Dans ses développements, il décrit en particulier dans son article de 1918 les indigènes comme un « bloc informe de primitifs profondément ignorants et crédules pour la plupart »[5] ou encore « Hâbleur, menteur, voleur et fainéant le nord-africain musulman se définit comme un débile hystérique, sujet de surcroît, à des impulsions homicides imprévisibles ». En 1932 il déclare que « l'indigène nord-africain, dont le cortex cérébral est peu évolué, est un être primitif dont la vie essentiellement végétative et instinctive est surtout réglée par le diencéphale »[-Antoine Porot