Laissez moi vous narrer l'histoire de Roman von Ungern-Sternberg : le Baron Fou.
Imaginez un mélange de Conan le Barbare, de Gengis Khan et d’un moine guerrier sous acide : vous obtenez le baron Roman von Ungern-Sternberg, l’un des personnages les plus fous et fascinants du XXe siècle. Ce noble balte, adepte de bouddhisme tantrique et de tactiques militaires ultra-violentes, a marqué l’histoire comme un anti-héros flamboyant, entre génie et folie furieuse.
Un début de carrière… explosif
Né en 1886, Ungern-Sternberg grandit dans l’Empire russe avec un seul mot d’ordre : la guerre. Officier tsariste, il se fait vite remarquer pour son mépris total de la discipline et son amour immodéré pour le combat. Ses supérieurs le trouvent ingérable, ses hommes le craignent, et lui ? Il s’en moque royalement. La Première Guerre mondiale et la Révolution russe lui offrent enfin un terrain de jeu à sa mesure.
En 1920, alors que la Russie est en pleine guerre civile, Ungern-Sternberg décide de jouer sa propre partie. Il lève une armée de cavaliers mongols, cosaques et mercenaires de tous poils, qu’il baptise sa « Division sauvage ». Son objectif ? Libérer la Mongolie des Chinois, rétablir le Bogd Khan (le « Dieu vivant » des Mongols) et créer son propre royaume.
Mission accomplie : il prend Ourga (aujourd’hui Oulan-Bator) dans un assaut si sanglant qu’il entre directement dans la légende.
Ungern-Sternberg n’est pas un chef comme les autres. Il impose à ses hommes un mélange de règles monastiques (célibat, jeûne) et de libertés débridées (alcool, opium, haschich). Lui-même se voit comme un guerrier bouddhiste, chargé de purger le monde des Rouges, des démocrates et de tous ceux qui osent lui résister. Ses ennemis l’appellent le « Baron sanglant » ; ses partisans, un sauveur envoyé par les dieux.
Trahi par ses alliés et encerclé par l’Armée rouge, Ungern-Sternberg est capturé en 1921. Son procès est une formalité, son exécution, une conclusion logique à une vie passée à défier la mort. Pourtant, même aujourd’hui, son nom fait frémir : était-il un visionnaire, un fou furieux, ou un peu des deux ?
Sources :
https://fr.wikipedia.org/[...]oman_von_Ungern-Sternberg
Hommage :
Imaginez un mélange de Conan le Barbare, de Gengis Khan et d’un moine guerrier sous acide : vous obtenez le baron Roman von Ungern-Sternberg, l’un des personnages les plus fous et fascinants du XXe siècle. Ce noble balte, adepte de bouddhisme tantrique et de tactiques militaires ultra-violentes, a marqué l’histoire comme un anti-héros flamboyant, entre génie et folie furieuse.
Un début de carrière… explosif
Né en 1886, Ungern-Sternberg grandit dans l’Empire russe avec un seul mot d’ordre : la guerre. Officier tsariste, il se fait vite remarquer pour son mépris total de la discipline et son amour immodéré pour le combat. Ses supérieurs le trouvent ingérable, ses hommes le craignent, et lui ? Il s’en moque royalement. La Première Guerre mondiale et la Révolution russe lui offrent enfin un terrain de jeu à sa mesure.
En 1920, alors que la Russie est en pleine guerre civile, Ungern-Sternberg décide de jouer sa propre partie. Il lève une armée de cavaliers mongols, cosaques et mercenaires de tous poils, qu’il baptise sa « Division sauvage ». Son objectif ? Libérer la Mongolie des Chinois, rétablir le Bogd Khan (le « Dieu vivant » des Mongols) et créer son propre royaume.
Mission accomplie : il prend Ourga (aujourd’hui Oulan-Bator) dans un assaut si sanglant qu’il entre directement dans la légende.
Ungern-Sternberg n’est pas un chef comme les autres. Il impose à ses hommes un mélange de règles monastiques (célibat, jeûne) et de libertés débridées (alcool, opium, haschich). Lui-même se voit comme un guerrier bouddhiste, chargé de purger le monde des Rouges, des démocrates et de tous ceux qui osent lui résister. Ses ennemis l’appellent le « Baron sanglant » ; ses partisans, un sauveur envoyé par les dieux.
Trahi par ses alliés et encerclé par l’Armée rouge, Ungern-Sternberg est capturé en 1921. Son procès est une formalité, son exécution, une conclusion logique à une vie passée à défier la mort. Pourtant, même aujourd’hui, son nom fait frémir : était-il un visionnaire, un fou furieux, ou un peu des deux ?
Sources :
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Ce topic mérité son up et lui aurait son rôle d'admin onche dans notre civilisation bien rangée
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Ils sont "filtrés" mais ils existent à mon avis
