Ce sujet a été résolu
ça a déjà été fait des centaines de fois mais il est protégé par Jacques Attali en personne
il y a 3 jours
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Preuve
il y a 3 jours
Preuve
faut lire 8 ans d'archives Avenoel clé, bonne lecture à toi
il y a 3 jours
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Tu as un lien ?
il y a 3 jours
Une de ses dernières oeuvres au goulag, le topic s'intitule "J'ai inventé un SCRIPT DE FILM, une histoire totalement DÉGÉNÉRÉE de TORTURE SCATOPHILE DE FILLES
"
Bonne lecture
<<J'ai hâte de découvrir ce que vous allez penser de mon fantasm..... euh scénario fictif.
C'est l'histoire d'un groupe de 7 filles amies qui se retrouvent invitées a un mystérieux événement « festif » censé se dérouler dans une maison « abandonnée », isolée dans un petit village. Malgré l’étrangeté de l'invitation, elles décident de s'y rendre ensemble. Sauf que il s'agit d'un horrible piège : Un immonde ravisseur, qui se fait appeler « PuerAnus » en raison de sa scatophilie assumée et de son fétichisme pour les culottes sales, les attendait, avec un objectif très précis, dans la maison abandonnée, maison qui a en réalité été abandonnée en raison du meurtre des deux petites filles et de la mère de famille, dont les corps on été retrouvées allongés dans les chambres, il y a 10 ans.
PuerAnus, une fois les 7 filles a l'intérieur, a tout prévu depuis plusieurs mois : il barricadé tous les accès de la maison, dévissé les poignées de fenêtres, et a commencé ensuite a les séquestrer dans une chambre des plus sales et marqués par le drame passé a l'étage, la « chambre 3 ». Sous la menace d'un fusil d'assaut, face a un PuerAnus n'ayant plus rien a perdre et prêt a rafaler tout le groupe au moindre geste étrange, les filles n'avaient pas d'autre choix que d'obéir au ravisseur fou, et de se laisser enfermer. La maison, après 10 ans d'abandon, était humide, pleine de flaques et éclaboussures du sang des petites filles mortes jamais nettoyé depuis le drame, froide, remplie de vieux jouets et vêtements des fillettes assassinées, avec un odeur de renfermé ignoble. Les filles n'avaient pas le droit de se laver, de se changer (sous vêtements compris), même les matelas fournis par PuerAnus pour dormir étaient recouverts de vieux sang. Elles devaient déféquer dans des seaux, jamais vidés, sans intimité, sans s'essuyer les fesses, et en guise de nourriture, PuerAnus leur donnait des aliments immangeables : viande avariée, souvent grouillante d'asticots, lait tourné, eau saumâtre... le tout sans eau ni électricité. Les filles étaient dans un état de détresse absolument horrible dès les premières heures.
Après avoir traité les filles encore plus mal que des bêtes, pendant plusieurs jours, après les avoir battues, humiliées, pour les briser moralement, il décida qu'il était temps de mettre son plan scatophile extrêmement pervers a exécution : il voulait transformer ces filles en « machine a produire quotidiennement des culottes avec traces de merde ». Il rassembla les filles dans le salon, et leur annonça fièrement « Bonjour les filles, on va jouer a un jeu. Les gagnantes auront une récompense ! ». Son « jeu », était en réalité un immonde chantage scatophile : Si les filles veulent avoir accès a une autre chambre de la maison, la « chambre 1 » au rez de chaussée, chauffée, nettoyée, sans sang ni excréments partout, avoir le droit de dormir dans des draps propres, avoir le droit a se doucher (sans eau courante, a la bouteille) et se changer plus souvent, de déféquer dans un seau qui sera vidé et nettoyé, ne plus être frappées, et surtout : avoir le droit de manger un menu MacDo chaud, et ne plus manger de nourriture pourrie, la règle du jeu de PuerAnus est simple : Elles doivent porter le matin une culotte (que PuerAnus aura choisi parmi diverses tailles, couleurs, motifs, rayures, formes, textures, en fonction de son « appétit du jour » parmi ses 500 culottes en stock) et la garder toute la journée jusqu'à apparition de traces de selles dedans (pas compliqué vu l'absence totale d’essuyage en captivité), et simplement lui remettre en mains propres le soir même.
Si une fille « fait bien son travail », PuerAnus la transférera immédiatement au « quartier des Élues », cette chambre 1 « tout confort » aménagée par PuerAnus. Si elles refusent de lui obéir... cela se traduira par une mort lente et douloureuse. Au tout début, les filles, surtout celles avec le plus de caractère, refuseront absolument de céder a ce chantage intolérable, déclarant ouvertement « préférer crever lentement plutôt que d'obéir a ce putain de malade mental », allant même pour certaines jusqu'à se rebeller et insulter PuerAnus, et tenter de s'évader. Mais les représailles furent terribles : PuerAnus passa violemment à tabac les filles rebelles, occasionnant blessures, et aggrava leur conditions de captivité : nourriture encore plus avariée, voir plus de nourriture du tout pendant plusieurs jours, seau d'excréments encore moins vidés, entraînant défécations a même le sol, attirant larves de mouches par centaines, maladies, et odeurs infectes.
Le traitement imposé par PuerAnus était si violent, cruel et sadique, que peu a peu, au fil des jours, les filles les plus fragiles, affamées, traumatisées, au bord de l'effondrement physique et psy, envisagèrent d'abord de se suicider, mais par instinct de survie ultime, elles ont commencé à envisager de céder, donc de « donner leur culotte avec de la merde » a PuerAnus, juste pour avoir le « droit » de manger un vrai repas et ne plus être tabassées quotidiennement. C'est ainsi que un fille, a bout, a cédé. Puis deux, trois, quatre... quatre filles, initialement résistantes, ont cédé au chantage de PuerAnus, par instinct de survie sans consentement réel, et lui ont donné leur culotte sale. C'était ça ou mourir a ce stade. PuerAnus, jubilant comme jamais, transféra donc comme promis les 4 « élues » dans leur nouveau quartier de vie amélioré. Mais le cauchemar ne faisait que commencer.
Pour avoir le droit de rester dans le quartier VIP, manger MacDo chaque jour, les filles doivent obéir a tout un rituel pervers. PuerAnus, ayant tout prévu, et jamais rassasié, exigea que les filles qui ont cédé une fois, doivent désormais lui donner chaque soir leur culotte sale. Un véritable piège malsain. Si elles refusent, retour immédiat à la « chambre 3 », avec reprise de la violence physique, des repas infâmes, du dénigrement, de l’absence totale d'hygiène, jusqu'à que mort s'en suive... Malheureusement, entre ça, et retourner a l'enfer et mourir, le choix était vite fait... une « simple » culotte avec du caca chaque jour, pour « survivre correctement ».
Totalement brisées psychologiquement après plusieurs semaines de captivité, avec un détraqué scatophile qui leur a retourné le cerveau avec des manipulations saugrenues, avec parfois un début de syndrome de Stockholm pour certaines, « reconnaissantes » envers lui de ne pas les tuer, de ne plus les battre et menacer, de leur offrir des conditions de vie « un peu mieux », et de leur offrir MacDo chaque jour, a la place de la viande avariée, les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
Malheureusement pour les trois autres qui n'ont pas encore cédé, l'enfer continue : violence physique et psychologique décuplée de jour en jour, nourriture toujours plus infâme, hygiène inexistante, et un avenir plus qu'incertain... vont elles résister, garder leur dignité jusqu'au bout, mais risquer de mourir de faim et de maladie tant les conditions de vie dans « la chambre 3 » sont inhumaines, ou de se faire tuer dans un accès de rage sous les coups de PuerAnus, ou vont elles finir par céder a son chantage dégueulasse, et ainsi gagner un peu de répit, mais demeurer contre leur gré esclaves scatophiles ?
Vivre ou mourir, à elles de choisir.>>
Bonne lecture
<<J'ai hâte de découvrir ce que vous allez penser de mon fantasm..... euh scénario fictif.
C'est l'histoire d'un groupe de 7 filles amies qui se retrouvent invitées a un mystérieux événement « festif » censé se dérouler dans une maison « abandonnée », isolée dans un petit village. Malgré l’étrangeté de l'invitation, elles décident de s'y rendre ensemble. Sauf que il s'agit d'un horrible piège : Un immonde ravisseur, qui se fait appeler « PuerAnus » en raison de sa scatophilie assumée et de son fétichisme pour les culottes sales, les attendait, avec un objectif très précis, dans la maison abandonnée, maison qui a en réalité été abandonnée en raison du meurtre des deux petites filles et de la mère de famille, dont les corps on été retrouvées allongés dans les chambres, il y a 10 ans.
PuerAnus, une fois les 7 filles a l'intérieur, a tout prévu depuis plusieurs mois : il barricadé tous les accès de la maison, dévissé les poignées de fenêtres, et a commencé ensuite a les séquestrer dans une chambre des plus sales et marqués par le drame passé a l'étage, la « chambre 3 ». Sous la menace d'un fusil d'assaut, face a un PuerAnus n'ayant plus rien a perdre et prêt a rafaler tout le groupe au moindre geste étrange, les filles n'avaient pas d'autre choix que d'obéir au ravisseur fou, et de se laisser enfermer. La maison, après 10 ans d'abandon, était humide, pleine de flaques et éclaboussures du sang des petites filles mortes jamais nettoyé depuis le drame, froide, remplie de vieux jouets et vêtements des fillettes assassinées, avec un odeur de renfermé ignoble. Les filles n'avaient pas le droit de se laver, de se changer (sous vêtements compris), même les matelas fournis par PuerAnus pour dormir étaient recouverts de vieux sang. Elles devaient déféquer dans des seaux, jamais vidés, sans intimité, sans s'essuyer les fesses, et en guise de nourriture, PuerAnus leur donnait des aliments immangeables : viande avariée, souvent grouillante d'asticots, lait tourné, eau saumâtre... le tout sans eau ni électricité. Les filles étaient dans un état de détresse absolument horrible dès les premières heures.
Après avoir traité les filles encore plus mal que des bêtes, pendant plusieurs jours, après les avoir battues, humiliées, pour les briser moralement, il décida qu'il était temps de mettre son plan scatophile extrêmement pervers a exécution : il voulait transformer ces filles en « machine a produire quotidiennement des culottes avec traces de merde ». Il rassembla les filles dans le salon, et leur annonça fièrement « Bonjour les filles, on va jouer a un jeu. Les gagnantes auront une récompense ! ». Son « jeu », était en réalité un immonde chantage scatophile : Si les filles veulent avoir accès a une autre chambre de la maison, la « chambre 1 » au rez de chaussée, chauffée, nettoyée, sans sang ni excréments partout, avoir le droit de dormir dans des draps propres, avoir le droit a se doucher (sans eau courante, a la bouteille) et se changer plus souvent, de déféquer dans un seau qui sera vidé et nettoyé, ne plus être frappées, et surtout : avoir le droit de manger un menu MacDo chaud, et ne plus manger de nourriture pourrie, la règle du jeu de PuerAnus est simple : Elles doivent porter le matin une culotte (que PuerAnus aura choisi parmi diverses tailles, couleurs, motifs, rayures, formes, textures, en fonction de son « appétit du jour » parmi ses 500 culottes en stock) et la garder toute la journée jusqu'à apparition de traces de selles dedans (pas compliqué vu l'absence totale d’essuyage en captivité), et simplement lui remettre en mains propres le soir même.
Si une fille « fait bien son travail », PuerAnus la transférera immédiatement au « quartier des Élues », cette chambre 1 « tout confort » aménagée par PuerAnus. Si elles refusent de lui obéir... cela se traduira par une mort lente et douloureuse. Au tout début, les filles, surtout celles avec le plus de caractère, refuseront absolument de céder a ce chantage intolérable, déclarant ouvertement « préférer crever lentement plutôt que d'obéir a ce putain de malade mental », allant même pour certaines jusqu'à se rebeller et insulter PuerAnus, et tenter de s'évader. Mais les représailles furent terribles : PuerAnus passa violemment à tabac les filles rebelles, occasionnant blessures, et aggrava leur conditions de captivité : nourriture encore plus avariée, voir plus de nourriture du tout pendant plusieurs jours, seau d'excréments encore moins vidés, entraînant défécations a même le sol, attirant larves de mouches par centaines, maladies, et odeurs infectes.
Le traitement imposé par PuerAnus était si violent, cruel et sadique, que peu a peu, au fil des jours, les filles les plus fragiles, affamées, traumatisées, au bord de l'effondrement physique et psy, envisagèrent d'abord de se suicider, mais par instinct de survie ultime, elles ont commencé à envisager de céder, donc de « donner leur culotte avec de la merde » a PuerAnus, juste pour avoir le « droit » de manger un vrai repas et ne plus être tabassées quotidiennement. C'est ainsi que un fille, a bout, a cédé. Puis deux, trois, quatre... quatre filles, initialement résistantes, ont cédé au chantage de PuerAnus, par instinct de survie sans consentement réel, et lui ont donné leur culotte sale. C'était ça ou mourir a ce stade. PuerAnus, jubilant comme jamais, transféra donc comme promis les 4 « élues » dans leur nouveau quartier de vie amélioré. Mais le cauchemar ne faisait que commencer.
Pour avoir le droit de rester dans le quartier VIP, manger MacDo chaque jour, les filles doivent obéir a tout un rituel pervers. PuerAnus, ayant tout prévu, et jamais rassasié, exigea que les filles qui ont cédé une fois, doivent désormais lui donner chaque soir leur culotte sale. Un véritable piège malsain. Si elles refusent, retour immédiat à la « chambre 3 », avec reprise de la violence physique, des repas infâmes, du dénigrement, de l’absence totale d'hygiène, jusqu'à que mort s'en suive... Malheureusement, entre ça, et retourner a l'enfer et mourir, le choix était vite fait... une « simple » culotte avec du caca chaque jour, pour « survivre correctement ».
Totalement brisées psychologiquement après plusieurs semaines de captivité, avec un détraqué scatophile qui leur a retourné le cerveau avec des manipulations saugrenues, avec parfois un début de syndrome de Stockholm pour certaines, « reconnaissantes » envers lui de ne pas les tuer, de ne plus les battre et menacer, de leur offrir des conditions de vie « un peu mieux », et de leur offrir MacDo chaque jour, a la place de la viande avariée, les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
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Vivre ou mourir, à elles de choisir.>>
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Une de ses dernières oeuvres au goulag, le topic s'intitule "J'ai inventé un SCRIPT DE FILM, une histoire totalement DÉGÉNÉRÉE de TORTURE SCATOPHILE DE FILLES
"
Bonne lecture
<<J'ai hâte de découvrir ce que vous allez penser de mon fantasm..... euh scénario fictif.
C'est l'histoire d'un groupe de 7 filles amies qui se retrouvent invitées a un mystérieux événement « festif » censé se dérouler dans une maison « abandonnée », isolée dans un petit village. Malgré l’étrangeté de l'invitation, elles décident de s'y rendre ensemble. Sauf que il s'agit d'un horrible piège : Un immonde ravisseur, qui se fait appeler « PuerAnus » en raison de sa scatophilie assumée et de son fétichisme pour les culottes sales, les attendait, avec un objectif très précis, dans la maison abandonnée, maison qui a en réalité été abandonnée en raison du meurtre des deux petites filles et de la mère de famille, dont les corps on été retrouvées allongés dans les chambres, il y a 10 ans.
PuerAnus, une fois les 7 filles a l'intérieur, a tout prévu depuis plusieurs mois : il barricadé tous les accès de la maison, dévissé les poignées de fenêtres, et a commencé ensuite a les séquestrer dans une chambre des plus sales et marqués par le drame passé a l'étage, la « chambre 3 ». Sous la menace d'un fusil d'assaut, face a un PuerAnus n'ayant plus rien a perdre et prêt a rafaler tout le groupe au moindre geste étrange, les filles n'avaient pas d'autre choix que d'obéir au ravisseur fou, et de se laisser enfermer. La maison, après 10 ans d'abandon, était humide, pleine de flaques et éclaboussures du sang des petites filles mortes jamais nettoyé depuis le drame, froide, remplie de vieux jouets et vêtements des fillettes assassinées, avec un odeur de renfermé ignoble. Les filles n'avaient pas le droit de se laver, de se changer (sous vêtements compris), même les matelas fournis par PuerAnus pour dormir étaient recouverts de vieux sang. Elles devaient déféquer dans des seaux, jamais vidés, sans intimité, sans s'essuyer les fesses, et en guise de nourriture, PuerAnus leur donnait des aliments immangeables : viande avariée, souvent grouillante d'asticots, lait tourné, eau saumâtre... le tout sans eau ni électricité. Les filles étaient dans un état de détresse absolument horrible dès les premières heures.
Après avoir traité les filles encore plus mal que des bêtes, pendant plusieurs jours, après les avoir battues, humiliées, pour les briser moralement, il décida qu'il était temps de mettre son plan scatophile extrêmement pervers a exécution : il voulait transformer ces filles en « machine a produire quotidiennement des culottes avec traces de merde ». Il rassembla les filles dans le salon, et leur annonça fièrement « Bonjour les filles, on va jouer a un jeu. Les gagnantes auront une récompense ! ». Son « jeu », était en réalité un immonde chantage scatophile : Si les filles veulent avoir accès a une autre chambre de la maison, la « chambre 1 » au rez de chaussée, chauffée, nettoyée, sans sang ni excréments partout, avoir le droit de dormir dans des draps propres, avoir le droit a se doucher (sans eau courante, a la bouteille) et se changer plus souvent, de déféquer dans un seau qui sera vidé et nettoyé, ne plus être frappées, et surtout : avoir le droit de manger un menu MacDo chaud, et ne plus manger de nourriture pourrie, la règle du jeu de PuerAnus est simple : Elles doivent porter le matin une culotte (que PuerAnus aura choisi parmi diverses tailles, couleurs, motifs, rayures, formes, textures, en fonction de son « appétit du jour » parmi ses 500 culottes en stock) et la garder toute la journée jusqu'à apparition de traces de selles dedans (pas compliqué vu l'absence totale d’essuyage en captivité), et simplement lui remettre en mains propres le soir même.
Si une fille « fait bien son travail », PuerAnus la transférera immédiatement au « quartier des Élues », cette chambre 1 « tout confort » aménagée par PuerAnus. Si elles refusent de lui obéir... cela se traduira par une mort lente et douloureuse. Au tout début, les filles, surtout celles avec le plus de caractère, refuseront absolument de céder a ce chantage intolérable, déclarant ouvertement « préférer crever lentement plutôt que d'obéir a ce putain de malade mental », allant même pour certaines jusqu'à se rebeller et insulter PuerAnus, et tenter de s'évader. Mais les représailles furent terribles : PuerAnus passa violemment à tabac les filles rebelles, occasionnant blessures, et aggrava leur conditions de captivité : nourriture encore plus avariée, voir plus de nourriture du tout pendant plusieurs jours, seau d'excréments encore moins vidés, entraînant défécations a même le sol, attirant larves de mouches par centaines, maladies, et odeurs infectes.
Le traitement imposé par PuerAnus était si violent, cruel et sadique, que peu a peu, au fil des jours, les filles les plus fragiles, affamées, traumatisées, au bord de l'effondrement physique et psy, envisagèrent d'abord de se suicider, mais par instinct de survie ultime, elles ont commencé à envisager de céder, donc de « donner leur culotte avec de la merde » a PuerAnus, juste pour avoir le « droit » de manger un vrai repas et ne plus être tabassées quotidiennement. C'est ainsi que un fille, a bout, a cédé. Puis deux, trois, quatre... quatre filles, initialement résistantes, ont cédé au chantage de PuerAnus, par instinct de survie sans consentement réel, et lui ont donné leur culotte sale. C'était ça ou mourir a ce stade. PuerAnus, jubilant comme jamais, transféra donc comme promis les 4 « élues » dans leur nouveau quartier de vie amélioré. Mais le cauchemar ne faisait que commencer.
Pour avoir le droit de rester dans le quartier VIP, manger MacDo chaque jour, les filles doivent obéir a tout un rituel pervers. PuerAnus, ayant tout prévu, et jamais rassasié, exigea que les filles qui ont cédé une fois, doivent désormais lui donner chaque soir leur culotte sale. Un véritable piège malsain. Si elles refusent, retour immédiat à la « chambre 3 », avec reprise de la violence physique, des repas infâmes, du dénigrement, de l’absence totale d'hygiène, jusqu'à que mort s'en suive... Malheureusement, entre ça, et retourner a l'enfer et mourir, le choix était vite fait... une « simple » culotte avec du caca chaque jour, pour « survivre correctement ».
Totalement brisées psychologiquement après plusieurs semaines de captivité, avec un détraqué scatophile qui leur a retourné le cerveau avec des manipulations saugrenues, avec parfois un début de syndrome de Stockholm pour certaines, « reconnaissantes » envers lui de ne pas les tuer, de ne plus les battre et menacer, de leur offrir des conditions de vie « un peu mieux », et de leur offrir MacDo chaque jour, a la place de la viande avariée, les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
Malheureusement pour les trois autres qui n'ont pas encore cédé, l'enfer continue : violence physique et psychologique décuplée de jour en jour, nourriture toujours plus infâme, hygiène inexistante, et un avenir plus qu'incertain... vont elles résister, garder leur dignité jusqu'au bout, mais risquer de mourir de faim et de maladie tant les conditions de vie dans « la chambre 3 » sont inhumaines, ou de se faire tuer dans un accès de rage sous les coups de PuerAnus, ou vont elles finir par céder a son chantage dégueulasse, et ainsi gagner un peu de répit, mais demeurer contre leur gré esclaves scatophiles ?
Vivre ou mourir, à elles de choisir.>>
Bonne lecture
<<J'ai hâte de découvrir ce que vous allez penser de mon fantasm..... euh scénario fictif.
C'est l'histoire d'un groupe de 7 filles amies qui se retrouvent invitées a un mystérieux événement « festif » censé se dérouler dans une maison « abandonnée », isolée dans un petit village. Malgré l’étrangeté de l'invitation, elles décident de s'y rendre ensemble. Sauf que il s'agit d'un horrible piège : Un immonde ravisseur, qui se fait appeler « PuerAnus » en raison de sa scatophilie assumée et de son fétichisme pour les culottes sales, les attendait, avec un objectif très précis, dans la maison abandonnée, maison qui a en réalité été abandonnée en raison du meurtre des deux petites filles et de la mère de famille, dont les corps on été retrouvées allongés dans les chambres, il y a 10 ans.
PuerAnus, une fois les 7 filles a l'intérieur, a tout prévu depuis plusieurs mois : il barricadé tous les accès de la maison, dévissé les poignées de fenêtres, et a commencé ensuite a les séquestrer dans une chambre des plus sales et marqués par le drame passé a l'étage, la « chambre 3 ». Sous la menace d'un fusil d'assaut, face a un PuerAnus n'ayant plus rien a perdre et prêt a rafaler tout le groupe au moindre geste étrange, les filles n'avaient pas d'autre choix que d'obéir au ravisseur fou, et de se laisser enfermer. La maison, après 10 ans d'abandon, était humide, pleine de flaques et éclaboussures du sang des petites filles mortes jamais nettoyé depuis le drame, froide, remplie de vieux jouets et vêtements des fillettes assassinées, avec un odeur de renfermé ignoble. Les filles n'avaient pas le droit de se laver, de se changer (sous vêtements compris), même les matelas fournis par PuerAnus pour dormir étaient recouverts de vieux sang. Elles devaient déféquer dans des seaux, jamais vidés, sans intimité, sans s'essuyer les fesses, et en guise de nourriture, PuerAnus leur donnait des aliments immangeables : viande avariée, souvent grouillante d'asticots, lait tourné, eau saumâtre... le tout sans eau ni électricité. Les filles étaient dans un état de détresse absolument horrible dès les premières heures.
Après avoir traité les filles encore plus mal que des bêtes, pendant plusieurs jours, après les avoir battues, humiliées, pour les briser moralement, il décida qu'il était temps de mettre son plan scatophile extrêmement pervers a exécution : il voulait transformer ces filles en « machine a produire quotidiennement des culottes avec traces de merde ». Il rassembla les filles dans le salon, et leur annonça fièrement « Bonjour les filles, on va jouer a un jeu. Les gagnantes auront une récompense ! ». Son « jeu », était en réalité un immonde chantage scatophile : Si les filles veulent avoir accès a une autre chambre de la maison, la « chambre 1 » au rez de chaussée, chauffée, nettoyée, sans sang ni excréments partout, avoir le droit de dormir dans des draps propres, avoir le droit a se doucher (sans eau courante, a la bouteille) et se changer plus souvent, de déféquer dans un seau qui sera vidé et nettoyé, ne plus être frappées, et surtout : avoir le droit de manger un menu MacDo chaud, et ne plus manger de nourriture pourrie, la règle du jeu de PuerAnus est simple : Elles doivent porter le matin une culotte (que PuerAnus aura choisi parmi diverses tailles, couleurs, motifs, rayures, formes, textures, en fonction de son « appétit du jour » parmi ses 500 culottes en stock) et la garder toute la journée jusqu'à apparition de traces de selles dedans (pas compliqué vu l'absence totale d’essuyage en captivité), et simplement lui remettre en mains propres le soir même.
Si une fille « fait bien son travail », PuerAnus la transférera immédiatement au « quartier des Élues », cette chambre 1 « tout confort » aménagée par PuerAnus. Si elles refusent de lui obéir... cela se traduira par une mort lente et douloureuse. Au tout début, les filles, surtout celles avec le plus de caractère, refuseront absolument de céder a ce chantage intolérable, déclarant ouvertement « préférer crever lentement plutôt que d'obéir a ce putain de malade mental », allant même pour certaines jusqu'à se rebeller et insulter PuerAnus, et tenter de s'évader. Mais les représailles furent terribles : PuerAnus passa violemment à tabac les filles rebelles, occasionnant blessures, et aggrava leur conditions de captivité : nourriture encore plus avariée, voir plus de nourriture du tout pendant plusieurs jours, seau d'excréments encore moins vidés, entraînant défécations a même le sol, attirant larves de mouches par centaines, maladies, et odeurs infectes.
Le traitement imposé par PuerAnus était si violent, cruel et sadique, que peu a peu, au fil des jours, les filles les plus fragiles, affamées, traumatisées, au bord de l'effondrement physique et psy, envisagèrent d'abord de se suicider, mais par instinct de survie ultime, elles ont commencé à envisager de céder, donc de « donner leur culotte avec de la merde » a PuerAnus, juste pour avoir le « droit » de manger un vrai repas et ne plus être tabassées quotidiennement. C'est ainsi que un fille, a bout, a cédé. Puis deux, trois, quatre... quatre filles, initialement résistantes, ont cédé au chantage de PuerAnus, par instinct de survie sans consentement réel, et lui ont donné leur culotte sale. C'était ça ou mourir a ce stade. PuerAnus, jubilant comme jamais, transféra donc comme promis les 4 « élues » dans leur nouveau quartier de vie amélioré. Mais le cauchemar ne faisait que commencer.
Pour avoir le droit de rester dans le quartier VIP, manger MacDo chaque jour, les filles doivent obéir a tout un rituel pervers. PuerAnus, ayant tout prévu, et jamais rassasié, exigea que les filles qui ont cédé une fois, doivent désormais lui donner chaque soir leur culotte sale. Un véritable piège malsain. Si elles refusent, retour immédiat à la « chambre 3 », avec reprise de la violence physique, des repas infâmes, du dénigrement, de l’absence totale d'hygiène, jusqu'à que mort s'en suive... Malheureusement, entre ça, et retourner a l'enfer et mourir, le choix était vite fait... une « simple » culotte avec du caca chaque jour, pour « survivre correctement ».
Totalement brisées psychologiquement après plusieurs semaines de captivité, avec un détraqué scatophile qui leur a retourné le cerveau avec des manipulations saugrenues, avec parfois un début de syndrome de Stockholm pour certaines, « reconnaissantes » envers lui de ne pas les tuer, de ne plus les battre et menacer, de leur offrir des conditions de vie « un peu mieux », et de leur offrir MacDo chaque jour, a la place de la viande avariée, les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
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Vivre ou mourir, à elles de choisir.>>
Si ça, ça n’est pas une preuve
il y a 3 jours
Puer anus
Vous avez d’innombrables preuves pour pouvoir le mettre en hp ou derrière les barreaux
Harcèlement en ligne de meuf sur discord qui peuvent se terminer en suicide
Et ça ne m’étonne même pas que c’est déjà arrivé
Vous avez pas envie de vous mouillez alors que ça se trouve vous avez du sang sur les mains
Combien de topic au goulag ou on peut voir qu’il jubile en harcelant des meufs depuis quelques années déjà
Sa famille pensent qu’il est clean hein
Alors que pas du tout
Ce mec c’est le mec toxique instable en recherche d’attention qui adore manipuler pour se sentir important (PN)
La preuve il a fait une irl avec une meuf, pour au final se faire pigeonner 100 euros mais qui lui a donné de l’attention
Vous avez d’innombrables preuves pour pouvoir le mettre en hp ou derrière les barreaux
Harcèlement en ligne de meuf sur discord qui peuvent se terminer en suicide
Et ça ne m’étonne même pas que c’est déjà arrivé
Vous avez pas envie de vous mouillez alors que ça se trouve vous avez du sang sur les mains
Combien de topic au goulag ou on peut voir qu’il jubile en harcelant des meufs depuis quelques années déjà
Sa famille pensent qu’il est clean hein
Alors que pas du tout
Ce mec c’est le mec toxique instable en recherche d’attention qui adore manipuler pour se sentir important (PN)
La preuve il a fait une irl avec une meuf, pour au final se faire pigeonner 100 euros mais qui lui a donné de l’attention
Pour moi on devrait dénoncer tout le monde
Et ne garder que des populations chad
Le Portugal et c'est tout quoi
Et ne garder que des populations chad
Le Portugal et c'est tout quoi
il y a 3 jours
Pour moi on devrait dénoncer tout le monde
Et ne garder que des populations chad
Le Portugal et c'est tout quoi
Et ne garder que des populations chad
Le Portugal et c'est tout quoi
Aucun rapport ma puce
il y a 3 jours
Si ça, ça n’est pas une preuve
Lis ça vaut le coup
Juste un extrait pour te mettre en bouche, je te passe la partie où il explique comment il enlève et séquestre les filles
<<
les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
>>
C'est un grand malade ce type
Juste un extrait pour te mettre en bouche, je te passe la partie où il explique comment il enlève et séquestre les filles
<<
C'est un grand malade ce type
il y a 3 jours
Aucun rapport ma puce
il y a 3 jours
Lis ça vaut le coup
Juste un extrait pour te mettre en bouche, je te passe la partie où il explique comment il enlève et séquestre les filles
<<
les filles « acceptèrent » peu a peu leur nouveau destin : devenir « ses productrices quotidiennes de culottes pleines de merde ». Devant elles, dans la « chambre 1 », PuerAnus se lâche totalement et sauvagement : Il renifle a longueur de journée les culottes très sales qu'elles lui donnent, il prend et serre les filles dans ses bras comme des vulgaires poupées, se masturbant frénétiquement en même temps, les regardant comme un lion affamé, sans aucune retenue. Elles devaient l’appeler « Maître » ou « Grand PuerAnus ». Ces filles étaient devenus ses objets sexuels scatophiles privatifs, contre leur gré, sans jamais réellement consentir toutefois. A l'intérieur, elles étaient anéanties et brisées, soumises.
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C'est un grand malade ce type
Juste un extrait pour te mettre en bouche, je te passe la partie où il explique comment il enlève et séquestre les filles
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C'est un grand malade ce type
Je le savais déjà qu’il est taré
il y a 3 jours
Il y a pas d’ancien forumeur devenu taulard par hasard ?
Benzemonstre a pris 8 mois de prison pour s'en être pris à la communauté juive, dans un premier temps il avait reconnu puis une deuxieme personne s'en est prise à sa juge c'était pas lui mais ils l'ont accusé.
Voilà si tu veux comprendre qui a le pouvoir
Voilà si tu veux comprendre qui a le pouvoir
il y a 3 jours
Benzemonstre a pris 8 mois de prison pour s'en être pris à la communauté juive, dans un premier temps il avait reconnu puis une deuxieme personne s'en est prise à sa juge c'était pas lui mais ils l'ont accusé.
Voilà si tu veux comprendre qui a le pouvoir
Voilà si tu veux comprendre qui a le pouvoir
Les J en même temps clé
Là on parle d’un random qui fait de la merde
Là on parle d’un random qui fait de la merde
il y a 3 jours


















