Ce sujet a été résolu
Naturellement, l'homme qui est un animal ne devrait courir logiquement qu'en 2 seules occasions :
- LA FUITE
- LA CHASSE
Le coureur sportif lui, court sans aucun motif valable apparent...en realité si !
Il fuit inconsciemment une réalité existentielle qui le dérange : une blessure psychique, un trauma, un vide de sens dans sa vie, des pensées morbides ou que sais-je encore.
Mais il court aussi aprés qqchse, pour chasser une realité qui lui échappe, une reussite qu'il n'a jamais obtenue (un echec de la vie dans sa globalité), il court apres un but et une finalité imaginaires et existentielles qu'il n'est jamais parvenu à atteindre.
Rattraper une perte de temps (que le coureur ne fait que creuser en réalité)
Dans les 2 cas il s'agit en filigrane de l'expression d'un mal-être.
Aucun coureur n'a jamais été capable de m'expliquer pourquoi il courrait.
Certains ont bien tenté el famoso "pour une bonne santé" comme si courir permettait une longevité et ou encore d'eviter les maladies.
De plus en plus d'etudes tendent même à prouver que c'est plutot l'inverse : Calcifications arterielles cardiaques, arthroses des articulations et des vertebres, perturbation endocrinienne, diabète precoce, sur-sollicitation des organes internes etc...
A part le muscle strié tout l'organisme s'use à grande vitesse dans ce genre de sport.
Seulement la redpill serait trop dure à avaler et ces parutions scientifiques restent encore dans l'ombre tant les merdias nous ont bassinés pendant des decennies avec ce mythe du sport-santé.
Quand on oppose les arguments et qu'on ajoute au fait de courir le facteur temps de vie perdu à ne pas foutre autre chose pendant toutes ces heures cramées à courir bêtement et à devoir récupérer des forces, on a vraiment du mal à voir sur la balance benefice/pertes l'interêt de cette activité qui a pour seul but de s'esquinter le muscle cardiaque si vital et ses precieuses arteres : les coureurs n'ont jamais eu une longevité de vie, au contraire.
L'idée de ce topax m'est venue en constatant que toutes les personnes autour de moi qui etaient des coureurs assidus ou qui etaient des grands coureurs avaient un denominateur commun à savoir un grand vide spirituel qui confine au stress et à l'angoisse quasi permanents sous une apparente armure.
En s'infligeant cette torture inutile, ils eprouvent le soulagement inconscient de s'être puni d'être ce qu'ils sont, à savoir des personnes qui ont une ou des culpabilités existentielles à expier.
Un homme sain d'esprit ne coure pas en soufflant et en suintant par tous les pores de la peau pendant des heures sans aucune raison valable comme un boeuf en besogne.
- LA FUITE
- LA CHASSE
Le coureur sportif lui, court sans aucun motif valable apparent...en realité si !
Il fuit inconsciemment une réalité existentielle qui le dérange : une blessure psychique, un trauma, un vide de sens dans sa vie, des pensées morbides ou que sais-je encore.
Mais il court aussi aprés qqchse, pour chasser une realité qui lui échappe, une reussite qu'il n'a jamais obtenue (un echec de la vie dans sa globalité), il court apres un but et une finalité imaginaires et existentielles qu'il n'est jamais parvenu à atteindre.
Rattraper une perte de temps (que le coureur ne fait que creuser en réalité)
Dans les 2 cas il s'agit en filigrane de l'expression d'un mal-être.
Aucun coureur n'a jamais été capable de m'expliquer pourquoi il courrait.
Certains ont bien tenté el famoso "pour une bonne santé" comme si courir permettait une longevité et ou encore d'eviter les maladies.
De plus en plus d'etudes tendent même à prouver que c'est plutot l'inverse : Calcifications arterielles cardiaques, arthroses des articulations et des vertebres, perturbation endocrinienne, diabète precoce, sur-sollicitation des organes internes etc...
A part le muscle strié tout l'organisme s'use à grande vitesse dans ce genre de sport.
Seulement la redpill serait trop dure à avaler et ces parutions scientifiques restent encore dans l'ombre tant les merdias nous ont bassinés pendant des decennies avec ce mythe du sport-santé.
Quand on oppose les arguments et qu'on ajoute au fait de courir le facteur temps de vie perdu à ne pas foutre autre chose pendant toutes ces heures cramées à courir bêtement et à devoir récupérer des forces, on a vraiment du mal à voir sur la balance benefice/pertes l'interêt de cette activité qui a pour seul but de s'esquinter le muscle cardiaque si vital et ses precieuses arteres : les coureurs n'ont jamais eu une longevité de vie, au contraire.
L'idée de ce topax m'est venue en constatant que toutes les personnes autour de moi qui etaient des coureurs assidus ou qui etaient des grands coureurs avaient un denominateur commun à savoir un grand vide spirituel qui confine au stress et à l'angoisse quasi permanents sous une apparente armure.
En s'infligeant cette torture inutile, ils eprouvent le soulagement inconscient de s'être puni d'être ce qu'ils sont, à savoir des personnes qui ont une ou des culpabilités existentielles à expier.
Un homme sain d'esprit ne coure pas en soufflant et en suintant par tous les pores de la peau pendant des heures sans aucune raison valable comme un boeuf en besogne.
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il y a 2 ans
Woo
2 ans
Naturellement, l'homme qui est un animal ne devrait courir logiquement qu'en 2 seules occasions :
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Le coureur sportif lui, court sans aucun motif valable apparent...en realité si !
Il fuit inconsciemment une réalité existentielle qui le dérange : une blessure psychique, un trauma, un vide de sens dans sa vie, des pensées morbides ou que sais-je encore.
Mais il court aussi aprés qqchse, pour chasser une realité qui lui échappe, une reussite qu'il n'a jamais obtenue (un echec de la vie dans sa globalité), il court apres un but et une finalité imaginaires et existentielles qu'il n'est jamais parvenu à atteindre.
Rattraper une perte de temps (que le coureur ne fait que creuser en réalité)
Dans les 2 cas il s'agit en filigrane de l'expression d'un mal-être.
Aucun coureur n'a jamais été capable de m'expliquer pourquoi il courrait.
Certains ont bien tenté el famoso "pour une bonne santé" comme si courir permettait une longevité et ou encore d'eviter les maladies.
De plus en plus d'etudes tendent même à prouver que c'est plutot l'inverse : Calcifications arterielles cardiaques, arthroses des articulations et des vertebres, perturbation endocrinienne, diabète precoce, sur-sollicitation des organes internes etc...
A part le muscle strié tout l'organisme s'use à grande vitesse dans ce genre de sport.
Seulement la redpill serait trop dure à avaler et ces parutions scientifiques restent encore dans l'ombre tant les merdias nous ont bassinés pendant des decennies avec ce mythe du sport-santé.
Quand on oppose les arguments et qu'on ajoute au fait de courir le facteur temps de vie perdu à ne pas foutre autre chose pendant toutes ces heures cramées à courir bêtement et à devoir récupérer des forces, on a vraiment du mal à voir sur la balance benefice/pertes l'interêt de cette activité qui a pour seul but de s'esquinter le muscle cardiaque si vital et ses precieuses arteres : les coureurs n'ont jamais eu une longevité de vie, au contraire.
L'idée de ce topax m'est venue en constatant que toutes les personnes autour de moi qui etaient des coureurs assidus ou qui etaient des grands coureurs avaient un denominateur commun à savoir un grand vide spirituel qui confine au stress et à l'angoisse quasi permanents sous une apparente armure.
En s'infligeant cette torture inutile, ils eprouvent le soulagement inconscient de s'être puni d'être ce qu'ils sont, à savoir des personnes qui ont une ou des culpabilités existentielles à expier.
Un homme sain d'esprit ne coure pas en soufflant et en suintant par tous les pores de la peau pendant des heures sans aucune raison valable comme un boeuf en besogne.
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Le coureur sportif lui, court sans aucun motif valable apparent...en realité si !
Il fuit inconsciemment une réalité existentielle qui le dérange : une blessure psychique, un trauma, un vide de sens dans sa vie, des pensées morbides ou que sais-je encore.
Mais il court aussi aprés qqchse, pour chasser une realité qui lui échappe, une reussite qu'il n'a jamais obtenue (un echec de la vie dans sa globalité), il court apres un but et une finalité imaginaires et existentielles qu'il n'est jamais parvenu à atteindre.
Rattraper une perte de temps (que le coureur ne fait que creuser en réalité)
Dans les 2 cas il s'agit en filigrane de l'expression d'un mal-être.
Aucun coureur n'a jamais été capable de m'expliquer pourquoi il courrait.
Certains ont bien tenté el famoso "pour une bonne santé" comme si courir permettait une longevité et ou encore d'eviter les maladies.
De plus en plus d'etudes tendent même à prouver que c'est plutot l'inverse : Calcifications arterielles cardiaques, arthroses des articulations et des vertebres, perturbation endocrinienne, diabète precoce, sur-sollicitation des organes internes etc...
A part le muscle strié tout l'organisme s'use à grande vitesse dans ce genre de sport.
Seulement la redpill serait trop dure à avaler et ces parutions scientifiques restent encore dans l'ombre tant les merdias nous ont bassinés pendant des decennies avec ce mythe du sport-santé.
Quand on oppose les arguments et qu'on ajoute au fait de courir le facteur temps de vie perdu à ne pas foutre autre chose pendant toutes ces heures cramées à courir bêtement et à devoir récupérer des forces, on a vraiment du mal à voir sur la balance benefice/pertes l'interêt de cette activité qui a pour seul but de s'esquinter le muscle cardiaque si vital et ses precieuses arteres : les coureurs n'ont jamais eu une longevité de vie, au contraire.
L'idée de ce topax m'est venue en constatant que toutes les personnes autour de moi qui etaient des coureurs assidus ou qui etaient des grands coureurs avaient un denominateur commun à savoir un grand vide spirituel qui confine au stress et à l'angoisse quasi permanents sous une apparente armure.
En s'infligeant cette torture inutile, ils eprouvent le soulagement inconscient de s'être puni d'être ce qu'ils sont, à savoir des personnes qui ont une ou des culpabilités existentielles à expier.
Un homme sain d'esprit ne coure pas en soufflant et en suintant par tous les pores de la peau pendant des heures sans aucune raison valable comme un boeuf en besogne.
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magnifique.
il y a 2 ans
On peut avoir le même raisonnement pour toutes les activités non nécessaires, y compris poster un topic sur un forum
Quelle est ton excuse ?
Quelle est ton excuse ?
il y a 2 ans
@SpiritCart La course à pied est specialement visée de par son caractère particulier d'austerité, quasi tous les autres sports sont ludiques.
+ tu trouveras toujours un interêt aux autres activités - non sportives s'entend.
+ tu trouveras toujours un interêt aux autres activités - non sportives s'entend.
il y a 2 ans
Exa exa
Je ne fais confiance qu'à @Joe_Valezy sur ce forum Membre fondateur de la Cosa Nostra, avec Joe et @Paulo
il y a 2 ans
J'avais lu un article ou l'auteur expliquait le succes de la course par le manque de spiritualité des athées.
Le "depassement de soi" remplace alors la foi, sans trop se casser la tête
Le "depassement de soi" remplace alors la foi, sans trop se casser la tête
Le Dernier Noeliste

il y a 2 ans
arfytu
2 ans
J'avais lu un article ou l'auteur expliquait le succes de la course par le manque de spiritualité des athées.
Le "depassement de soi" remplace alors la foi, sans trop se casser la tête
Le "depassement de soi" remplace alors la foi, sans trop se casser la tête
hésite pas à poster l'article après avoir cherché stp
il y a 2 ans
hésite pas à poster l'article après avoir cherché stp
La furia numero 3
Le Dernier Noeliste

il y a 2 ans
Tu peux pas screen ? je peux pas acheter le tome
Je l'ai pas, jai lu chez un pote
Jcrois qu' ils font une version ebook maintenant
Jcrois qu' ils font une version ebook maintenant
Le Dernier Noeliste

il y a 2 ans
Sinon y'a cette thèse qui explique la problématique du sport moderne de manière théologique en la melant à la spiritualité + son problème d'un point de vu anthropologique. Ca parle aussi d'un rapport de perdition et de vide spirituel chez le sportif l'OP. tout concorde.
il y a 2 ans
La course à pied use les articulations de manière prématurée c'est sûr.
Le reste de ton post c'est de la masturbation intellectuelle sans un début de preuve.
Le reste de ton post c'est de la masturbation intellectuelle sans un début de preuve.
Sous la couverture radar et toient?
il y a 2 ans
@Helicoptere On fait un deal : Je t'apporte les preuves et tu paies un tribu au forum en donation d'au moins 50€ ?
Combien de preuves desires-tu ?
Combien de preuves desires-tu ?
il y a 2 ans
"Il fuit inconsciemment une réalité existentielle qui le dérange : une blessure psychique, un trauma, un vide de sens dans sa vie, des pensées morbides ou que sais-je encore."
Allez petit bonhomme, trouve moi des articles scientifiques qui prouve ça.
C'est de la psychologie de comptoir.
Allez petit bonhomme, trouve moi des articles scientifiques qui prouve ça.
C'est de la psychologie de comptoir.
Sous la couverture radar et toient?
il y a 2 ans
@Helicoptere ca c'est une evidence et j'ai expliqué le pourquoi, on va pas y revenir, tu parlais plutot des effets delétères du sport sur la santé je crois.
il y a 2 ans
L'OP a raison, quelqu'un de sain ne s'infligerait pas un rituel aussi ennuyeux.
il y a 2 ans