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Gloire, honneur et louange à Jésus-Christ, le Verbe éternel et consubstantiel au Père, le Seigneur des seigneurs, le Roi des rois, le Très-Haut fait homme, l’Agneau sans tache, le Prince de la Paix, l’Alpha et l’Oméga, la Sagesse incréée, la Lumière véritable qui éclaire tout homme, le Juge juste et le Médecin des âmes, le Bon Pasteur et le Pain vivant descendu du ciel.
Aujourd’hui, nous proclamons l’inouï : le Mystère de l’Incarnation. Celui que les cieux ne peuvent contenir a voulu prendre chair. Celui qui tient l’univers dans sa main a accepté la pauvreté, l’humilité, le silence. Le Créateur est entré dans sa création. Le Saint des saints s’est approché des pécheurs pour les relever. Le Dieu vivant a visité son peuple.
Que chacun entende et se souvienne : ce jour n’est pas une “tradition”, ni une saison de consommation. C’est l’annonce du salut, la victoire de la lumière sur la nuit, l’espérance offerte à ceux qui étaient perdus. Le Christ est venu chercher ce qui était égaré, guérir ce qui était brisé, réveiller ce qui était mort.
Adorons donc le Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique du Père, né dans l’humilité pour écraser l’orgueil, venu dans la douceur pour confondre la violence, descendu parmi nous pour ouvrir la porte du Royaume.
Qu’en ce jour, nos cœurs se tournent vers Lui. Qu’on laisse tomber la tiédeur, qu’on rejette les idoles, qu’on revienne à la vérité. Qu’on prie, qu’on rende grâce, qu’on aime en actes, qu’on témoigne sans peur. Car le Christ, le Rédempteur des hommes, le Soleil de justice, l’Emmanuel, Dieu avec nous, a daigné se manifester.
Gloire au Christ Jésus, splendeur du Père, espérance des peuples, consolation des affligés, libérateur des captifs, et paix aux hommes qui accueillent sa lumière.
Aujourd’hui, nous proclamons l’inouï : le Mystère de l’Incarnation. Celui que les cieux ne peuvent contenir a voulu prendre chair. Celui qui tient l’univers dans sa main a accepté la pauvreté, l’humilité, le silence. Le Créateur est entré dans sa création. Le Saint des saints s’est approché des pécheurs pour les relever. Le Dieu vivant a visité son peuple.
Que chacun entende et se souvienne : ce jour n’est pas une “tradition”, ni une saison de consommation. C’est l’annonce du salut, la victoire de la lumière sur la nuit, l’espérance offerte à ceux qui étaient perdus. Le Christ est venu chercher ce qui était égaré, guérir ce qui était brisé, réveiller ce qui était mort.
Adorons donc le Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique du Père, né dans l’humilité pour écraser l’orgueil, venu dans la douceur pour confondre la violence, descendu parmi nous pour ouvrir la porte du Royaume.
Qu’en ce jour, nos cœurs se tournent vers Lui. Qu’on laisse tomber la tiédeur, qu’on rejette les idoles, qu’on revienne à la vérité. Qu’on prie, qu’on rende grâce, qu’on aime en actes, qu’on témoigne sans peur. Car le Christ, le Rédempteur des hommes, le Soleil de justice, l’Emmanuel, Dieu avec nous, a daigné se manifester.
Gloire au Christ Jésus, splendeur du Père, espérance des peuples, consolation des affligés, libérateur des captifs, et paix aux hommes qui accueillent sa lumière.
il y a 8 heures
Honte à ceux qui ne savent même plus dire le terme, déjà vidé de sa valeur, Noël, et qui le remplacent par des formules molles, aseptisées, faites pour plaire à tout le monde, sauf à la vérité. Honte à ceux qui transforment la Nativité du Seigneur en simple “saison”, en décor, en marchandise, comme si l’Incarnation était un produit. C’est ainsi qu’on nous affaiblit, c’est ainsi qu’on tente d’effacer la foi, mot après mot, symbole après symbole, jusqu’à ce que la religion devienne un folklore inoffensif.
Mais nous n’avons pas à nous excuser d’adorer Jésus-Christ, le Verbe éternel incarné, le Fils unique du Père, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, la Lumière invaincue, l’Emmanuel, Dieu avec nous. Nous n’avons pas à chuchoter ce que le monde doit entendre. Nous n’avons pas à cacher ce qui sauve.
Qu’on le dise donc clairement, sans détour, sans honte, sans compromis : Noël est le jour où l’on proclame que le Très-Haut a daigné prendre chair, que le Sauveur est venu, que la grâce a visité son peuple. Et que ceux qui veulent réduire cela à du marketing, à de la “neutralité” ou à un simulacre festif entendent ceci : on ne neutralise pas le Christ, on ne gomme pas le Nom, on ne met pas Dieu entre parenthèses.
Gloire à Jésus-Christ, l’Agneau sans tache, le Prince de la Paix, le Médecin des âmes, le Bon Pasteur, le Pain vivant descendu du ciel. Que nos foyers redeviennent des lieux de prière. Que nos bouches redeviennent des témoins. Que notre foi cesse de s’excuser d’exister.
Qu’on ne nous vole plus les mots, qu’on ne nous vole plus le sens, qu’on ne nous vole plus l’adoration. Gloire au Christ, aujourd’hui et pour les siècles des siècles.
Mais nous n’avons pas à nous excuser d’adorer Jésus-Christ, le Verbe éternel incarné, le Fils unique du Père, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, la Lumière invaincue, l’Emmanuel, Dieu avec nous. Nous n’avons pas à chuchoter ce que le monde doit entendre. Nous n’avons pas à cacher ce qui sauve.
Qu’on le dise donc clairement, sans détour, sans honte, sans compromis : Noël est le jour où l’on proclame que le Très-Haut a daigné prendre chair, que le Sauveur est venu, que la grâce a visité son peuple. Et que ceux qui veulent réduire cela à du marketing, à de la “neutralité” ou à un simulacre festif entendent ceci : on ne neutralise pas le Christ, on ne gomme pas le Nom, on ne met pas Dieu entre parenthèses.
Gloire à Jésus-Christ, l’Agneau sans tache, le Prince de la Paix, le Médecin des âmes, le Bon Pasteur, le Pain vivant descendu du ciel. Que nos foyers redeviennent des lieux de prière. Que nos bouches redeviennent des témoins. Que notre foi cesse de s’excuser d’exister.
Qu’on ne nous vole plus les mots, qu’on ne nous vole plus le sens, qu’on ne nous vole plus l’adoration. Gloire au Christ, aujourd’hui et pour les siècles des siècles.
il y a 8 heures









