Je vous présente Armand Keller, ancien haut fonctionnaire spécialisé en relations stratégiques internationales
De 2008 à 2019, il a fait carrière au sein d’un service stratégique rattaché au ministère des Affaires étrangères.
Son rôle consistait à négocier des accords bilatéraux discrets, principalement liés à la sécurisation de ressources énergétiques et technologiques.
Pendant plus de vingt ans, il a été envoyé dans plusieurs pays à gouvernance instable pour conclure des traités permettant d’assurer des approvisionnements critiques.
Un accord signé en 2014 avec un État sous sanctions internationales a marqué un tournant. Officiellement, le traité portait sur une coopération énergétique. Officieusement, il incluait des clauses facilitant l’accès à des technologies duales, utilisables dans le civil comme dans le militaire.
Lorsque des informations ont fuité en 2019, une commission parlementaire a ouvert une enquête interne afin de déterminer le niveau de responsabilité de Keller. Plusieurs documents montraient qu’il avait approuvé des échanges contournant des restrictions juridiques internationales, même si rien ne prouve qu’il en ait tiré un bénéfice personnel.
À partir de là, il a été progressivement écarté de ses fonctions, puis placé en « mise à disposition » sans poste réel.
Les dossiers qu’il avait pilotés sont devenus sensibles, et la majorité des institutions ont cessé de communiquer sur son rôle. Il vit désormais dans une semi-discrétion, tout en restant lié contractuellement à certaines obligations de confidentialité qui l’empêchent d’expliquer publiquement sa version des faits.
Devinez le pays qu’il à essayer d’entuber
Iran.
Le postoukistan khey
