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3 mois de liberté et de chaleur, d'amitiés facile, de nature radieuse, de mer avec ses véliplanchistes et ses cerfs-volants, de sorties, de paix, de sérénité, aller assister aux fenaisons, aux fêtes votives, voir des monts et des lacs, s'allonger aux coteaux avec un volume de poésie bucolique ou lyrique, étudier pour le plaisir...

partir à la Pentecôte, le coeur encore plein de Pâques et de l'Ascension, rêver mélancoliquement du passé, rêver de l'avenir avec espérance (il n'y a pas d'adverbe pour espérance hélas), le coeur veut chanter, il se rappelle : mûrissez, blés mouvants ! prés, emplissez-vous d'herbes ! êtres ! choses ! vivez ! sans peur, sans deuil, sans nombre ! qu'on sente frissonner dans toute la nature, un vaste emportement d'aimer !

rentrer juste après que les regains ont été fauchés, avec toujours un regret au fond du coeur quelque part pour supporter le retour austère du devoir
Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée
il y a un mois
l'été passe malheuresement trop trop vite...
:Cligne:
il y a un mois
FromJVC
FromJVC
1 mois
l'été passe malheuresement trop trop vite...
:Cligne:
il faut bien que la fortune et la félicité s'éclipsent pour qu'on puisse les aimer avec un coeur nouveau lorsqu'elles reviennent
Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée
il y a un mois