fausse, mais qu’elle est incomplète, s'apparentant plus à une étape à franchir qu’à une quelconque supraconscience. Affirmer que le monde phénoménal est illusoire est un lieu commun au regard des doctrines traditionnelles. Que ça soit dans les religions abrahamiques, païennes, jusqu'au chamanisme, toutes sont unanimes pour témoigner d’un autre monde parallèle au nôtre.
L’existence du multivers par la mécanique quantique et le bouddhisme
Loin de l’idée de me prétendre pro dans ce domaine, je me baserai uniquement sur les résultats pour constater ce qu'il y a à en retirer quand on les compare aux enseignements du bouddha, histoire d’éviter toute surinterprétation.
La perspective bouddhique du monde phénoménal est que celui-ci ne serait que vacuité dans la mesure où tout ce qui existe, existe en interdépendance avec les autres phénomènes --> pas de réalité absolue indépendante des perceptions que nous en avons.
Cela rejoint la conclusion des Fentes de Young comme quoi l'électron peut changer d'état selon l’existence d’un observateur. Je vous laisse cette vidéo bien plus parlante sous cette forme :
L'expérience du Chat de Schrödinger démontre que placer un chat dans une boite dans laquelle nous avons préalablement inséré un mécanisme qui a 50% de chance de le tuer fait que tant que nous n'ouvrons pas la boîte, la mécanique quantique nous informe que le chat est à la fois mort et vivant. On dit alors qu'il se trouve dans une superposition d'états quantiques.
Je vous rassure, aucun chat n'a souffert durant ces expériences qui ne relevaient que de la pure imagination de son auteur et de toute manière impossible à mettre en pratique.
Il existe bien un lien entre les approfondissements des sciences modernes et celles, inchangées, des anciennes traditions. Il faut voir l’univers comme composés de particules élémentaires qui forment entre elles la cohérence quantique. Mais le fait que ces particules soient toujours en mouvement crée une décohérence formant une infinité d’univers parallèles au nôtre.
Pour être plus concret, cela signifie qu’au lieu de vouloir améliorer sa vie en essayant d’agir sur le monde, il serait bien plus facile d’accéder à une dimension dans laquelle vous avez eu les causes et conséquences que vous désiriez.
Changer de monde > changer le monde
Partie 1/2
Pour ce présent sujet, j’aimerais aborder le vaste sujet qu’est le multivers. Et pour pouvoir le rendre un peu plus intéressant qu’un gloubi-boulga de religions/pseudos sciences où on n'y comprend rien, j’ai opté pour partir d’une vue solipsiste et ainsi tenter de montrer comment nous pouvons dépasser cet état que je juge plus symptomatique de notre époque qu’une vision honnête des possibilités réelles pouvant donner lieu à un redressement de soi. C'est un thème qui me tient particulièrement à cœur j’espère qu’il vous plaira.

Bref ça va parler quanta, nihilisme, changement d’univers, agir sans agir : attachez votre ceinture
Introduction – les contours du cadre solipsiste
Pour comprendre cette pensée et la raison pourquoi elle peut être aussi diffusée comme une redpill, il faut commencer par la base qui est proprement moderne – et j’y reviendrai par la suite.
C’est au philosophe Descartes que nous devons l’approche selon laquelle seule la conscience peut être établie comme une certitude absolue. En effet, lorsqu’on pense il y a bien un sujet pensant (la conscience), or tout ce qui existe hors de nous reste sujette à débat concernant leur réalité ; vous comprenez bien que nous ne pouvons pas « penser » – c'est-à-dire se mettre à la place – d’un objet, un animal ou un autre être humain. Tout ceci est extérieur à notre conscience, passe donc inéluctablement par nos sens, sens pouvant être altérés….

Ce qui nous conduit au solipsisme dont la traduction en latin est « je suis seul »
Celle qui est utilisée fréquemment sur la sphère internet (avancée comme une redpill ultime ce qui en est en réalité tout l'inverse mais passons) est la forme la plus radicale selon laquelle vous ne correspondriez qu’à un cerveau baignant dans un certain liquide dépourvu de tout autres organes. Vous recevriez ensuite des signaux électriques par le biais d'électrodes disposées sur votre cerveau qui vous ferait croire à des stimuli réels provenant de l'intégralité de vos sens : ouïe, odorat, goût, toucher et vue. Aucun n'y échappe étant donné que le cerveau n'expérimente rien directement.
Chaud.

Maintenant la base posée, je vais pouvoir entrer dans les différentes considérations qui seront en mesure d’invalider (au moins partiellement) ce système que je juge profondément nihiliste.
Volonté de se nuire
La première limite du solipsisme est son caractère évident d’un subjectivisme absolu qui détermine très bien son origine purement moderne provenant d’un individualisme démesuré dans lequel l’homme, se rendant compte de l’absurdité de la vie qu’il mène, du manque de sens qu'il lui attribue hors de ses aspects matérialistes et hédonistes, cherche quelque chose qui pourrait lui donner une raison à sa misérable présence en ce monde.
J’ai récemment visionné une vidéo d’une Asiat’ qui illustrait parfaitement la situation à laquelle cette nouvelle génération est confrontée. Elle avait déniché dans ses vieux journaux intimes qu’elle entretenait durant son adolescence des écrits marqués par une culpabilité dont on ne sait sa provenance, un désespoir prédominant, des témoignages déchirants parsemé d’envies suicidaires, en somme, des récits tous plus dépressifs les uns que les autres nous laissant devenir une existence terriblement malheureuse.
Dans cette vidéo, elle confesse n’avoir jamais subi de réels traumatismes, mais qu’en réalité, elle avait été influencée par des personnalités rendues populaires sur les réseaux sociaux par des histoires excessivement tristes. Ce témoignage nous pousse à en tirer la conclusion suivante => dans un siècle où l’absurde mène la danse, les individus se construisent une individualité dépressive, s’invente une histoire, des périples cumulés de souffrance. Cette souffrance est présente pour leur donner une matière sur quoi se rabattre lorsqu'ils n’ont plus le courage de continuer la lutte, ils se retranchent dans ce plaisir de vouloir être triste.
Pour se reporter d’un point de vue nietzschéen, le fait que les instincts les plus sombres de l’homme soient désormais considérés comme immoraux, il se peut que l’être souffrant les reporte sur lui-même dans le but d'acquérir un contrôle sur sa douleur. On peut dire qu’il masque une souffrance existentielle par une dont il la maîtrise pleinement.
À défaut de ne pouvoir donner un sens à leur vie, il donne un sens à leur douleur . . .
Là où je veux en venir c’est que le solipsisme apparaît comme une solution facile pour le zéro tout de base, il ne veut plus se battre et s’approprie une conception philosophique qui tend à le faire rester dans sa dépression en adoptant une position de ténébreux ayant tout compris du fonctionnement de la matrice.
L’argument solipsiste restera toujours le même : nous ne pouvons prouver qu’il existe quelque chose d’extérieur à la conscience, et même dans le cas où nous considérions l'éventualité, étant donné qu’on ne peut y accéder qu’à travers notre propre conscience, cette chose n’existe pas.
Mais en considérant le problème sous un autre angle, il n’y a pas plus de chance que vous évoluez dans une matrice piégée depuis le départ, ou au contraire que ce monde soit parfaitement réel.
Pour démontrer quelle option est la plus plausible et apporter un peu de nuance à tout ça, je pense que nous devons nous baser sur les connaissances que l’on a à disposition c'est-à-dire la science et la religion que nous ont légué nos ancêtres. Deux méthodes explicatives du monde qui nous entoure et qui sont en mesure de lever le voile sur certains mystères que recèle notre existence.
En guise de commencement, je vous propose d’introduire par quelque chose que vous ne pouvez que connaître : le rêve.
L’exemple du rêve
La dimension onirique nous fournit quelques clés quant à la manière de pouvoir se sortir de ce dilemme. Afin que le rêveur puisse sortir de ce monde, il doit arriver à se convaincre fermement que tout ce qui se trouve autour de lui est créé par sa psyché, se faisant il prend conscience qu’il réside dans un rêve et que le personnage auquel il s’identifiait est de ce fait factice. Le vrai moi est le rêveur, pas le rêvé.
Cette analogie permet d’ouvrir la perspective du solipsisme, ce n’est pas que cette théorie est fausse, mais qu’elle est incomplète, s'apparentant plus à une étape à franchir qu’à une quelconque supraconscience. Affirmer que le monde phénoménal est illusoire est un lieu commun au regard des doctrines traditionnelles. Que ça soit dans les religions abrahamiques, païennes, jusqu'au chamanisme, toutes sont unanimes pour témoigner d’un autre monde parallèle au nôtre.
L’existence du multivers par la mécanique quantique et le bouddhisme
Loin de l’idée de me prétendre pro dans ce domaine, je me baserai uniquement sur les résultats pour constater ce qu'il y a à en retirer quand on les compare aux enseignements du bouddha, histoire d’éviter toute surinterprétation.
La perspective bouddhique du monde phénoménal est que celui-ci ne serait que vacuité dans la mesure où tout ce qui existe, existe en interdépendance avec les autres phénomènes --> pas de réalité absolue indépendante des perceptions que nous en avons.
Cela rejoint la conclusion des Fentes de Young comme quoi l'électron peut changer d'état selon l’existence d’un observateur. Je vous laisse cette vidéo bien plus parlante sous cette forme :
m.youtube.com/watch?v=Qd7sCyRxdko
L'expérience du Chat de Schrödinger démontre que placer un chat dans une boite dans laquelle nous avons préalablement inséré un mécanisme qui a 50% de chance de le tuer fait que tant que nous n'ouvrons pas la boîte, la mécanique quantique nous informe que le chat est à la fois mort et vivant. On dit alors qu'il se trouve dans une superposition d'états quantiques.

Je vous rassure, aucun chat n'a souffert durant ces expériences qui ne relevaient que de la pure imagination de son auteur et de toute manière impossible à mettre en pratique.
Il existe bien un lien entre les approfondissements des sciences modernes et celles, inchangées, des anciennes traditions. Il faut voir l’univers comme composés de particules élémentaires qui forment entre elles la cohérence quantique. Mais le fait que ces particules soient toujours en mouvement crée une décohérence formant une infinité d’univers parallèles au nôtre.
Pour être plus concret, cela signifie qu’au lieu de vouloir améliorer sa vie en essayant d’agir sur le monde, il serait bien plus facile d’accéder à une dimension dans laquelle vous avez eu les causes et conséquences que vous désiriez.

Partie 1/2
il y a 2 ans
Je ne sais pas s’il y a encore beaucoup de gens restés ici qui sont intéressés par ce genre de sujet et la tendance consistant à écrire dans le vide risque de me lasser. A vous de me dire si ça vous tente que j’écrive la deuxième partie relative à l’action.
il y a 2 ans
Le pari de Pascal me semble restreint au plan théorique, je n'ai jamais pu constater de personne puiser dedans la force de croire que la vie à un sens. On est croyant ou on ne l'est pas
il y a 2 ans
Dans la deuxième partie mais si je continue à bider je ne pense pas que ça vaudra la peine
il y a 2 ans
Je te up mon clé même si je ne crois pas du tout en ces histoires de multivers
Ensemble, cultivons la paix et l'harmonie.
il y a 2 ans
Dans la deuxième partie mais si je continue à bider je ne pense pas que ça vaudra la peine
S'il te plait j'aimerais bien lire ça demain
Nous sommes un.
il y a 2 ans
La première partie de la première partie parle uniquement du solipsisme avec quelques exemples philosophiques à la clé
Y a juste à partir du rêve que je commence à glisser
Y a juste à partir du rêve que je commence à glisser
il y a 2 ans
ça se laisse lire, mais j'attend surtout la seconde partie. Pour l'instant on a qu'une introduction, c'est dommage
j'up pour la suite khey
j'up pour la suite khey
il y a 2 ans
Le pari de Pascal me semble restreint au plan théorique, je n'ai jamais pu constater de personne puiser dedans la force de croire que la vie à un sens. On est croyant ou on ne l'est pas
Comment ça restreint au plan théorique ?
il y a 2 ans
J'ai appris l'existence de cette expérience lorsque je me berçais encore de new age tendance hitlérienne. Les possibilités qu'elle offre sont vastes, en ce temps-là je pensais surtout à une explication plus scientifique de la magie. Ensuite tu te penches sur les éléments naturels tels que l'eau qui subi un effet de transformation de ses cristaux selon le son que tu lui insuffles, le sable, etc.
Le domaine le plus pratique que j'ai pu expérimenter et que j'expérimente encore se trouve être l'inversion jour/nuit.
Si tu analyses et notes tes rêves au réveil, tu prendras conscience (si ce n'est pas déjà fait) de l'incroyable contenu réaliste dont il recelait. En rajoutant à ça une capacité de mémorisation qui consiste à faire coïncider les phénomènes qui t'apparaitront dans la journée, tu pourrais convenir que le monde réel n'est peut-être pas là où tu penses.
Tu accorderas davantage d'attention au monde des rêves et ainsi, sans le vouloir, tu te détaches de tes contingences humaines pour viser quelque chose de plus "idéal". Ce n'est pas pour autant que tu deviens une personne plus saine, ou plus proche de Dieu, mais de cette manière cela peut aider à comprendre le vide que sont les désirs et les passions en les expérimentant directement dans le monde des rêves.
Le solipsisme est un cul-de-sac, je n'ai rien d'autre à ajouter si on ne m'oppose pas d'argument.
Le domaine le plus pratique que j'ai pu expérimenter et que j'expérimente encore se trouve être l'inversion jour/nuit.
Si tu analyses et notes tes rêves au réveil, tu prendras conscience (si ce n'est pas déjà fait) de l'incroyable contenu réaliste dont il recelait. En rajoutant à ça une capacité de mémorisation qui consiste à faire coïncider les phénomènes qui t'apparaitront dans la journée, tu pourrais convenir que le monde réel n'est peut-être pas là où tu penses.
Tu accorderas davantage d'attention au monde des rêves et ainsi, sans le vouloir, tu te détaches de tes contingences humaines pour viser quelque chose de plus "idéal". Ce n'est pas pour autant que tu deviens une personne plus saine, ou plus proche de Dieu, mais de cette manière cela peut aider à comprendre le vide que sont les désirs et les passions en les expérimentant directement dans le monde des rêves.
Le solipsisme est un cul-de-sac, je n'ai rien d'autre à ajouter si on ne m'oppose pas d'argument.
il y a 2 ans
Comment ça restreint au plan théorique ?
J'ai jamais vu de chrétien qui avait trouvé la foi en lisant les pensées de Pascal, c'était forcément déjà là avant
il y a 2 ans
Non désolé...
Je sais qu'il existe une partie de la population qui ne rêve pas mais ça représente un cas infime.
Tu ne te souviens de rien du tout ? Parce que c'est souvent quand on commence la rédaction que les éléments nous reviennent au fur et à mesure.
Autre conseil : est-ce que tu as déjà quelques problèmes de mémoire ? Si oui il peut déjà être utile de se mémoriser les actions anodines que l'on produit pendant la journée. Réaliser ses actes en pleine conscience (en les pensant préalablement de sorte que tu ne sois pas agis, mais que tu agisses) peut être aussi une bonne attitude à adopter.
Enfin tu te fixes des limites de temps c'est un coup à finir complétement taré sinon
Je sais qu'il existe une partie de la population qui ne rêve pas mais ça représente un cas infime.
Tu ne te souviens de rien du tout ? Parce que c'est souvent quand on commence la rédaction que les éléments nous reviennent au fur et à mesure.
Autre conseil : est-ce que tu as déjà quelques problèmes de mémoire ? Si oui il peut déjà être utile de se mémoriser les actions anodines que l'on produit pendant la journée. Réaliser ses actes en pleine conscience (en les pensant préalablement de sorte que tu ne sois pas agis, mais que tu agisses) peut être aussi une bonne attitude à adopter.
Enfin tu te fixes des limites de temps c'est un coup à finir complétement taré sinon
il y a 2 ans
Et si le fait de pouvoir chercher un sens était déjà écrit ?
Donc une personne dont la destinée est de ne pas chercher le sens ne cherchera pas tandis qu'une autre dévouée à trouver les clés le fera
Donc une personne dont la destinée est de ne pas chercher le sens ne cherchera pas tandis qu'une autre dévouée à trouver les clés le fera
il y a 2 ans
Manger, travailler, le sex, consommer, rire...
On nous réduits à ces termes pour éviter qu'on aille trop loin, le plus futé cherchera plus loin qu'il faut
On nous réduits à ces termes pour éviter qu'on aille trop loin, le plus futé cherchera plus loin qu'il faut
il y a 2 ans