Ce blocus, imposé contre des pétroliers considérés comme étant sous sanctions, constitue selon eux «un usage interdit de la force militaire» contre un autre État, en vertu de l'article 2 de la Charte des Nations unies. «Il s'agit d'un usage de la force si grave qu'il est expressément reconnu comme une agression armée illégale au sens de la définition de l'agression adoptée par l'Assemblée générale en 1974», ont-ils encore précisé, indiquant que cela confère en principe «à l'État victime un droit de légitime défense».