Une jeunesse sans amour sans sexe

Mérité alors.
T'as fais aucun effort maintenant paye tes conséquences

Je...

L'autisme a le dos large

Je vois parfaitement de quoi tu parles. On traîne un truc trop lourd pour être normaux. Le regard, moi aussi : on pourrait me reprocher de "mal regarder" comme si y avait un art à ça alors que mes yeux sont juste malsains. En fait, ils sont l'intensité du vide.

Bien sûr, on faisait des tas de gosses, c'était pas pour rien.

La mortalité infantile n'était pas si élevée qu'on se plait à le dire, mais la libido de l'homme est telle que la polygamie est naturelle. Il y avait donc des puceaux.

Moins qu'aujourd'hui car les sociétés d'europoïdes dont les hommes sont testostéronés et exposés au froid produisent plus de femmes.

Mais quand même.

Il faut savoir que faire un arc, des flèches, des lances, des haches, des frondes, des bâtons de jet, des pieux, des pièges par des moyens primitifs, ça requiert énormément de travail et de savoir-faire.

Les mecs qui iront à la chasse seront les plus adroits, les plus forts, ceux qui apprennent le plus vite, car former un chasseur requiert énormément d'exercice et d'expérience.

Derrière une escouade de chasseurs qui vont traquer, rabattre, piéger, achever des proies, il faut toute une tribu vouée à l'industrie, qui entretient et renouvelle sans cesse l'équipement.

Et cette industrie requiert des esprits techniques et de la force physique : des hommes. Donc c'était là qu'ils mettaient les mâles bêtas, très certainement, à travailer avec les femmes à ce qui requiert force et technicité.

La souffrance engendrée est naturelle, et bénéfique pour le groupe, cela incite le mâle bêta à donner le meilleur de lui-même.

Aujourd'hui si nous avons une telle colère c'est parce que nous avons changé de modèle, nous avons un modèle basé sur l'abondance d'esclaves, de lignées sélectionnées pour leur infériorité génétique et leur capacité de soumission.

Nous ne sommes pas les enfants ratés des mâles alphas comme dans une tribu de chasseurs-cueilleurs, nous sommes les dignes fils des mâles bêta, reproduits artificiellement par une société dont la branche industrielle est surdéveloppée, afin d'obtenir une main d'oeuvre abondante, soumise, et relativement performante pour les tâches techniques.

Autrement dit, notre suppression ne veut pas dire qu'on pratique l'eugénisme, qu'on entretient le patrimoine géntique collectif, ça veut surtout dire qu'on se suicide.

Notre condition innée nous impose une souffrance supplémentaire car tels que l'on est partis, nés dans le cheptel domestiqué d'une caste d'esclaves, on ne peut pas être dans la vertu. Si on se reproduit, on plombe notre race, si on disparait, on éteint notre race.

Les enfants ratés d'un mâle alpha, dans un contexte sauvage, sont exclus car ils sont les moins bons d'une portée issue des meilleurs. Nous, nous sommes exclus par définition. Nous sommes semblables à des poulets en batterie, nés pour être sacrifiés.

Nous devons en tirer des leçons.

Je crois que les muscles du visage et les petits mouvements involontaires de ceux-ci jouent énormément pour être perçu comme normal aux yeux des gens.

Typiquement le psychopathe dangereux on le voit avec un visage relâché et fixe, des yeux fixes et bien ouverts, aucun mouvement des muscles du visage. Donc aucune expression perceptible.

Tandis qu'une personne normale va légèrement plisser les muscles autour des yeux, autour de la bouche, sans même s'en rendre compte. Et ça va lui donner un visage vivant et avenant.

Ca fait partie du langage non verbal, y'a la démarche, la gestuelle, les mimiques du visage, la tenue du regard joue aussi beaucoup.
Fixer quelqu'un de manière robotique dans les yeux ça met mal à l'aise par exemple. Il faut un subtil mélange instinctif de tenue du regard et de détournement de regard durant une conversation.

Si tu regardes trop dans les yeux ça rend anxieux et mal à l'aise, si tu regardes pas assez ça transmet aussi un truc négatif.
Et tous ces mini-détails sont normalement instinctifs dans une humanité saine d'esprit car très tôt dans ta jeunesse tu dois expérimenter et apprendre ces choses en cotoyant des gens.

Mais à notre époque on ne fait plus tout ça, on s'isole très tôt, aussi bien chez soi qu'à l'école ou encore pire après les études.
Résultat on perd tous ces automatismes et on devient des zombies.

Perso je me suis beaucoup "amélioré" ces dernières années à force de "exposure therapy" (comme ils disent ) je crois, dû au boulot où je vois tout le temps du monde même si c'est superficiellement. J'ai pas de mal à discuter avec les gens sans passer pour un mec hyper bizarre ou quoi, et j'ai l'impression que ma gravité adulte récemment acquise le compense pas mal. Mais quand je vois avec quelle constance les normies se regardent dans les yeux je sais que je pourrais pas faire pareil. Mais quelque part je suis tenté de dire que c'est une société de lopettes dominée par des nanas qui me reprocherait d'être un peu trop rugueux et pas assez polissé, pas assez parfait.

Où peut-on placer les millions d'autistes que nous sommes tous désormais probablement par échographie Doppler, injection de vaccins à la naissance et par produits phytosanitaires agricoles ?

On peut avoir de bons gènes mais devenir des loques dès le départ à cause de l'autisme qui gangrène notre société depuis les années 60-80 grosso modo.

Où peut-on placer l'autisme dans ce contexte que tu décris ?

J'ai connu les milieux bobo-ingénieurs du tertiaire et pour se démarquer il faut certes être sociable et paraitre normal mais surtout il faut éviter d'être trop lisse et gentil avec tout le monde.

Sinon on tombe dans la case serpillère, lopette. Et pour les nana pareil.
Faut au contraire assumer un petit côté non-aligné, tête dure, idées divergentes.

Mais c'est difficile car faut trouver le juste équilibre pour pas être exclu socialement.
Typiquement si tu es droitard / raciste et que tu l'assumes pleinement tu seras exclu.

Mais faut quand même essayer de doser pour ne pas être trop normie.

@Kj-Cage mon conseil à toi : sociabilise MAINTENANT, en tout cas au plus vite, mais avec des gens de ton âge. Même si ça paraît tard en vérité t'es encore officiellement jeune et tu peux entrer dans le flux, chose beaucoup plus difficile à 30 ans. T'as pas d'autre choix que d'avancer et dis toi que t'es pas vraiment encore vieux. Les portes sont encore ouvertes, je le sais d'expérience. C'est juste qu'elles se referment très vite perso j'ai pas été assez rapide, ni dans de trop bonnes conditions.

Moi je pars de beaucoup beaucoup plus loin que n'importe qui j'ai pas d'ami la primaire je suis completement seul depuis l'enfance presque

L'évolution de KJ_Cage en tant qu'Anté-Christ du forom est quand même terrible

Non, ça c'est du resort de l'empoisonnement, pas du dysgénisme.

Si tu nais avec un bras atrophié parce l'eau du robinet a été contaminée par des polluants mutagènes, c'est parce qu'on t'a empoisonné, pas parce que tu es un gentrash.

Ben si, c'est normal. Si tu fais pas ça, en trois génération ta population se retrouve composée de monstres qui de toutes façons finiront seuls et malheureux car incapables de faire quoi que ce soit normalement.

Mais il suffit de laisser faire la nature.

Ce qui est anormal, c'est de créer des perdants-nés parce qu'on a la flemme de se torcher le cul soi-meme, et d'appeler ça "la civilisation" .

C'est ça, le satanisme. Invoquer des démons en créant les corps qui pourront accuellir leurs âmes.

Et ce que tu prônes est dans la continuité de ce qui nous a menés là où on est

C'est juste que là, nos maîtres ont décidé de changer de cheptel, donc nous n'avons plus droit à ce que tu revendiques Et effectivement, on se fait entuber, le contrat n'est pas respecté par nos maîtres

Mais la nature, ce n'est pas la société.

Comme si y avait quoi que ce soit de naturel au monde actuel putain. Par exemple faire passer l'hypergamie actuelle avec les données qu'on connaît — internet, féminisme — pour un creuset naturel et méritocrate, cette blague. Tu te fous de la gueule de qui ?

Oui mais le résultat est le meme finalement.

Bordel 26 c'est vraiment l'âge où on se met à sentir le début de la fin, je passais par les mêmes questionnements et obsessions. J'ai même tenté de me faire des amis et tout mais c'était trop tard pour moi.