InscriptionConnexion
Le nationalisme français, produit de la révolution et des droits de l’homme, n’offre aucune réponse à ces légalistes à la peau marron qui savent comment utiliser cette nationalité républicaine, démocratique, contre les indigènes.

C’est inutile, toutes les tentatives pour l’amender, et elles ont été nombreuses, ont échoué.

La solution est le racisme politique, ce racisme dont nous tout le monde parle, mais dont personne ne se revendique explicitement (sauf ici). Comme disait Adolf Hitler à ce sujet, le racisme équivaut à la découverte de Galilée : il est impossible de revenir en arrière en dépit de l’obscurantisme ambiant, ce n’est qu’une question de temps avant que cette vérité scientifique ne s’impose dans le champ de la conscience et n’affecte tous les champs de l’activité humaine.

Sous l’effet de l’immigration, le racisme oblitère les états démocratiques contemporains comme la révolution française a détruit les monarchies d’Europe, lentement mais sûrement.

Toutes les tentatives visant à maintenir les frontières nationales intra-européennes dans l’imaginaire collectif, tout en accueillant des masses colossales d’étrangers qui sont aussitôt “naturalisés”, rend l’entreprise absurde et vaine. In fine, imperturbablement, les Blancs prennent conscience qu’ils sont blancs face à l’assaut allogène.

La solidarité raciale face à la submersion extra-européenne prévaudra sur les anciennes solidarités nationales rendues caduques en raison des naturalisations massives. Les Blancs de Stockholm, Hambourg ou Bordeaux deviendront chaque jour un peu plus solidaires entre eux que de leurs voisins d’immeubles afghans, syriens ou pakistanais.

La réaction nationale, incarnée par le fatras souverainiste, lutte contre ce mouvement historique sans pouvoir y résister, faisant perdre un temps considérable aux jeunes Blancs avec l’idée que le drapeau tricolore (ou britannique, etc.) pourra magiquement transformer les envahisseurs en citoyens à leur image.

L’idée nationale ne peut pas tenir face à l’idée raciale, seul outil conceptuel qui en phase avec la réalité de notre temps.

cnews.boats https://cnews.boats/nous-[...]loire-est-detre-ne-blanc/

C'est écrit en réaction à la bougnoule insoumise qui dit que les bougnoules ne sont pas moins Français que les Blancs.
:BLM:
il y a un mois
"Le nationalisme français, produit de la révolution et des droits de l’homme"

Heuuuu, non
:cafe:
il y a un mois
dp = double péné
:risitaeheh:
il y a un mois
Celui-ci est excellent sur le christianisme :

cnews.boats https://cnews.boats/la-fr[...]retienne-se-mobilise-non/

(…) Il y a là tout le confusionnisme qu’on peut souhaiter, bien représenté par le drapeau de la Révolution (quoi que racontent les nationalistes à ce sujet) frappé du “sacré coeur” de Yeshua de Nazareth. Ce drapeau est un des reliquats du syncrétisme porté par certains milieux monarchistes au 19e siècle après l’échec de la restauration légitimiste de 1830. Il consistait à mêler les acquis, très populaires, hérités de la Révolution française avec le folklore catholique d’Ancien régime afin ne pas perdre le contact avec les masses, inexorablement acquises aux idées de 1789.

Le résultat en a toujours été désastreux, dans la forme comme dans le fond.

C’est à l’ombre de ce drapeau aspergé de quelques gouttes d’eau bénite que l’extrême-droite catholique a envoyé à la mort les paysans français en 1914. Dans leur immense sagesse, et sous l’effet de leur ralliement à la république au nom de la fièvre nationaliste qui ne les quittait plus, ils avaient trouvé judicieux de soutenir la France républicaine et ses alliés de la maçonnerie anglaise contre les empires centraux, dont le très catholique empire austro-hongrois. Jamais on a vu tant de curetons français s’enthousiasmer pour le massacre de Catholiques, bavarois ou auvergnats, qu’à l’époque. Et quand le communisme enflamma la Russie puis l’Allemagne après leur défaite respective, la prêtraille hexagonale s’estima satisfaite, avant de découvrir peu après que la peste avait gagné la France pour la pourrir fatalement.

J’en ai parlé dans un article à propos du mythe de la “France fille aînée de l’Église”, un autre bricolage tardif réalisé au 19e siècle à des fins de propagande par une poignée d’intellectuels monarchistes ralliés au nationalisme de la Révolution.

Et encore, je n’ai même pas abordé l’une des perles de ces fabrications loufoques qu’est la canonisation de Jeanne d’Arc — cinq siècles après sa mort, un pieux détail — au terme des tractations entre la république française et le Vatican pour prix de son ralliement définitif à l’ordre démocratique en 1918.

Ces absurdités végètent toujours dans quelques coins de l’extrême-droite yahviste et elles sont consommées ici et là par des gens sans aucune connaissance de ces sujets.

Actuellement, comme l’arsenal médiatique de Bolloré-Goldschmidt a donné consigne de créer ex nihilo un courant pro-sioniste enrobé d’un vernis chrétien de type américain, nous voyons le thème chrétien être poussivement brandi ici et là. Cette manifestation en était d’ailleurs une des expressions.

Je dois dire que c’est particulièrement horrible à subir.

Et derrière, le juif qui, comme je l’ai expliqué depuis des mois, a décidé de ramener par bus entiers les Blancs déchristianisés dans les églises pour empêcher à toute force qu’ils se réorganisent sur une base raciale, aryenne.

Les juifs savent que le sang est le principal moteur de l’histoire. Leur “religion”, dont l’hérésie chrétienne découle, est explicitement raciale et raciste. C’est cette conscience raciale qui fait des juifs une entité grégaire, mais très flexible, qui se joue des États démocratiques et de leur nationalisme administratif, pour agir comme une colonne de fourmis rouges. Si les Blancs devaient enfin s’organiser sur une base raciale, le règne du juif se terminerait comme il a pris fin en Allemagne en 1933 lorsque les Allemands, mis en mouvement par l’idée raciale, reprirent leur pays des mains de Jehovah.

En d’autres termes, le juif veut contrecarrer toute émancipation mentale des Blancs de la matrice sémitique. Alors oui, nous allons bouffer de la soupe chrétienne, que ça nous plaise ou pas, sur tous les tons, à toutes les sauces, à coups de “reportages”, de “documentaires”, de “films”, de “manifestations”, de “livres”, etc., à l’appel de pasteurs marocains, de bigots à la race indéfinissable mais tirant invariablement vers le marron, de prêtres nègres, le tout, bien sûr, pour “lutter contre l’islamisme” (mais pas l’islam !).

(…) Ce n’est pas les Catholiques — par Catholiques j’entends Catholiques, c’est-à-dire pratiquants par définition — qui me contrediront : le christianisme, a fortiori le catholicisme, n’est pas une “culture”, c’est une religion. Cela veut dire qu’elle se pratique dans la vie quotidienne.

C’est une réalité personnelle et collective.

Il n’existe pas de catholicisme sans aller à la messe, observer ses rites, se soumettre aux dogmes reconnus par lui et suivre les devoirs moraux qui s’imposent au Chrétien.

Rentrons donc dans le détail : est-ce que ces Français “athées” qui veulent défendre “la France de culture chrétienne” sont prêts à vivre dans une société chrétienne et à, par exemple, mettre au ban de la société les divorcés qui se remarient, proscrire la contraception, interdire l’avortement, rétablir la stricte séparation des sexes (et d’abord dans les églises) avec primauté de l’homme, aller se confesser chaque dimanche et dire au prêtre (africain) de leur paroisse la somme de tous leurs vices, confier le détail de leur vie privée, avant de se répandre en excuses en répétant 50 “Je vous salue Marie”, chapelet à la main, au pied de l’imperturbable croix à laquelle est suspendu Yeshoua de Nazareth ?

Tout ça est la dernière chose qui leur traverse la tête.

Et si on les mettait le nez dedans, ils reculeraient violemment comme un âne qui refusent de boire.

Pour ces gens, le christianisme est une religion symbolique qu’ils n’ont absolument aucune envie de pratiquer. S’ils le voulaient, ils pourraient vivre dès demain matin dans une société chrétienne à l’échelle de leur domicile. Les bibles sont en vente libre, les églises sont ouvertes (catholiques, protestantes, orthodoxes, le marché est libre et non faussé), internet offre des quantités énormes de contenus pour leur expliquer comment procéder.

Même la république, que vitupèrent avec insistance les monarchistes adeptes de Monseigneur Lefebvre, ne s’y oppose pas.

Vraiment rien ne les retient pour mettre des actes au bout de leurs commentaires sur les réseaux sociaux.

Ces gens sont des libéraux, individualistes forcenés, qui sont parfaitement intégrés dans la démocratie de marché mais qui se plaignent simplement de la conséquence ultime de cette démocratie. C’est la démocratie de marché qui a produit le salariat féminin, le féminisme, la dénatalité et l’inévitable immigration de masse qui leur fait suite, tôt ou tard. (…)
il y a un mois
Tant que l'on se battra pour des conneries de religion de pays ou d'autres conneries. L'Europe est finito, la seule chose qui compte pour l'instant c'est la race !
il y a un mois
Français ça n'a jamais été une race mais une citoyenneté, tout le probleme part de là.
il y a un mois
Iermak
Iermak
1 mois
Tant que l'on se battra pour des conneries de religion de pays ou d'autres conneries. L'Europe est finito, la seule chose qui compte pour l'instant c'est la race !
Oui, c'est effectivement ce qui semble émerger... C'est bien le sens des articles de BLL.
:Mouais_Jesus:
https://cnews.lat Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a un mois
DTP
DTP
1 mois
Oui, c'est effectivement ce qui semble émerger... C'est bien le sens des articles de BLL.
:Mouais_Jesus:
Oui mais je précise pour les christo-cuck à part leur religion du désert marron y'a rien d'autres qui comptent !
il y a un mois