Ce sujet a été résolu
merci
Ça vaut bien un Vianney ou un maître Gims
T'as des idées noires keyou ? Plutôt que de faire une connerie, passe discuter en MP.
il y a 4 jours
Il raconte ma vie on dirait
https://youtu.be/t8Y9UoNpXzs?si=3tBxYG9bXv_KljSG
il y a 4 jours
Il raconte ma vie on dirait
c'est bien un genie alors, hésite pas a fouiller sa chaine, n'oublions pas qu'il est a l'origine du vocaroo ''JEAN LOUIS OUVRE C PAPA''
il y a 4 jours
Il raconte ma vie on dirait
Quand tu viens pour rigoler et que tu finis par pleurer d'émotion.


il y a 4 jours
Comment ne pas aimer ce génie
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
https://editions-hache.com/pdf/costes1.pdf
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
il y a 4 jours
Comment ne pas aimer ce génie
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
https://editions-hache.com/pdf/costes1.pdf
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
exa exa, tu as partagés des bonne musiques de lui,n grande gloire
il y a 4 jours
Quand tu viens pour rigoler et que tu finis par pleurer d'émotion.
https://youtu.be/t8Y9UoNpXzs?si=3tBxYG9bXv_KljSG
il y a 4 jours
Comment ne pas aimer ce génie
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
https://editions-hache.com/pdf/costes1.pdf
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
L'album "Livrez les blanches aux bicots" ayao
Ses chansons quand les associations antiracistes lui avaient fait un procès
"Bourreau brésilien" quand il hurle:
Tu n'es qu'un bourgeois planqué
Dans les beaux quartiers
Qui fait chier et qui s'fait chier!
Son texte incroyable "Mon grand-père, immigré, fasciste, raciste anti-français" à lire absolument ici:
Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves as-tu empalés sabrés entre la mer de Crimée et Moscou, bon-papa ? Ta traînée tripes caca sang cosaque me trouble m’excite m’attire. Combien de moujiks bourgeois juifs hors catégorie rêves empalés sabrés, bon-papa ? Es-tu un héros ? Un exemple ? L’aïeul dernier fil qui me relie aux temps barbares gloire. Cosaques blancs de Dénikine 1918 ; 10 000 kilomètres tripes caca sang entre Crimée et Moscou. Ce fut la dernière charge héroïque des anciens fous sabreurs face aux mitrailleuses modernité. À l’ancienne, ils brûlèrent bétail maisons démons hommes pêle-mêle ; pas de pitié pas de tri. Sauf si, par-ci par-là, une petite salope épargnée, laissée nue debout tremblante spermée au milieu des maisons champs en feu tripes caca sang papa maman frérot. Laissée là, épargnée, pour rien, comme ça, pas par pitié, juste sa beauté. La beauté du tableau exvierge nue parmi maisons champs en feu tripes caca sang ; ça vaut le coup d’œil quand on se retourne. Ah ! On s’en souvient encore au fond de la Russie 1999, les vieilles, ex-vierges épargnées, de ta cavalcade héroïque « bon-papa qui pique » ! Franchement tu piquais grave de grave !
J’ai rencontré à Paris vers 1985 une vieille très vieille Juive (ton âge bon-papa, si le cancer ne t’avait pas). Elle yiddisho-français radotait « le Cosaque est passé (1918) ». Papa maman frérot tripes caca sang... puis s’était penché, moustaches viande faisandée sous la selle couilles pleines, et l’avait traînée par ses nattes blondes jusqu’au fond du champ bord de la steppe. Il l’avait prise (frappée à quoi bon Garnick je t’aime), et Dieu sait pourquoi (fatigué de sabrer ? juste pour la beauté ?), abandonnée en vie enceinte dans la steppe en feu. Plus tard elle avait porté jusqu’à Paris l’enfant du Cosaque comme un précieux don du feu. Et maintenant toujours encore jusqu’à la fin, elle radota « le Cosaque, il était si beau ». Elle l’aimait encore entre ses cuisses ridées. Sa chatte mouillait miraculeusement pour l’image de l’homme faisandé. Alors je me demande, était-ce toi « bon-papa qui pique », qui elle lui en 1918, sur ta route de tripes caca sang entre Crimée et Moscou ? Après tout c’est possible, car tous Rouges Blancs Juifs hors catégorie survivants finirent à Paris en 1920 une fois la steppe brûlée gorgée de sang, écœurée au point de laisser des flaques.
C'est vraiment terrible et magnifique
Les dantec les houellebecq auraient vendu leur âme pour disposer d'autant de finesse et de poésie
Et contrairement à eux, Costes est plein d'humour, d'autodérision, en plus de son inspiration chamanique
"Rythmes négroïdes et bites androïdes" dans Drôle de trip (1997)
J'en a chialé de rire la première fois que je l'ai entendue
AYAA mais bordel ce
Et puis à 5:06 AMEEeEeEeEnNn!!!
Et puis à 5:06 AMEEeEeEeEnNn!!!
il y a 4 jours
c'est bien un genie alors, hésite pas a fouiller sa chaine, n'oublions pas qu'il est a l'origine du vocaroo ''JEAN LOUIS OUVRE C PAPA''
C'est comme un Manip mais avec du talent, oops jelédi
il y a 4 jours


























