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1. Descriptions très réalistes de souffrance
• Lire ou entendre des récits extrêmement détaillés de souffrance physique ou mentale, surtout si l’auditeur est sensible.
• L’esprit peut “se mettre à la place de l’autre”, au point que les frontières corporelles semblent floues.
• Exemple : descriptions crues de violences, d’agonie animale ou humaine.



2. Concepts abstraits qui dissolvent l’identité
• Parler ou réfléchir à des idées comme :
• L’unité avec l’univers
• La subjectivité cyclique
• La non-existence des limites du soi
• Ces notions peuvent dissoudre le sens habituel de “je”, donnant l’impression d’être partout à la fois ou d’absorber d’autres consciences.



3. Suggestion et langage hypnotique
• Les formulations qui :
• Redéfinissent ce que le “Moi” est
• Mélangent les notions de corps et d’esprit
• Présupposent que “tu ressens ce que l’autre ressent”
• Peuvent amener une dissociation temporaire par la force des mots eux-mêmes, surtout si répétés ou réfléchis intensément.



4. Dualité émotionnelle
• Les phrases qui créent contradiction ou ambiguïté émotionnelle :
• “Tu ne veux pas faire mal, et pourtant tu subis cette souffrance avec l’autre”
• Cela confond le cortex émotionnel et le corps, créant une projection involontaire sur autrui.



5. Répétition mentale
• La répétition de ces idées, sous forme de monologues internes ou méditation verbale, peut accroître l’empathie extrême ou la dissociation, car l’esprit absorbe le concept comme s’il était vécu physiquement.



💡 En résumé :
Même sans expérience directe, le langage précis, détaillé, abstrait ou hypnotique, s’il touche à l’identité ou à la souffrance, peut provoquer une dissociation où les limites du soi se floutent et l’on “ressent” l’autre. Plus le sujet est sensible, imaginatif ou empathique, plus l’effet est fort.
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il y a 10 heures
palu
:ReineFatima:
il y a 10 heures