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Un jour mes parents ont ramené une petite chienne à la maison. Je devais avoir 19 - 20 ans.

Bien que j'aie apprécié de voir cette petite chienne, je n'ai pas pû m'empêcher de me sentir dubitatif, et presque d'avoir pitié d'elle. Comme si je snetais qu'elle était quelque chose de trop délicat pour qu'elle puisse être heureuse chez nous. D'une certaine manière, je ne le sentais pas.

Mes parents n'ont jamais maltraité les chiens, et pourtant j'arrivais à percevoir un danger pour cette chienne.

Est-ce parce que j'avais encore fraîchement en mémoire les mésaventures de notre chat, gardé enfermé des mois après un accident avec une voiture pour le "protéger", et qui est devenu à moitié cinglé après ce traumatisme ? Je l'entendais brailler toutes les nuits ...

Ca s'est rapidement moyennement passé pour la chienne. De race shih-tzu, elle était plutôt nerveuse, et ça agaçait ma mère, qui se plaignait qu'elle était peu affectueuse.
Déjà, cela me choquait. Un animal n'a pas à être dans le don, ce n'est qu'un animal, une proposition ambulante de ce qu'il est. Moi, quand je caressais la chienne, elle se calmait et devenait douce.

Ensuite, elle a développé une dermite séborrhéique. Peu à peu elle perdait ses poils et devenait amorphe, apathique, elle souffrait. Il était possible de l'approcher et de lui caresser la tête, elle s'y prêtait gentiment. Mais ma mère refusait de le faire, ça la dégoûtait et elle prétendait toujours que la chienne n'était "pas affectueuse". J'étais choqué de voir une femme avoir si peu d'empathie pour un animal qui a juste le poil gras et qui était autrmeent gentil. Et dont elle était responsable, puisque c'est ele qui a craqué.

Un jour, elle a décidé de la faire piquer, en prétendant avoir tout tenté, mais que ça n'avait pas marché. C'était un mensonge, elle avait essayé quelques semaines de lui donner une bouffe de meilleure qualité, et s'est basé sur cette courte période de temps pour prétendre que ça ne marchait pas. Elle avait juste eu la flemme, non pas de travailler, mais de réfléchir.

Mais je n'ai rien dit car j'avais peur qu'elle se nourrisse de mon compassion pour la chienne ou m'en refile la responsabilité. Et de plus, bien qu'elle n'en avait pas eu la moindre preuve, elle avait certainement raison, la pauvre chienne de race mal sélectionnée était sans doute trop fragile.

J'ai donc accepté de l'accompagner faire piquer la chienne sans faire d'hsitoire car il fallait que ma mère apprenne à être adulte et responsable. Je me suis donc montré impassible. Ce n'était pas très difficile après trois chiens piqués pour des problèmes de santé (mais cette fois en toute bonne foi).

A noter qu'avant de la faire piquer, la chienne avait fugué. Ma mère avait prétendu qu'elle était introuvable. Mais moi j'ai immédiatement compris où elle était allée : dans la retenue d'eau voisine qui semblait l'avoir bien intéressée lors d'une précédente promenade. Elle s'y était coincée.

Bien sûr mon père était complètement démissionnaire, incapable de s'opposer à sa femme et d'affronter la dure réalité de la vie.

BONUS : la fin du chat. Ma mère craque pour une petite chatonne qu'elle ramène à la maison. Bien sûr le chat ne supporte pas la présence de la chatonne et s'énerve. Mon père chasse ... Le chat. Eh oui mon père est un gauchiste, à la base. Que ce soit son chat, qu'il soit chez lui, et réagisse comme un chat, il s'e fout. Il est "méchant". C'est un mâle et il est fort, il est donc coupable de défendre son territoire. Je n'ai plus jamais revu notre chat.



C'était une période où mes parents étaient complètement dépressifs. Ils se montraient pervers et odieux envers tout ce qu'ils touchaient. Ils soutenaient que rien n''était possible dans la vie, tout les fatiguait. Ils ne faisaient rien de constructif et s'épuisaient dans des tâches absurdes et délirantes, que je ne détaillerais pas car ça n'en finirait pas. C'était une période très noire où ils ont même sapé mes opportunités de m'épanouir et tenté de me détruire mentalement.

Je les ai soignés en devenant l'homme de ma famille et en les brimant psychologiquement, en les rabaissant et en leur parlant comme à des merdes, pas violemment, mais en leur expliquant avec condescendance qu'ils l'étaient. Maintenant, ils vont mieux. Mais je n'ai pas oublié à quel point ils pouvaient être dangereux envers les gens à leur merci. Quand j'ai des ennuis aujourd'hui, ils me remercient toujours en m'expllquant qu'il n'y a pas de solution, ou en me donnant des solutions délétères. Ils m'offrent une aide matérielle, mais toutes leurs paroles et leurs idées sont empoisonnées.

Je les remercie, ils m'ont appris que certaines personnes étaient nées pour être esclaves.
Je suis Seugondaire.
il y a 18 heures
pas lu
il y a 18 heures
Avoir des animaux de compagnie c'est presque les torturer effectivement
il y a 18 heures
:Tristitude:
Nous sommes la jeunesse, nous sommes la vie, Rex doit vaincre c'est pourquoi Rex vaincra
:chakss:
il y a 18 heures
Résumé : Le narrateur raconte qu’à 19-20 ans, ses parents ont adopté une petite chienne dont il a immédiatement pressenti le malheur. Sa mère, vite agacée et dégoûtée par l’animal malade, a fini par la faire euthanasier sans réel effort pour la soigner. Cet épisode, ainsi que celui de leur chat injustement chassé, symbolise pour lui la cruauté et la dépression de ses parents à l’époque. Il dit avoir dû les “soigner” en les dominant psychologiquement, tout en gardant la conscience de leur toxicité.

:Goudale:
il y a 18 heures
Noob
Noob
18h
Résumé : Le narrateur raconte qu’à 19-20 ans, ses parents ont adopté une petite chienne dont il a immédiatement pressenti le malheur. Sa mère, vite agacée et dégoûtée par l’animal malade, a fini par la faire euthanasier sans réel effort pour la soigner. Cet épisode, ainsi que celui de leur chat injustement chassé, symbolise pour lui la cruauté et la dépression de ses parents à l’époque. Il dit avoir dû les “soigner” en les dominant psychologiquement, tout en gardant la conscience de leur toxicité.

:Goudale:
Ton résumé est très bon, merci
Je suis Seugondaire.
il y a 18 heures
Toutes, surtout maman
:tintnifilsde:
:tintinpute:
Non merci.
il y a 18 heures
Avoir des animaux de compagnie c'est presque les torturer effectivement
Ca pourrait bien se passer, mais le golem moyen est irrationnel. Plein de manques affectifs, de blessures narcissiques.

Moi j'ai un chat, un matou, c'est un animal plutôt équilibré, confiant, sans agressivité, et propre. Sans la moindre humilité déplacée, j'ai tendance à apaiser les animaux et à les mettre en confiance, à les stabiliser. Alors que d'autres les hystérisent.

NB : ma mère faisait du cheval avant, mais sans aimer les chevaux. Parce que, je cite "eux ne sont pas affectueux, n'aiment personne". Cela m'a aidé à prendre conscience de l'égoïsme féminin.
Je suis Seugondaire.
il y a 18 heures
Un jour mes parents ont ramené une petite chienne à la maison. Je devais avoir 19 - 20 ans.

Bien que j'aie apprécié de voir cette petite chienne, je n'ai pas pû m'empêcher de me sentir dubitatif, et presque d'avoir pitié d'elle. Comme si je snetais qu'elle était quelque chose de trop délicat pour qu'elle puisse être heureuse chez nous. D'une certaine manière, je ne le sentais pas.

Mes parents n'ont jamais maltraité les chiens, et pourtant j'arrivais à percevoir un danger pour cette chienne.

Est-ce parce que j'avais encore fraîchement en mémoire les mésaventures de notre chat, gardé enfermé des mois après un accident avec une voiture pour le "protéger", et qui est devenu à moitié cinglé après ce traumatisme ? Je l'entendais brailler toutes les nuits ...

Ca s'est rapidement moyennement passé pour la chienne. De race shih-tzu, elle était plutôt nerveuse, et ça agaçait ma mère, qui se plaignait qu'elle était peu affectueuse.
Déjà, cela me choquait. Un animal n'a pas à être dans le don, ce n'est qu'un animal, une proposition ambulante de ce qu'il est. Moi, quand je caressais la chienne, elle se calmait et devenait douce.

Ensuite, elle a développé une dermite séborrhéique. Peu à peu elle perdait ses poils et devenait amorphe, apathique, elle souffrait. Il était possible de l'approcher et de lui caresser la tête, elle s'y prêtait gentiment. Mais ma mère refusait de le faire, ça la dégoûtait et elle prétendait toujours que la chienne n'était "pas affectueuse". J'étais choqué de voir une femme avoir si peu d'empathie pour un animal qui a juste le poil gras et qui était autrmeent gentil. Et dont elle était responsable, puisque c'est ele qui a craqué.

Un jour, elle a décidé de la faire piquer, en prétendant avoir tout tenté, mais que ça n'avait pas marché. C'était un mensonge, elle avait essayé quelques semaines de lui donner une bouffe de meilleure qualité, et s'est basé sur cette courte période de temps pour prétendre que ça ne marchait pas. Elle avait juste eu la flemme, non pas de travailler, mais de réfléchir.

Mais je n'ai rien dit car j'avais peur qu'elle se nourrisse de mon compassion pour la chienne ou m'en refile la responsabilité. Et de plus, bien qu'elle n'en avait pas eu la moindre preuve, elle avait certainement raison, la pauvre chienne de race mal sélectionnée était sans doute trop fragile.

J'ai donc accepté de l'accompagner faire piquer la chienne sans faire d'hsitoire car il fallait que ma mère apprenne à être adulte et responsable. Je me suis donc montré impassible. Ce n'était pas très difficile après trois chiens piqués pour des problèmes de santé (mais cette fois en toute bonne foi).

A noter qu'avant de la faire piquer, la chienne avait fugué. Ma mère avait prétendu qu'elle était introuvable. Mais moi j'ai immédiatement compris où elle était allée : dans la retenue d'eau voisine qui semblait l'avoir bien intéressée lors d'une précédente promenade. Elle s'y était coincée.

Bien sûr mon père était complètement démissionnaire, incapable de s'opposer à sa femme et d'affronter la dure réalité de la vie.

BONUS : la fin du chat. Ma mère craque pour une petite chatonne qu'elle ramène à la maison. Bien sûr le chat ne supporte pas la présence de la chatonne et s'énerve. Mon père chasse ... Le chat. Eh oui mon père est un gauchiste, à la base. Que ce soit son chat, qu'il soit chez lui, et réagisse comme un chat, il s'e fout. Il est "méchant". C'est un mâle et il est fort, il est donc coupable de défendre son territoire. Je n'ai plus jamais revu notre chat.



C'était une période où mes parents étaient complètement dépressifs. Ils se montraient pervers et odieux envers tout ce qu'ils touchaient. Ils soutenaient que rien n''était possible dans la vie, tout les fatiguait. Ils ne faisaient rien de constructif et s'épuisaient dans des tâches absurdes et délirantes, que je ne détaillerais pas car ça n'en finirait pas. C'était une période très noire où ils ont même sapé mes opportunités de m'épanouir et tenté de me détruire mentalement.

Je les ai soignés en devenant l'homme de ma famille et en les brimant psychologiquement, en les rabaissant et en leur parlant comme à des merdes, pas violemment, mais en leur expliquant avec condescendance qu'ils l'étaient. Maintenant, ils vont mieux. Mais je n'ai pas oublié à quel point ils pouvaient être dangereux envers les gens à leur merci. Quand j'ai des ennuis aujourd'hui, ils me remercient toujours en m'expllquant qu'il n'y a pas de solution, ou en me donnant des solutions délétères. Ils m'offrent une aide matérielle, mais toutes leurs paroles et leurs idées sont empoisonnées.

Je les remercie, ils m'ont appris que certaines personnes étaient nées pour être esclaves.
Vous devez être au niveau 57 pour voir ce message.
il y a 17 heures
Vous devez être au niveau 57 pour voir ce message.
Bordel lol tu leur a fais quoi et pourquoi ?
Je suis Seugondaire.
il y a 13 heures