Ce sujet a été résolu
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d'ailleurs y'a personne de mentalement saint qui te dira qu'il a vu des arabes en allant dans une ville américaine
des noirs, des mexicains, ok mais jamais de la vie des arabes
d'ailleurs y'a personne de mentalement saint qui te dira qu'il a vu des arabes en allant dans une ville américaine
des noirs, des mexicains, ok mais jamais de la vie des arabes
il y a un an
il y a un an
Cette France là, je l'ai connue.
C'était avant qu'on ait une salle d'eau, on se lavait dans une bassine, dans la pièce principale qu'on nommait la carrée. Pas de chauffage, juste un poêle à bois, pas d'éclairage public, les nuits sans Lune avec nuages étaient totalement noires, on était aveugles lorsqu'on devait aller à la cabane au fond du jardin, une planche trouée directement donnant sur une fosse, avec l'odeur que vous imaginez.
C'était dur, pas de télé, pas de téléphone, pas de radio, c'est les cloches de l'église 3 kilomètres plus loin qui nous donnaient l'heure quand on était dans les champs.
Mais c'était la France, on était heureux, on pouvait laisser la porte ouverte, le vélo juste posé dehors, rien n'était jamais volé, pas de bagarre, pas d'insulte, tout le monde était gentil, bien éduqué, on ne pétait pas, on ne rotait pas, on rougissait sous les compliments, ou pour le regard d'une fille.
C'était la France, une France avec des Français dedans. C'était avant le jour de la Grande Punition.
C'était avant qu'on ait une salle d'eau, on se lavait dans une bassine, dans la pièce principale qu'on nommait la carrée. Pas de chauffage, juste un poêle à bois, pas d'éclairage public, les nuits sans Lune avec nuages étaient totalement noires, on était aveugles lorsqu'on devait aller à la cabane au fond du jardin, une planche trouée directement donnant sur une fosse, avec l'odeur que vous imaginez.
C'était dur, pas de télé, pas de téléphone, pas de radio, c'est les cloches de l'église 3 kilomètres plus loin qui nous donnaient l'heure quand on était dans les champs.
Mais c'était la France, on était heureux, on pouvait laisser la porte ouverte, le vélo juste posé dehors, rien n'était jamais volé, pas de bagarre, pas d'insulte, tout le monde était gentil, bien éduqué, on ne pétait pas, on ne rotait pas, on rougissait sous les compliments, ou pour le regard d'une fille.
C'était la France, une France avec des Français dedans. C'était avant le jour de la Grande Punition.
Non au terrorisme musulman, aux OQTFs assassins, au racisme anti français ! Vive la France Libre !
il y a un an
Neo
1 an
Cette France là, je l'ai connue.
C'était avant qu'on ait une salle d'eau, on se lavait dans une bassine, dans la pièce principale qu'on nommait la carrée. Pas de chauffage, juste un poêle à bois, pas d'éclairage public, les nuits sans Lune avec nuages étaient totalement noires, on était aveugles lorsqu'on devait aller à la cabane au fond du jardin, une planche trouée directement donnant sur une fosse, avec l'odeur que vous imaginez.
C'était dur, pas de télé, pas de téléphone, pas de radio, c'est les cloches de l'église 3 kilomètres plus loin qui nous donnaient l'heure quand on était dans les champs.
Mais c'était la France, on était heureux, on pouvait laisser la porte ouverte, le vélo juste posé dehors, rien n'était jamais volé, pas de bagarre, pas d'insulte, tout le monde était gentil, bien éduqué, on ne pétait pas, on ne rotait pas, on rougissait sous les compliments, ou pour le regard d'une fille.
C'était la France, une France avec des Français dedans. C'était avant le jour de la Grande Punition.
C'était avant qu'on ait une salle d'eau, on se lavait dans une bassine, dans la pièce principale qu'on nommait la carrée. Pas de chauffage, juste un poêle à bois, pas d'éclairage public, les nuits sans Lune avec nuages étaient totalement noires, on était aveugles lorsqu'on devait aller à la cabane au fond du jardin, une planche trouée directement donnant sur une fosse, avec l'odeur que vous imaginez.
C'était dur, pas de télé, pas de téléphone, pas de radio, c'est les cloches de l'église 3 kilomètres plus loin qui nous donnaient l'heure quand on était dans les champs.
Mais c'était la France, on était heureux, on pouvait laisser la porte ouverte, le vélo juste posé dehors, rien n'était jamais volé, pas de bagarre, pas d'insulte, tout le monde était gentil, bien éduqué, on ne pétait pas, on ne rotait pas, on rougissait sous les compliments, ou pour le regard d'une fille.
C'était la France, une France avec des Français dedans. C'était avant le jour de la Grande Punition.
J'ai l'impression d'entendre le récit de ma mère...
Du pays légal, de la France profonde.
Une époque révolue. La France oublié.
Qu'en reste t il aujourd'hui...
Du pays légal, de la France profonde.
Une époque révolue. La France oublié.
Qu'en reste t il aujourd'hui...
il y a un an